-
Robert·
Tiens! Il ne s'est pas encore manifesté comme candidat pour 2017. -
Winston Smith : misanthrope
Moi je l'aime bien Asselineau, ses conférences sont plutôt bien sourcées. Ce que je préfère c'est quand il nous parle de l'amérique du 19° siècle et de la tactique "prendre soin d'éviter tout débat". -
elhueon
Bravo Laure,
Grâce à vos talents "ASI" vient de perdre un abonné.
Arvi'Pâ -
Faab
Mais qui a rédigé le droit de réponse ?
Asselineau a l'habitude de mettre des liens vers Lady Gaga dans ses argumentaires ? -
Arnaud Romain
Ajouter le droit de réponse à la suite de l'article qui a suscité cette réponse, plusieurs jours après la mise en ligne dudit article, c'est s'assurer que 12 personnes le liront, pas plus... ce qui semble bien être le cas d'ailleurs. Qu'est-ce qui a présidé à la décision de ne pas vouer à un traitement à peu près équilibré l'attaque et la défense ? Mystère... ou pas tant que ça... A quand un site de décryptage média qui décryptera les nouveaux procédés qui semblent avoir désormais cour sur @si ? De déception en déception.
Les germes de ce qui engendre depuis quelques années l'effondrement de la presse papier traditionnelle commencent à se faire jour ici. A défaut de se poser certaines questions assez clairement énoncées par nombre d'@sinautes dans ce forum ET dans celui faisant suite aux papiers en miroir de Daniel et Judith, je redoute un graduel désintérêt pour @si... non qu'il faille "donner au public ce qu'il demande", éternel antienne vaseuse des chaines de télé privées pour justifier leur populisme éditorial purement commercial, en revanche, tenir la ligne d'indépendance et de non conformisme, de vraie critique articulée et de pluralisme qui constituaient l'engagement, la promesse, là... C'est le contrat initial qui dévie et s'efface, celui qui a poussé des milliers d'entre nous à se manifester, soutenir, pétitionner pour que vive @si...
Voir Laure sur l'exacte ligne d'un Aymeric Caron, c'est la démonstration navrante que peut-être, désormais, regarder Ruquier ou s'abonner à @si, c'est pareil !!! Constater qu'après cette facilité éditoriale, cette fainéantise intellectuelle, un droit de réponse est volontairement "planqué" à l'endroit le moins visible du site... c'est attristant. Et je me questionne pour ma part. -
isabelle et stéphane
Bonjour,
je prolonge (cf forum) :
Un droit de réponse c'est bien. Dommage que l'UPR comme le PG, ne répondent pas à des problèmes soulevés sans animosité par écrit.
Pour le reste je n'ajoute rien, j'ai noté ce que je pensais plus haut. -
Aline Marchetto
bah mince alors ...Bricmont, Asselineau, Meyssan, dieudonné, et qui d'autres de nouveaux complotistes ? Nan mais aussi Daniel Schneiderman a défendu Bush contre ces pôvres types qui voient la CIA ou des complots partout ...Rappel historique : Quand daniel défendait Bush ??
Et puis Aymeric Caron a dû s'amender par rapport à l'autre fois ou il osait défendre les Palestiniens face à BHL ou un autre pro-israelien ..Ne plus passer à la télé ça craint non ? -
Degun
Dans la vidéo de l'émission "On est pas couché", la journaliste Léa Salamé s'échine à montrer qu'Asselineau est un clown...
alors que c'est justement pour cela que Ruquier l'a invité.
Trop marrant :)
Asselineau n'aurait pas dû quitter l'ombre médiatique qui lui servait jusqu'ici d'excuse politique.
ONPC a ouvert la porte au n'importe quoi avec ce conspirationiste. Dans les semaines prochaines feront-ils l'apologie de la scientologie ?
Asselineau est un ovni avec un pseudo programme fondé que sur ses phobies.
En parcourant le site internet de l’UPR, l’on comprend aisemment que le programme d’Asselineau ne porte uniquement sur ses phobies : l’Europe et les États-Unis.
Toujours sur le site de l’UPR, Asselineau propose un retour aux "médecines douces et alternatives"... en voilà une bonne idée pour régler le trou de la Sécurité Sociale :))
etc... on n'en peut plus de lire toutes les ânneries que débite ce grand adepte du complot tant sur son site, ses vidéos inter-minables, sa page de fanatiques sur facebook et autres supports web dont les agences de propagande Russes pro-Poutine (Russia today, Novosti, ProRussia TV, etc.! )
Et sans compter le grand mensonge d'Asselineau pendant l'émission jurant qu'il ne connaissait pas Serge Ayoub le plus connu des skinheads alors que celui-ci répondait en dirtect sur son compte Twitter :
@SergeAyoub
"Si j'avais su qu'Asselineau serait diabolisé à ce point par Caron, je n'aurais pas pris le risque qu'il vienne au Local. #couragefuyons"
8:48 AM - 21 Sep 2014
Merci à ONPC Laurent Ruquier d'avoir démontré à la France que Asselineau est bien un clown.
