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  • toni 12 août 2019 à 18:07

    Joli  travail Tony. Bravo !

  • Marie la dern' 4 août 2019 à 11:35

    Beau travail ! 

  • freT 2 août 2019 à 15:32

    Lu à l'instant et qui résonne, me semble-t-il, parfaitement : "A mesure que les peuples montent en civilisation, les gouvernements descendent en police" (Jules Barbeyu d'Aurevilly, Pensées détachées, nd)

  • Marcelafripouille 2 août 2019 à 15:17

    En perdant leur crédibilité, les forces de l'ordre perdent aussi leur légitimité.

  • christina 2 août 2019 à 14:07

    Pareil. Comme freT.


    Merci à Tony pour cet article.

    Et merci aux abonnés de voter pour le rendre accessible à tous !

  • freT 2 août 2019 à 13:34

    Sacré article ! Du bon boulot.

  • Le Radoteur 2 août 2019 à 12:57

    Les forces de polices et les organismes devant les surveiller sont déjà prêt(e)s en cas d'arrivée d'un pouvoir dictatorial.

  • Cultive ton jardin 2 août 2019 à 12:55

    Presse Océan publie "Une salve de témoignages accablants".

  • Tony A 2 août 2019 à 12:51

    Nous avons la chance, rare dans une vie humaine, d'assister à la mise en place progressive d'un État policier au service d'une oligarchie.


    La différence avec d'autres exemples historiques, c'est qu'aujourd'hui l’État ne contrôle pas les médias... Ils sont déjà entre les mains de l'oligarchie.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 2 août 2019 à 09:59

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Cultive ton jardin 2 août 2019 à 08:31

    Merci pour cette remise "en perspective" comme dit l'autre, on savait bien que l'IGPN est une totale farce, mais remettre tous les points sur tous les i est loin d'être inutile. 


    Une question: comment expliqueriez-vous que dans l'affaire Andrieux, l'IGPN se paie le luxe de ne pas "faire son boulot" habituel? 



  • sandy 2 août 2019 à 06:53

    Bonjour, on a pu observer dans l'affaire Benalla au moment des auditions publiques que l'IGPN était totalement sous la coupe politique du président de la république et du gouvernement. Malgré l'obligation de parler sous serment, la directrice de l'IGPN a menti publiquement considérant qu'il n'y avait eu aucun geste illicite de la part de Benalla. Et en effet lorsqu'elle décrit la succession des gestes en question, pour l'officier de l'IGPN dont elle lit les conclusions, le coup de pied au sol de Benalla est juste ... oublié ;) il n'existe pas et n'a jamais existé. Et ça passe comme dans du beurre au moment des auditions. J'invite @si à revisionner ces images hallucinantes.


  • karlbourd 2 août 2019 à 00:19

    Malheureusement, pas  si satyrique que ça:



    L'I.G.P.N (Institut de Gazage des Preuves Naturelles) et le gouvernement de ce pays  proclame officiellement les règles suivantes qui devront s'imposer dorénavant à tout citoyen participant à un regroupement collectif sur la voie publique (que ce soit dans un but festif ou un but politique) :
    Toute personne confrontée à des tirs de grenades lacrymogènes ou à des forces de l'ordre en train de rosser des manifestants (quand ce n'est pas de leur tirer dessus par  LBD interposé, quasi arme  de guerre) et qui, ayant la lâcheté d'obéir à sa peur, fuirait  ce genre de situation, sera considéré comme complice et coupable à la fois, au cas ou sa fuite entraînerait des dommages corporelles ou psychologiques sur autrui ou elle même, ces dommages seraient-ils sa propre mort. Toute personne qui n'accepte pas de respirer des gaz toxiques et de recevoir les coups légitimes de nos forces de l'ordre (.d'ailleurs, contrairement à d'autres forces de l'ordre en Europe, nous prenons bien soin de ne pas indiquer par une flèche verte voyante par où les participants soi disant non violents pourraient fuir notre souricière) assume seule  ce qui lui arrive ensuite.
    En aucun cas, il ne peut être demander à nos forces de l'ordre de tenir des raisonnements primaires, et de prendre en compte  les conséquences logiques de leurs façons de faire (comme par exemple de faire fuir les manifestants vers un endroit dangereux comme un fleuve).
     Dorénavant,  ceux qui feront semblant d'invoquer la logique et la justice dans ce genre d'affaires seront d'office considérés comme des personnes perverses oeuvrant à empêcher le  maintien de « l'ordre » tel que nous entendons l'imposer dans ce pays. Le bon manifestant se différencie du manifestant vicieux en ce qu'il accepte d'aller de lui-même au devant des coups de matraque, des gaz lacrymogènes, des tirs de LBD, fièrement et à visage découvert, sans protection. D'ailleurs, le simple fait de porter des protections (masques, lunettes) contre la violence supposée de nos forces de l'ordre est un aveu (pas si) implicite qu'on cherche d'office le conflit avec celles-ci, et donc qu'on mérite les arrestations et les gardes à vues préventives de celles-ci. Ainsi la paix civile,  deviendra t'elle effective dans notre pays. 

  • KE-SAIS-je 1 août 2019 à 23:26

    Selon l'I.G.P.N., il n'y a aucun lien entre Monsieur Goullet de Rugy   et des homards ;


    Selon l'I.G.P.N , il n'y aucun lien entre not' Président et l'affaire Alstom  ;


    Selon l' I.G.P.N, il n'y a aucun lien entre le Ceta  et les problèmes  climatiques ;


    Selon l'I.G.P.N, il n'a aucun lien entre l'intelligence et M. Castaner ....



  • Jean-François 1 août 2019 à 22:54

    Vous êtes bien charitables en évoquant des sursauts... De votre synthèse, ce qui frappe, c'est que cette structure ne fait même pas le minimum pour maintenir une illusion de crédibilité et de légitimité sur le rôle qui lui est attribué. 


    C'est dire combien elle n'a aucune espèce d'autonomie. 

     

  • Max Médio 1 août 2019 à 22:11

    Brigitte Jullien, la directrice de l'IGPN dirigeait la police nationale à Bordeaux sous les ordres de Lallement avec que ces deux là soient appelés à prendre leur fonction respective par Macron à Paris.

    Les gilets jaunes de Bordeaux ont de quoi dire sur ces deux numéros de la répression

  • Max Médio 1 août 2019 à 21:49

    Selon l'IGPN, l'eau ne mouille pas et il est impossible de se noyer dans une rivière.

    Ce n'est pas un procureur qui ne veut pas faire de peine à Castaner qui dirait le contraire.

  • Jiemo 1 août 2019 à 21:43

    Ils sont dans l'illégalité, et ils s'en fichent. 

  • gracques 1 août 2019 à 21:38

    Mais le IGPN est une sous direction de'la Police Nationale , constituée de flics qui y font un,passage avantnegnapresbd'autre directions , commissariats , Police judiciaire ou même CRS. 

    On ne peut rien en attendre en terme d'indépendance , elle est sous les ordres directs du directeur de la police nationale qui obéi aux odresvdu'ministre de l'intérieur . Aucune indépendance ni dna ses textes ' ni dans les faits .


    Si encore l'enquête avait été confiée aux gendarmes , même si ceux ci sont sous'les ordres du même mi'istre ..... mais l'IGPN est peut être valable pour les enquêtes administratives en interne , mais,pour le judiciaire  sur des faits visant des policiers ..... c'est juste risible.

  • wesson 1 août 2019 à 21:03

    l'IGPN c'est un peu notre NKVD à nous ...


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