poisson 13 août 2024 à 10:54

Un vieil article qui remonte? Non-non, pas vieux, oublié. C'est il y a moins de 2 mois!

Qu'on n'en parle pas est plutôt inquiétant que rassurant. 

Qu'est-ce qu'on fera? Qu'est-ce qu'on dira? Ça n'arrivera pas?

Wisssh 21 juin 2024 à 16:57

ça sert à quoi de relayer des trucs débiles ? A se faire peur, ou à nous faire peur. Très peu pour moi.

Traroth 21 juin 2024 à 13:20

"(...) au bout de 30 jours, les oppositions peuvent saisir le Conseil constitutionnel pour faire reconnaître ou non la validité de cet article 16" : et que se passe-t-il si l'usage de l'article 16 est déclaré invalide par le conseil constitutionnel ?

Modam 21 juin 2024 à 09:32

Pfffffff….. marre de toutes ces spéculations des blablateurs sur les plateaux de téléradios….vive la musique !🎶🎵

Bartabac 20 juin 2024 à 21:26

La détestation de ce type est tellement a un niveau stratosphérique que le moindre soupçon qu'il refasse le coup du massacre des gilets jaunes ,ferait voter une chèvre pour le fn . Il va falloir l'enfermer a vie sous valium ce débile , dès que possible .

Georges-Henri 20 juin 2024 à 21:02

On ne peut pas savoir ce que fera le Président car lui même l'ignore, il n'est pas aux commandes, il obéit à l'expression, à la pression pourrait-on dire  de ses émotions du moment. Ce qui est sûr c'est que ce sera colérique et  brutal.

Mais autre chose m'inquiète, j'ai écouté longuement France-Info aujourd'hui, ils prononcent le nom Bardella à tour de bras. Il y a chez eux,   une complaisance générale, un plaisir sans borne à prononcer ce nom. Je pense que nous devrions établir un comptage... Avec eux, plus besoin d'Europe 1. En cas  de malheur ces gens n'auront aucune difficulté pour se caser,  ils collaborent avant d'avoir à le faire ! 

M. Chat 20 juin 2024 à 20:28

Ben oui. Relire la Constitution, relire l'histoire (application durant 5 mois en 1962, contre un putsch avorté qui a duré... 5 jours). Aucun contre-pouvoir (le Conseil Constitutionnel ? Vous voulez rire...) Aucune garantie (vagues consultations préalables, regardez comment Macron a "consulté" avant la dissolution). Ben oui, on est en France, on est la lumière du monde.

Mopolopy 20 juin 2024 à 20:17

Le dernier paragraphe est glaçant.

Davesnes 20 juin 2024 à 20:08

Je verrais bien Bruno Roger-Petit, le conseiller du gamin immature qui nous dirige, celui qui s'est fait mousser en suggérant qu'il était à l'origine de la dissolution, même qu'il en avait informé Pascal Prout avant même que le Premier ministre soit au courant, avoir lancé cette idée tortue pour voir les réactions (en se disant "si ça réagit mollement, peut-être qu'on peut tenter le coup ?")

Davesnes 20 juin 2024 à 20:01

Serait-ce encore Bruno Roger-Petit, le conseiller du gamin immature qui nous dirige, qui lance un truc pour voir les réactions ?

JEAN FERRUC 20 juin 2024 à 19:24

Allez on remet une pièce dans le moulin de l'anxiété ambiante. N'empêche sa sérénissime altesse jupiterienne peur encore nous surprendre, quitte à utiliser tous les jouets à sa disposition... ces medias ultraconservateurs sont dans une logique du clic frénétique sur le thème de la France à très peur avec un quasi forcené à sa tête.. 

Curatorm-052401 Curatorm 20 juin 2024 à 19:16

C'est une methode du groupe : cela me rappelle la une de Match avec une photo de Muriel Robin et un article sur ce qu'elle pourrait penser en theorie de l'accident provoque par Pierre Palmade.

copie de Crétin des Alpes 20 juin 2024 à 18:35

Y en a peut-être qui rêvent d'Emmanuel Ier ou Napoléon IV ?

Ata Raxie 20 juin 2024 à 18:28

Europe 1  " rétropédale "...  en parlant de Macron, serait-ce une injure lancée à ce jeune ( et charmant ) Président ?

simplet 20 juin 2024 à 18:26

La parole à droite est en roue libre dans les médias, quitte à dire n'importe quoi, par contre celle de gauche a bien du mal à trouver sa place. On ne l'entend plus beaucoup sur les plateaux des tv et des radios.

Où sont les économistes de gauche?

Où sont les électeurs de gauche?

Où sont les politiciens de gauche?

Où sont les éditorialistes de gauche?

Ksenia 20 juin 2024 à 18:21

Que notre constitution autorise le Président, même dans des circonstances bien précises, de s'octroyer les pleins pouvoirs est effrayant. 

Le taré de l'Elysée a bafoué l'expression du Parlement à coups de 49/3. 

Qu'un article de la constitution puisse lui permettre d'avoir les pleins pouvoirs fait froid dans le dos.

Il est grand temps de changer de république. De redonner le pouvoir à l'assemblée nationale.

Une raison de plus pour voter Nouveau Front Populaire.

isaton 20 juin 2024 à 18:18

Peut-être est-ce envisagé si à compté du soir du second tour, qu’importe le bord gagnant, des troubles violents en réaction de la défaite viennent à surgir et s’ils s’aggravent de jour en jour.