Cependant elle est rès surprenante cette émission à un moment où la France est en manque d'idées nouvelles, où la droite et la gauche sont en quête d'un projet rénovateur, de nous sortir un haut fonctionnaire à la retraite et en déshérence idéologique qui nous a servi une bouillabaisse de comptoir sur le complotisme américain. Des idées qui trainent dans les bas-fonds de l'extrême-droite depuis des décennies. Une dose d'euro et d'Europe supra nationale avec l'adhésion à l'OTAN et le programme est bouclé. On s'enveloppe dans le drapeau et dans le ni gauche ni droite. Cette soupe Marine Le Pen l'a très bien utilisée et elle l'a même oubliée sur la route de la respectabilité électorale. L'immigré paye plus que le méchant américain.
Même Philippe de Villiers a cru pouvoir la récupérer et elle lui a été fatale qu'il préfère vendre ses parcs à Poutine.
Quant au choix entre l'euro et le retour au franc, l'électeur qui n'a pas fait HEC comme Asselineau, se demande surtout pourquoi le passage à l'Union monétaire n'a pas suscité plus de grands débats publics télévisés en prime time des grands économistes prévisionnistes par essence ! Où était Asselineau ? Dans les cabinets bien au chaud au frais du contribuable !
Mais à quoi joue le service public et comment des journalistes peuvent-ils se prêter à un tel spectacle en acceptant d'interviewer ce personnage certes complotiste qui ne représente que lui-même et 5 ou 6000 adhérents qui représentent électoralement dans les urnes seulement 0,4 % des votants ? Peut-être 0,7 % lorsqu'ils seront 10 000 ! -
Degun
Dans la vidéo de l'émission "On est pas couché", la journaliste Léa Salamé s'échine à montrer qu'Asselineau est un clown...
alors que c'est justement pour cela que Ruquier l'a invité.
Trop marrant :) -
Degun
Avec son "droit de réponse" à la mi-Poutine mi-Pinochet non encore élu, le boutiquier de la secte UPR montre parfaitement que sa petite entreprise, qui ne craint pas la crise mais surfe égotiquement sur sa vague, et les interventions de ses sbires trolls cybermilitants spammeurs est composée d'une bande de conspirationnistes illuminés d'extrême droite à la sauce Cheminade poutinienne.
A lire le niveau des commentaires sur sa page facbook on en est convaincus.
Ce personnage grisatre des années 1950 ne représente aucun intérêt pour le présent et moins encore l'avenir. -
oleiyai
Récemment abonné sur @si j'avoue être très déçu par cet article. Un point positif, la publication rapide du droit de réponse à la suite et directement visible.
Je pensais ce site objectif et je m'attendais à des analyses un peu plus approfondies (et non basiquement à charge, ce qui est manifestement le cas). Analyser les hypothèses avancées par l'UPR et les éventuelles contradictions ou erreurs m'aurait été beaucoup plus instructif que de s'appuyer sur un historique forcément sujet à interprétations. A défaut il n'y a aucun intérêt d'être abonné...
Le moins que vous puissiez faire serait d'inviter un représentant de ce parti (comme vous le faites pour d'autres) pour aller au bout du sujet qui a été ouvert et ne pas rester la dessus... Et si possible aller sur des questions de fond (le programme de l'UPR est-il réaliste, les sources valables,..) et ne pas perdre de temps sur les questions sans intérêt (parcours, les on-dit,...).
Très décevant. -
katerin
Mais qui est Laure Daussy ? -
DemocraTux
L'UPR vient de publier un droit de réponse à cet article :
http://www.upr.fr/actualite/france/droit-reponse-arret-images-calomnie-manipulation-amalgame-reponse-mediatique-aux-analyses-lupr -
PeterP
Une analyse approfondie (4 parties de 40 minutes tout de même, il y a matière!!!) du passage d'Asselineau chez Ruquier, c'était sur Metatv.org !!!
Lien vers le début du décryptage:
extrait:
"Ruquier: il est temps de passer à l'invité politique (...) je sais que de nombreux téléspectateurs s'interrogent: mais qui c'est? pourquoi lui?"
PAUSE
"Tépa: Alors ça commence bien puisqu'on vous pose l'interrogation, on vous le dit: mais qui c'est? pourquoi lui? Donc c'est l'inconnu du soir, c'est un peu le grand dîner de con qui se prépare. On vous explique, bon, pourquoi lui? On vous pose un cadre. On vous laisse pas dire: " il a fondé son parti, etc..." et vous laisser vous faire votre idée. C'est pas la première fois qu'il y a un inconnu entre guillemets qui passe à la télévision (...)
