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  • Nausicaa 24 mai 2018 à 13:38

    J'ai de plus en plus l'impression d'habiter en URSS ça me donne des cauchemars.

  • DéLecteurdeVraiThé 24 mai 2018 à 07:10

    Rappelons ce que disait Daniel Schneidermann :

    "contrairement aux premières déclarations du ministère de l'Intérieur qui parlait d'une simple lacrymogène, c'est une GLI-F4 à triple effet (lacrymogène, assourdissante, et explosive). Depuis la mort de Rémi Fraisse (tué par un autre type de grenade), il est question de retirer les GLI-F4 de la dotation des forces de l'ordre. Même la presse des gendarmes la considère "contestée", et les commandes n'en ont apparemment pas été renouvelées. Qu'elle soit encore utilisée amène, là aussi, à une conclusion simple : il faut bien écouler les stocks. "

  • kawouede 23 mai 2018 à 22:53

    Merci pour cet article, tout  à fait essentiel. Il montre aussi qu'il y a des médias qui font leur boulot. Y compris "mainstream". Et qu'il est nécessaire aussi d'avoir des lieux indépendants d'analyse critique des médias comme le vôtre.


    Maintenant, ne pas tout confondre : la brutalité bien réelle et voulue mais aussi encadrée face aux mobilisations actuelles (ZAD ou manifs loi travail, Sivens autrefois) avec celle des policiers capables de tuer par acharnement comme en 1986 (Malik Oussekine), et encore moins avec les agissements des policiers des régimes dictatoriaux - eux ou leurs alliés d'ultradroite qui font le coup de poing, assassinent des journalistes, etc.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 23 mai 2018 à 22:06

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Mys.er iA 23 mai 2018 à 19:49

    Un peu de courage politique Arrêt sur Images, s'il vous plaît. Lorsqu'il y a "violences policières" et qu'on suit leur traitement médiatique, la communication du ministère de l'Intérieur est systématiquement très rapide et on a affaire dans les heures qui suivent, avant tout témoignage direct ou communiqué de collectif de soutien aux victimes, à la version policière. Version qui impose ses éléments de langage, ses cases, ses protocoles, sa culpabilisation de la victime, sa justification de l'emploi de leurs armes.

    Pour une institution de critique des médias telle qu'Asi est censée être, cet article me semble être d'une naïveté comparable à celle des médias dits classiques, qui semblent à chaque fois ne pas voir comment les forces répressives réagissent avec la même méthode froide et les mêmes ficelles de retournement de situation.


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