Olivier 11 février 2019 à 20:19

Et d'ailleurs, qui a fait quoi dans les virés ? Connait on les méfaits précis de Glad, les harcèlements d'Hervaud et contre qui ?

J'ai mal lu où les seuls à avoir subi des représailles de leur employeur sont ceux qui se sont fendus d'une lettre d'excuse ? Donc ceux qui attirés la lumière sur eux.

Les autres ? Ceux qui n'ont dit mot, ceux qui n'ont rien "twitté" sur l'affaire ? On fait quoi ? Qui fait quoi ? Fait on quelque chose ?

Le pire dans ces histoires, c'est leur traitement.... C'est à vomir. Ça montre un système en décomposition.

Fermez Twitter. Oh la la oui. 

cécile clozel 11 février 2019 à 20:05

sputéfaction !!! alors quoi, c'est pas réservé au populo inculte et antidémocrate de faire des rézosocios un usage bête et méchant ???

Olivier 11 février 2019 à 19:05

On pourrait aussi licencier sans attendre une enquête officielle, Quatremer pour ses insultes aux gilets jaune, Aphatie pour ses infos bidon, Sfar pour les même raison. 

Je ne m'adresse pas aux victimes de la Ligue des connards extraordinaires mais à ceux qui applaudissent devant le gibet

Perso, je souhaite que Twitter et Facebook plantent définitivement.

Olivier 11 février 2019 à 18:59

Aucun signalement, aucune plainte,aucune action en justice et on a déjà viré 6 personnes de leur travail.

On est chez les dingues.

En fait, on la mérite la dictature qui vient.

ps : je ne doute pas un instant des témoignages des personnes harcelées

sansacarioca 11 février 2019 à 18:15

et "ça", c'est des gens qui font du jour-nalis-me, tandis qu'on commente "l'anti-procès" Baupin, qu'on enterre DSK, on substantivise Tristane Banon, on regarde l'affaire Besson rester l'"apanage" de Mediapart

on parle de galanterie, de tradition, de culture, sous l'égide d'égéries, c'est hot, encore !

c'est tellement, Chanel. Et ce courage... et cette noblesse... qu'est-ce qu'ils sont auguste les chantres de ce parisianisme de merde quand ils "S'"excusent.

"...dont je ne voulais pas voir que j'en avais été un parfait représentant..."

et ça se dit journaliste.

pauv' type, t'en as pas été le représentant mais l'ACTEUR, LE SCENARISTE, LE REALISATEUR, LE PRODUCTEUR, et LE PUBLIC

quelle engeance...

Le Radoteur 11 février 2019 à 14:41

Des types de Libération , Télérama :  mais où va-t-on ? Je me marre.

Ce sont des jeunes cons qui finiront vieux cons.

Gato 11 février 2019 à 11:19

Maintenant que les noms sont connus, ça me surprend que ça ne se termine pas en coup de fusil...

Faab 11 février 2019 à 10:43

Et Vincent Glad devrait peut-être changer le bandeau de son compte Twitter : "supermercado" entouré d'une jeune femme prenant la pose et d'une pub Barbie, ça donne une bonne ambiance macho pas très en accord avec son "j'ai changé".

nestorine 11 février 2019 à 10:31

Cette affaire met en lumière le travail de sape qui a permis à ces messieurs de prendre une avance conséquente sur leurs concurrentes féminines...
Donc de se retrouver aujourd'hui dans une position hiérarchique plus avantageuse et d'oser une posture féministe condescendante.
Je lis parfois Libé et j'ai réalisé que j'étais incapable de citer le nom d'UNE journaliste, alors qu'une dizaine de noms masculins me viennent à l'esprit...
Ceci expliquant cela.

Cultive ton jardin 11 février 2019 à 08:09

"Mes conneries, je les assume. Celles des autres, non merci"

Il sait parfaitement, le monsieur, qu'il s'est abrité derrière la meute et qu'il a contribué, très largement, à son pouvoir de nuisance. En refusant d'assumer "les conneries des autres", il essaie de nous tromper, il concède, du bout des lèvres, et de fait il refuse d'assumer.

C'est d'ailleurs rigolo de le voir, peu après, changer de ton. Il n'a pas été touché par la grâce, il s'est simplement rendu compte que plein de gens prenaient ça au sérieux, et qu'il devait donc faire comme eux. Ça n'a rien à voir avec "assumer".

tribeul 11 février 2019 à 07:38

Twitter ou la Poubelle du net

Bor 10 février 2019 à 19:53

Sinon, c'est bien que vous en fassiez un article résumé, mais j'espère qu'Arrêt sur image ira plus loin, une émission ? On est en plein dans la thématique du site, et le gamersgate ou le forum jeuxvideo.com 18-25, ce sont des enfants de coeur comparés aux témoignages que j'ai lu aujourd'hui.

Bor 10 février 2019 à 19:37

Complètement surréalistes ces témoignages. Et ces journalistes qui aujourd'hui se font passés pour des SJW "ce sont les racisés qui en ont le plus souffert". Quelle hypocrisie. 

Ce genre de cyber harcèlement, si des journalistes en sont coupables, je m'attendais plus à des Jean-Charles de milieu patriarcal sortis de Valeurs Actuelles ou des Echos, mais ils viennent de Libé, Slate, Télérama et les Inrocks... 

Yanne 10 février 2019 à 18:12

Cela avait deux avantages de les troller, ça faisait bien rigoler, et ça permettait d'écarter la concurrence, les femmes étant en général meilleures professionnellement meilleures que les hommes, mais avec une psychologie un peu plus vulnérable. 

C'est sans doute ainsi qu'ils sont devenus des journalistes d'envergure. Dans le monde néo-libéral,  tous les moyens sont bons pour gagner...

Rick Blaine 10 février 2019 à 16:37

Je me demandais s'il serait fait mention du réel problème déontologique dans l'article de Libé, qui cite sans son consentement Valérie Rey-Robert...

GP 10 février 2019 à 14:49

Ca donne le vertige de voir autant de gars immatures à la fois dans leurs agissements d'hier et dans leurs excuses d'aujourd'hui. Le "on était con et elles étaient connes" c'est vraiment le top du top du discours de l'agresseur. Non mon gars, tu étais un gros con, et ça s'arrête là.

Carnéade le Fataliste 10 février 2019 à 14:47

Vu les titres pour lesquels ils écrivaient le plus lolesque doit être le nombre de journalistes de la ligue du lol qui ont publié des pavés sur combien était insupportable le harcèlement Nadia Daam par les trolls de jv.com, ou grandiloquemment condamné des attaques sexistes contre des personnalités politiques genre Schiappa.

Maulkyn 10 février 2019 à 14:45

Je trouve lamentable l'excuse de l'âge et du "nouveau réseau social".

Ils avaient tous au moins la vingtaine, ce n'était pas des ados. 

Le pire c'est qu"ils continuaient en dehors du virtuel à harceler leurs victimes.

Je trouve ça honteux, j'espère que les différentes rédactions prendront acte de tout ce déballage et prendront les sanctions appropriées.

Jiemo 10 février 2019 à 14:45

Comment se fait il que les "règlements" se fassent "à l'amiable" et que nulle plainte n'ait été engagée ?

gildas miclet 10 février 2019 à 14:23

un témoignage