REPRISE
"Ruquier: il est énarque, inspecteur des finances, passé par les ministères de Beregovoy ou de Balladur ou encore de Sarkozy,"
PAUSE
"Tépa: La présentation est faite, il est vrai qu'Asselineau est inspecteur des finances (...), on vous présente un cv vous allez voir, un peu classé. On vous a parlé de Beregovoy, la seule personnalité de gauche dans ce palmarès glorieux"
REPRIS
"Ruquier: ... Mais il a été également proche du rassemblement pour la France de Charles Pasqua"
PAUSE
"Tépa: Pas bien! Mais! Déjà y'a un "mais"! Donc déjà c'est pas bien! Le mais indique la volonté de nous expliquer que bon... Beregovoy tout ça reste acceptable, MAIS.. et là on arrive sur Pasqua"
REPRISE
"Ruquier: Anti-européen convaincu, ça c'est sur"
PAUSE
"Tépa: Anti-européen convaincu, ça aussi c'est posé, ANTI, EUROPEEN, CONVAINCU. On ne nous explique pas anti-européen. Vous allez voir aussi en quoi ce mot de novlangue et comment il va être utilisé dans le débat constamment contre Asselineau, c'est assez fantastique."
REPRISE
etc...
On peut penser ce qu'on veut de ce réseau de "dissidence" comme il se présente, le décryptage est sans pitié. Regardez le si ça vous intéresse, ou pas. -
Degun
François ASSELINEAU fondateur de l'UPR, le recalé de la présidentielle de 2012 avec 17 parrainages potentiels dont seulement 3 effectifs à la clôture officielle.
L’UPR de Asselineau, un mouvement souverainiste et nationaliste qui ratisse large, notamment chez les soraliens, les larouchistes mais aussi chez les chevénementistes, au PRCF, au FN, etc.
Dans un communiqué publié sur Facebook il y a plus d’un an, des cadres de son parti expliquaient déjà, tout en se dédouanant d’avoir quoique ce soit à voir idéologiquement avec ces gens-là : « il est tout simplement faux d’affirmer que François Asselineau refuse tout dialogue avec les adhérents de E&R, comme avec les adhérents de S&P, et comme avec les adhérents du Comité Valmy. » En conclusion, ils réaffirmaient : « L’adhésion à l’UPR reste grande ouverte à tous les membres de E&R, de S&P, du Comité Valmy, comme de ceux du RIF, du MPEP, du POI, du MDC, de DLR, du MPF, du Front de Gauche, du FN et de tous les autres mouvements politiques français, qui auront compris la légitimité de notre cause, la justesse de notre Charte, la clarté de nos analyses, la rectitude de notre comportement et l’efficacité de notre positionnement. »
Conformément à cette politique de recrutement tous azimuts, ce groupuscule se prétend « ni de droite ni de gauche » (slogan souvent employé par les nationalistes), la lutte contre l’Union européenne (UE) étant selon lui la priorité absolue devant laquelle doivent s’effacer tous les clivages. Comme beaucoup de mouvements s’auto-proclamant « dissidents » voire « résistants », l’UPR se réfère à la Résistance française (avec un discours pseudo gaulliste) pour justifier la mise en silence du clivage gauche-droite le temps de vaincre ce nouvel ennemi que serait l’UE, la Résistance ayant eu des composantes droitières tout autant que gauchistes. l’UPR tient ainsi dans sa charte une rhétorique pseudo gaulliste : « libération nationale », « redressement de la France ». Pourtant ce genre d’orientation souffre d’un anachronisme patent, les deux périodes n’étant pas vraiment comparables et l’UE n’étant pas, quoiqu’on en dise, le 3e Reich. D’ailleurs, le clivage gauche-droite parcourait l’ensemble de la Résistance française, particulièrement dans le cadre de l’opposition entre communistes et gaullistes.
Une idéologie réactionnaire. Cela n’empêche pas Asselineau, qui est pourtant assez peu compétent en la matière si on écoute un tant soit peu ce qu’il en dit, de donner des « cours d’histoire » développant le mythe de la « France éternelle », vieille antienne de l’extrême droite, au cours desquels il développe une historiographie profondément réactionnaire : mise en avant de « nos ancêtres les Gaulois » comme des « premiers Français » et des premiers « résistants » à l’invasion étrangère (suivant une historiographie très « 3e République »), ou bien une histoire des 19e et 20e siècle axée sur la valorisation de la nation-française-que-tous-les-peuples-du-monde-envient, dans laquelle n’apparaît ni l’affaire Dreyfus, ni le Front Populaire, ni la guerre d’Algérie (au contraire, la colonisation a bien entendu eu des "aspects positifs) ni Mai-68. Des oublis idéologiquement significatifs, puisqu’ils ont tous trait à l’histoire de la gauche et du mouvement ouvrier. Et quand il n’oublie pas d’en parler, Asselineau réécrit cette histoire : ainsi, il ne parle de la Commune de Paris qu’en tant que mouvement patriote de résistance à l’invasion étrangère. Tout ceci pour en arriver à la conclusion que le nouvel ennemi venu de l’étranger qu’il faudrait abattre serait l’« empire » européen.
