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grrrz
il faudrait mettre dos à dos ces pratiques de caviardage et l'habitude des journalistes de détourner complétement les propos des gens, parfois par ignorance, voire de chercher absolument LA punchline bien simpliste qui plaira au lecteur/télésctateur supposé un peu débile. testé et eprouvé en TV. (souvenir d'une intervew sur France 3 qui devant mon refus de dire exactement ce qu'il attendait et ma persistance à vouloir nuancer a abandonné l'interview furieux). A l'écrit ça donne la réécriture ponctué de courtes citations qui s'apparentent à ces montages où on fait dire aux gens n'importe quoi.
(même si y en a qui le cherchent, souvenir:
https://www.youtube.com/watch?v=gqtRq0VROLM
et puis tant qu'a y être
https://www.youtube.com/watch?v=b11AkLYSQ3A
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BarrJo
Sur Twitter Cécile Duflot a longuement réagi à cet article, ce qui permet également d'éclairer cet intéressant débat.
https://twitter.com/CecileDuflot/status/952835308692877312
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DéLecteurdeVraiThé
Il est dit ici de Chapuis de Le Monde qu' "il explique la relecture par la nécessité de réécrire l’interview pour rendre lisible et intelligible un entretien qui a parfois duré plusieurs heures."
Je me demande comment fera Le Monde le jour où il ira interviewé Trump bien que l'interview ne durera que quelques secondes 140 signes maximum.
Par ailleurs ce que dit Jankielewicz concerne la réécriture par l'interviewé et non la correction syntaxique par le journaliste.
C'est bien du courage que montre là La Voix du Nord. Il est certain que le journal ne pourra plus se prévaloir des interviews de CommMan en personne ni de son ministre favori, le plus sympathique des Collomborateurs
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Strumfenberg ( Aloys von )
Cette thèse que la vérité serait toute entière dans le premier jet m'a toujours paru baroque. " Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage..."