Cette vision transparaît aussi à la lecture de la charte de l’UPR, qui prétend rétablir la « souveraineté » nationale et « redonner à la France sa vraie personnalité », tout en ne disant rien sur le rôle fondamental des Etats-nations dans la construction européenne et la complicité de leur gouvernements dans la mise en place des politiques ultralibérales et destructrices de service publics certes décidées au niveau européen, mais qui vont parfaitement dans le sens des politiques voulues par les gouvernements de chaque état, et ce depuis de longues années. D’ailleurs, l’UPR ne dit rien non plus sur le fait que rien de garantit a priori que même si l’UE n’était pas là, les mêmes politiques n’auraient pas cours. Pourquoi ce silence ? Serait-ce parce qu’Asselineau a conseillé plusieurs gouvernements français de droite au moment où ils détruisaient les droits sociaux et les services publics qu’il prétend aujourd’hui défendre ?
Des sympathies droitières très marquées. Car si on revient sur le parcours politique d’Asselineau, il devient évident que cet homme est de droite, et même issu de la droite dure : sorti d’HEC et de l’ENA, ancien membre des cabinets ministériels de Gérard Longuet, André Rossi, Hervé de Charette et Françoise de Panafieu il a occupé des postes de directeur de cabinet auprès de ministres du gouvernement Juppé casseur de retraites et de sécu de 1995-1996, avant de rejoindre en 1999 le RPF de Philippe de Villiers et Charles Pasqua. Entre 2000 et 2004, il occupe des postes importants de conseillers aux côtés de Pasqua, alors président RPR du Conseil général des Hauts-de-Seine. Toujours avec le même, alors allié au RPR Jean Tibéri il se présente (et est élu) sur une liste de droite dissidente aux municipales parisiennes de 2001. C’est sans étonnement qu’on le voit nommé par Nicolas Sarkozy le 20 octobre 2004 à la tête de la direction générale à l’intelligence économique à Bercy, et travaille alors en étroite collaboration avec Jean-Pierre Raffarin, autre grand casseur de droits sociaux s’il en est. Il finit par être mis sur la touche par Sarkozy en raison de ses prises de position en faveur du protectionnisme, ce qui lui permet depuis de se prévaloir d’un brevet d’anti-sarkozysme censé lui donner une respectabilité progressiste. Mais ne nous y trompons pas, et continuons : fin 2004, il rejoint l’UMP. Mi-novembre 2008, il rejoint pour trois mois le comité directeur du RIF (Rassemblement pour l’indépendance de la France), un mouvement souverainiste situé à l’ultra-droite, puis fonde l’UPR en 2007. Lors des municipales qui suivent, ils se présente dans le 17e arrondissement de Paris contre Françoise de Panafieu mais sans succès.
Les interventions médiatiques d’Asselineau, ainsi que le choix de certains lieux pourtant réputés d’extrême droite pour donner des conférences, achèvent de le classer dans le champ politique : notre énarque a ainsi donné le 7 janvier 2010 une conférence chez les soraliens marseillais de la Cobema mais aussi chez Serge Ayoub (dit « Batskin », le leader des boneheads parisiens, le ?skinheads? qui ?était le chef des jeunesses idenditaires?) le 8 avril 2010, soi-disant « à l’insu de son plein gré » (bien que la conférence ait duré quatre heures et ce soit déroulée dans une ambiance très cordiale sinon sympathique, aux dires de plusieurs témoins). Il est aussi intervenu sur la radio conspirationniste parisienne Ici et Maintenant à, l’invitation de l’animateur d’extrême droite Pierre Jovanovic, ou encore sur Radio Courtoisie et Radio Notre-Dame, ?oumma . com? (repaire de ?salafistes qui pensent que Mehrah est un complot? !), ?le Cercle des Volontaires ou autres Agence Info Libre?, certaines Agences Russes..., etc…
Ce personnage tente aussi de se faire inviter ou se fait inviter par des radios de gauche, sinon alternatives. Ce genre d’invitations lui servent de caution contre les mauvaises langues qui auraient l’audace de le dénoncer comme un personnage d’extrême droite.
La première université d’automne de son micro-parti UPR a accueilli des invités eux aussi clairement marqués à droite voire à l’extrême droite, ou bien largement liés à la sphère conspirationniste ou rouge-brune : le journaliste apologiste du FN, de l’Algérie française, de la torture et de la peine de mort Robert Ménard ; le complotiste Etienne Chouard ; Alain Benajam du Réseau Voltaire France ; des habitués des soutiens aux dictateurs de tous poils (hier Milosevic, aujourd’hui Al Assad) comme Slobodan Despot ou Bruno Drweski, le compagnon de route du négationniste Claude Karnoouh. Même l’ex-président d’Attac et actuel dirigeant du M’Pep Jacques Nikonoff, qui au nom de l’opposition à l’Union européenne semble aujourd’hui de moins en moins dérangé par ce type d’alliances et dont on se rappelle qu’il avait appelé à voter pour Nicolas Dupont-Aignan aux dernières législatives, s’est rendu à l’invitation d’Asselineau.
Le discours officiel de l’UPR et de ses militants est toujours de répondre aux critiques en affirmant qu’ils « refusent le clivage gauche-droite » et qu’ils n’ont pour programme que de sortir de l’UE, de l’euro et de l’OTAN pour « rétablir l’indépendance de la France ». Comme l’explique en substance la charte du parti, il sera bien temps ensuite « de débattre sans fin, voire de se déchirer » sur ces « sujets subalternes » (sic) que sont « la fiscalité, la lutte contre les délocalisations, le financement des retraites, l’immigration, l’environnement, etc. ».
Pourtant, l’UPR a bien un programme politique qui dépasse largement cette seule ambition de sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN et qui esquisse un véritable projet de société, qui évidemment n’est pas le nôtre. Intitulé sobrement « programme de Libération nationale » et placé sous la figure tutélaire du Conseil national de la Résistance (rien que ça !), c’est pour l’essentiel une sorte de fourre-tout démagogique allant même jusqu’à s’opposer à certaines politiques répressives (tant qu’elle sont européennes), ou à défendre une revalorisation du Smic ou la construction massive de logements sociaux. Mais ce qui est le plus intéressant est sans doute son programme économique, qui se résume à un retour à un capitalisme d’Etat et qui lui ne ment pas : l’UPR est bien un parti de droite, notamment au travers de la vision très spéciale du syndicalisme qu’il défend.
Il prône ainsi une politique productiviste et souhaite « réussir l’alliance entre le capital et le travail » et « développer l’actionnariat salarié ». A la rubrique « reconstituer un syndicalisme indépendant », l’UPR ne s’appesantit pas mais on peut deviner quelle orientation il entend donner à ce dernier : un syndicalisme de préférence nationale (« interdire toute subvention aux syndicats qui ne seraient pas d’origine française ») et à la botte de l’Etat (au travers d’un « financement public suffisant pour leur permettre de jouer leur rôle naturel de vrais représentants du monde salariés »). En bref : un syndicalisme croupion, qui n’aurait de syndicalisme que le nom, à l’opposé de ce que devrait être un véritable syndicalisme indépendant, c’est-à-dire un syndicalisme internationaliste autogéré par les travailleur-euse-s.
Sans surprise, on trouve dans ce programme un large « volet militaire » qui promeut la politique de dissuasion nucléaire et entend « réaffirmer le lien armée-nation » dans le but de « rétablir la France dans sa puissance, dans sa grandeur et dans sa mission universelle ». A noter que dans la vision d’Asselineau, la France ne saurait être une puissance coloniale ou néo-coloniale. Non : pour l’UPR, si « la France reste l’un des très rares pays dont l’influence politique, diplomatique, économique, commerciale et culturelle est telle qu’elle peut faire contrepoids à la superpuissance américaine », ce n’est en aucun cas lié à son passé colonial, dont son programme ne dit rien. Au contraire, le groupuscule ose affirmer contre toute logique historique (la France ayant toujours appartenu au bloc occidental) que « partout à travers le monde, les peuples et les gouvernements attendent et espèrent que la France renouera avec sa meilleure tradition, celle du non-alignement sur un bloc. » Dans cette logique, l’UPR prône un renforcement de la francophonie sous égide de la France, là encore sans rien dire de la domination néo-coloniale que font encore aujourd’hui subir à maints peuples la France, son armée et ses entreprises. ?Asselineau n’a rien a envier à son idole le nouveau Tsar de l’impérialisme Russoviétique... -
Degun
l’UPR et Asselineau
http://blogs.mediapart.fr/blog/upac/081113/non-lupr-et-asselineau -
Degun
A la question : Mais qui est François Asselineau
la réponse
Voilà ! -
Degun
Sur un dossier de l’UPR consacre? a? Robert Schuman, on peut voir une photo de ce dernier tenu au bout de ficelles, tel un pantin dont le mai?tre serait la CIA via des officines. Dans cette lecture, la construction europe?enne depuis ses origines serait le cheval de Troie de l’he?ge?monie ame?ricaine.
Asselineau combat cela de toutes ses forces. Cela l’ame?ne a? aller partout et « ne rejeter aucune invitation », a remarque? Jean-Yves Camus. Comme ce 8 avril 2010, ou? il me?ne une re?union publique au Local 92, a? Paris, tenu par un certain Serge Ayoub, alias « Batskin » (3) : « Je ne savais pas du tout ou? je mettais les pieds et je ne connaissais pas Monsieur Ayoub [...] J’ai donne? ma confe?rence devant une cinquantaine de personnes, mais nous n’avons strictement aucun lien avec ces groupes. »
« Malgre? sa rhe?torique base?e principalement sur le rejet du ‘‘Syste?me’’, Franc?ois Asselineau reste un homme ancre? a? la droite de la droite, analyse Rudy Reichstadt. A? mon avis, son objectif est de faire une sorte d’OPA sur le public se?duit par les discours complotistes de sites comme le Re?seau Voltaire ou E?galite? et Re?conciliation, d’Alain Soral, qui re?cusent la pertinence du clivage droite-gauche. Je crois qu’il y voit un potentiel e?lectoral a? exploiter. »
Jean-Yves Camus se risque a? une autre hypothe?se : « On peut imaginer qu’il distraie les e?lecteurs du Front national. Candidat bien sous tous rapports, il peut de?tourner ceux qui sont se?duits par le souverainisme et la droite dure. »
(3) Serge Ayoub dirigeait les Jeunesses nationalistes re?volutionnaires. Le gouvernement a demande? leur dissolution a? la suite du meurtre de Cle?ment Me?ric, dans lequel certains de ses membres auraient e?te? me?le?s.
Franc?ois ASSELINEAU fondateur de l'UPR, le recale? de la pre?sidentielle de 2012 avec seulement 17 parrainages potentiels a? la clo?ture officielle.
L’UPR de Asselineau, un mouvement souverainiste et nationaliste qui ratisse large, notamment chez les soraliens, les larouchistes mais aussi chez les cheve?nementistes, au PRCF, au FN, etc.
Dans un communique? publie? sur Facebook il y a plus d’un an, des cadres de son parti expliquaient de?ja?, tout en se de?douanant d’avoir quoique ce soit a? voir ide?ologiquement avec ces gens-la? : « il est tout simplement faux d’affir- mer que Franc?ois Asselineau refuse tout dialogue avec les adhe?rents de E&R, comme avec les adhe?rents de S&P, et comme avec les adhe?rents du Comite? Valmy. » En conclusion, ils re?affirmaient : « L’adhe?sion a? l’UPR reste grande ouverte a? tous les membres de E&R, de S&P, du Comite? Valmy, comme de ceux du RIF, du MPEP, du POI, du MDC, de DLR, du MPF, du Front de Gauche, du FN et de tous les autres mouvements politiques franc?ais, qui auront compris la le?gitimite? de notre cause, la justesse de notre Charte, la clarte? de nos analyses, la rectitude de notre comportement et l’efficacite? de notre positionnement. »
Conforme?ment a? cette politique de recrutement tous azimuts, ce groupuscule se pre?tend « ni de droite ni de gauche » (slogan souvent employe? par les nationalistes), la lutte contre l’Union europe?enne (UE) e?tant selon lui la priorite? absolue devant laquelle doivent s’effacer tous les clivages. Comme beaucoup de mouvements s’auto- proclamant « dissidents » voire « re?sistants », l’UPR se re?fe?re a? la Re?sistance franc?aise (avec un discours pseudo gaulliste) pour justifier la mise en silence du clivage gauche-droite le temps de vaincre ce nouvel ennemi que serait l’UE, la Re?sistance ayant eu des composantes droitie?res tout autant que gauchistes. l’UPR tient ainsi dans sa charte une rhe?torique pseudo gaulliste : « libe?ration nationale », « redressement de la France ». Pourtant ce genre d’orientation souffre d’un anachronisme patent, les deux pe?riodes n’e?tant pas vraiment comparables et l’UE n’e?tant pas, quoiqu’on en dise, le 3e Reich. D’ailleurs, le clivage gauche-droite parcourait l’ensemble de la Re?sistance franc?aise, particulie?rement dans le cadre de l’opposition entre communistes et gaullistes.
Une ide?ologie re?actionnaire. Cela n’empe?che pas Asselineau, qui est pourtant assez peu compe?tent en la matie?re si on e?coute un tant soit peu ce qu’il en dit, de donner des « cours d’histoire » de?veloppant le mythe de la « France e?ternelle », vieille antienne de l’extre?me droite, au cours desquels il de?veloppe une historiographie profonde?ment re?actionnaire : mise en avant de « nos ance?tres les Gaulois » comme des « premiers Franc?ais » et des premiers « re?sistants » a? l’invasion e?trange?re (suivant une historiographie tre?s « 3e Re?publique »), ou bien une histoire des 19e et 20e sie?cle axe?e sur la valorisation de la nation-franc?aise-que-tous-les-peuples-du-monde-envient, dans laquelle n’apparai?t ni l’affaire Dreyfus, ni le Front Populaire, ni la guerre d’Alge?rie (au contraire, la colonisation a bien entendu eu des "aspects positifs) ni Mai-68. Des oublis ide?ologiquement significatifs, puisqu’ils ont tous trait a? l’histoire de la gauche et du mouvement ouvrier. Et quand il n’oublie pas d’en parler, Asselineau re?e?crit cette his- toire : ainsi, il ne parle de la Commune de Paris qu’en tant que mouvement patriote de re?sistance a? l’invasion e?trange?re. Tout ceci pour en arriver a? la conclusion que le nouvel ennemi venu de l’e?tranger qu’il faudrait abattre serait l’« empire » europe?en.
Cette vision transparai?t aussi a? la lecture de la charte de l’UPR, qui pre?tend re?tablir la « souverainete? » nationale et « redonner a? la France sa vraie personnalite? », tout en ne disant rien sur le ro?le fondamental des Etats-nations dans la construction europe?enne et la complicite? de leur gouvernements dans la mise en place des politiques ultra- libe?rales et destructrices de service publics certes de?cide?es au niveau europe?en, mais qui vont parfaitement dans le sens des politiques voulues par les gouvernements de chaque e?tat, et ce depuis de longues anne?es. D’ailleurs, l’UPR ne dit rien non plus sur le fait que rien de garantit a priori que me?me si l’UE n’e?tait pas la?, les me?mes polit- iques n’auraient pas cours. Pourquoi ce silence ? Serait-ce parce qu’Asselineau a conseille? plusieurs gouver- nements franc?ais de droite au moment ou? ils de?truisaient les droits sociaux et les services publics qu’il pre?tend aujourd’hui de?fendre ?
Des sympathies droitie?res tre?s marque?es. Car si on revient sur le parcours politique d’Asselineau, il devient e?vident que cet homme est de droite, et me?me issu de la droite dure : sorti d’HEC et de l’ENA, ancien membre des cabinets ministe?riels de Ge?rard Longuet, Andre? Rossi, Herve? de Charette et Franc?oise de Panafieu il a occupe? des postes de directeur de cabinet aupre?s de ministres du gouvernement Juppe? casseur de retraites et de se?cu de 1995-1996, avant de rejoindre en 1999 le RPF de Philippe de Villiers et Charles Pasqua. Entre 2000 et 2004, il occupe des postes importants de conseillers aux co?te?s de Pasqua, alors pre?sident RPR du Conseil ge?ne?ral des Hauts-de-Seine. Toujours avec le me?me, alors allie? au RPR Jean Tibe?ri il se pre?sente (et est e?lu) sur une liste de droite dissidente aux municipales parisiennes de 2001. C’est sans e?tonnement qu’on le voit nomme? par Nicolas Sarkozy le 20 octobre 2004 a? la te?te de la direction ge?ne?rale a? l’intelligence e?conomique a? Bercy, et travaille alors en e?troite collaboration avec Jean-Pierre Raffarin, autre grand casseur de droits sociaux s’il en est. Il finit par e?tre mis sur la touche par Sarkozy en raison de ses prises de position en faveur du protectionnisme, ce qui lui permet depuis de se pre?valoir d’un brevet d’anti-sarkozysme cense? lui donner une respectabilite? progressiste. Mais ne nous y trompons pas, et continuons : fin 2004, il rejoint l’UMP. Mi-novembre 2008, il rejoint pour trois mois le comite? directeur du RIF (Rassemblement pour l’inde?pendance de la France), un mouvement souverainiste situe? a? l’ultra-droite, puis fonde l’UPR en 2007. Lors des municipales qui suivent, ils se pre?sente dans le 17e arrondis- sement de Paris contre Franc?oise de Panafieu mais sans succe?s.
Les interventions me?diatiques d’Asselineau, ainsi que le choix de certains lieux pourtant re?pute?s d’extre?me droite pour donner des confe?rences, ache?vent de le classer dans le champ politique : notre e?narque a ainsi donne? le 7 janvier 2010 une confe?rence chez les soraliens marseillais de la Cobema mais aussi chez Serge Ayoub (dit « Batskin », le leader des boneheads parisiens) le 8 avril suivant, soi-disant « a? l’insu de son plein gre? » (bien que la confe?rence ait dure? quatre heures et ce soit de?roule?e dans une ambiance tre?s cordiale sinon sympathique, aux dires de plusieurs te?moins). Il est aussi intervenu sur la radio conspirationniste parisienne Ici et Maintenant a?, l’invi- tation de l’animateur d’extre?me droite Pierre Jovanovic, ou encore sur Radio Courtoisie et Radio Notre-Dame.
Ce personnage tente aussi de se faire inviter ou se fait inviter par des radios de gauche, sinon alternatives. Ce genre d’invitations lui servent de caution contre les mauvaises langues qui auraient l’audace de le de?noncer comme un personnage d’extre?me droite.
La premie?re universite? d’automne de son micro-parti UPR a accueilli des invite?s eux aussi clairement marque?s a? droite voire a? l’extre?me droite, ou bien largement lie?s a? la sphe?re conspirationniste ou rouge-brune : le journaliste apologiste du FN, de l’Alge?rie franc?aise, de la torture et de la peine de mort Robert Me?nard ; le complotiste Etienne Chouard ; Alain Benajam du Re?seau Voltaire France ; des habitue?s des soutiens aux dictateurs de tous poils (hier Milosevic, aujourd’hui Al Assad) comme Slobodan Despot ou Bruno Drweski, le compagnon de route du ne?gationniste Claude Karnoouh. Me?me l’ex-pre?sident d’Attac et actuel dirigeant du M’Pep Jacques Nikonoff, qui au nom de l’opposition a? l’Union europe?enne semble aujourd’hui de moins en moins de?range? par ce type d’alliances et dont on se rappelle qu’il avait appele? a? voter pour Nicolas Dupont-Aignan aux dernie?res le?gislatives, s’est rendu a? l’invitation d’Asselineau.
Le discours officiel de l’UPR et de ses militants est toujours de re?pondre aux critiques en affirmant qu’ils « refusent le clivage gauche-droite » et qu’ils n’ont pour programme que de sortir de l’UE, de l’euro et de l’OTAN pour « re?tablir l’inde?pendance de la France ». Comme l’explique en substance la charte du parti, il sera bien temps ensuite « de de?battre sans fin, voire de se de?chirer » sur ces « sujets subalternes » (sic) que sont « la fiscalite?, la lutte contre les de?localisations, le financement des retraites, l’immigration, l’environnement, etc. ».
Pourtant, l’UPR a bien un programme politique qui de?passe largement cette seule ambition de sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN et qui esquisse un ve?ritable projet de socie?te?, qui e?videmment n’est pas le no?tre. Intitule? sobrement « programme de Libe?ration nationale » et place? sous la figure tute?laire du Conseil national de la Re?sistance (rien que c?a !), c’est pour l’essentiel une sorte de fourre-tout de?magogique allant me?me jusqu’a? s’opposer a? certaines politiques re?pressives (tant qu’elle sont europe?ennes), ou a? de?fendre une revalorisation du Smic ou la construction massive de logements sociaux. Mais ce qui est le plus inte?ressant est sans doute son programme e?conomique, qui se re?sume a? un retour a? un capitalisme d’Etat et qui lui ne ment pas : l’UPR est bien un parti de droite, notamment au travers de la vision tre?s spe?ciale du syndicalisme qu’il de?fend.
Il pro?ne ainsi une politique productiviste et souhaite « re?ussir l’alliance entre le capital et le travail » et « de?velopper l’actionnariat salarie? ». A la rubrique « reconstituer un syndicalisme inde?pendant », l’UPR ne s’appesantit pas mais on peut deviner quelle orientation il entend donner a? ce dernier : un syndicalisme de pre?fe?rence nationale (« interdire toute subvention aux syndicats qui ne seraient pas d’origine franc?aise ») et a? la botte de l’Etat (au travers d’un « financement public suffisant pour leur permettre de jouer leur ro?le naturel de vrais repre?sentants du monde salarie?s »). En bref : un syndicalisme croupion, qui n’aurait de syndicalisme que le nom, a? l’oppose? de ce que devrait e?tre un ve?ritable syndicalisme inde?pendant, c’est-a?-dire un syndicalisme internationaliste autoge?re? par les travailleur-euse-s.
Sans surprise, on trouve dans ce programme un large « volet militaire » qui promeut la politique de dissuasion nucle?aire et entend « re?affirmer le lien arme?e-nation » dans le but de « re?tablir la France dans sa puissance, dans sa grandeur et dans sa mission universelle ». A noter que dans la vision d’Asselineau, la France ne saurait e?tre une puissance coloniale ou ne?o-coloniale. Non : pour l’UPR, si « la France reste l’un des tre?s rares pays dont l’influence politique, diplomatique, e?conomique, commerciale et culturelle est telle qu’elle peut faire contrepoids a? la superpuissance ame?ricaine », ce n’est en aucun cas lie? a? son passe? colonial, dont son programme ne dit rien. Au contraire, le groupuscule ose affirmer contre toute logique historique (la France ayant toujours appartenu au bloc occidental) que « partout a? travers le monde, les peuples et les gouvernements attendent et espe?rent que la France renouera avec sa meilleure tradition, celle du non-alignement sur un bloc. » Dans cette logique, l’UPR pro?ne un renforcement de la francophonie sous e?gide de la France, la? encore sans rien dire de la domination ne?o- coloniale que font encore aujourd’hui subir a? maints peuples la France, son arme?e et ses entreprises.
Voir aussi cet article sur la manipulation propagandiste de ce groupuscule : http://justpaste.it/2yhc -
Didier
Il faut 3' pour ouvrir une porte protégé par une serrure de "sécurité" et pourtant tant de gens s'estiment en sécurité.
Bravo François Asselineau. -
Nicolas
Sinon j’ai plus court, plus facile, comme toujours, avec l’extrême-droite qui présente un fort culte du chef, il faut s’intéresser à ses fanatiques, plutôt qu’au chef lui-même, sinon c’est déjà entrer dans leur mentalité. Et là la conclusion s’est imposée d’elle-même de mes contacts avec ses gens-là, bien présents sur ce site aussi d’ailleurs (on va dire que les commentateurs des sites d’actualités sont à l’image de la ligne éditoriale du site…)?:
«?Vautours qui se repaissent du cadavres de la démocratie, attirés qu’ils sont par l’odeur de la pourriture politique actuelle.?»
Vivement qu’on ressorte la guillotine. C’est avec ce genre d’énergumène que j’ai compris que le «?Tous pourris?» avait ces vertus…