bysonne 16 novembre 2012 à 22:35
Excellent : Sébastien Rochat, César de la dérision.

ceci n'est pas un pseudo 15 novembre 2012 à 10:47
Très drôle et pathétique.
Z'en ont pas marre ces "journalistes" de n'être que des Relations publiques du pouvoir, quel qu'il soit ?

charlie.lapared 15 novembre 2012 à 10:41
Ma qué pena ! C'est vrai qu'on dirait des animaux de [s]basse[/s]-Cour...
Je n'ai même pas pris la peine de les écouter tant je redoutais d'entendre ce que je ne veux plus entendre.
Rien n'a changé depuis l'obséquiosité qui régnait du temps des conf. de presse de De Gaulle ! Depuis Louis XIV !

petit - saconnex 15 novembre 2012 à 09:36
très drôle ,bravo

ceci n'est pas un pseudo 15 novembre 2012 à 08:36
Depuis Louis XIV la France n'a pas changé.

JIEM 92 15 novembre 2012 à 08:15
Bonjour
Bravo Sébastien. Une manière judicieuse de nous relater une comédie qui ne tient pas ses promesses.
Vous auriez du évoquer la réponse mufle de fromage mou à John Paul Lepers qu'heureusement Fan de canard nous a fait connaître.

claude 15 novembre 2012 à 07:36
Pas question de demander à Hollande comment il peut prétende ne pas s'en prendre aux plus démunis en ayant fait le choix de l'austérité à tous les étages, en particulier l'augmentation de la TVA, l'impôt le plus injuste d'après ce même Hollande. A ce stade, au vu de ce qui se passe partout en Europe, il ne nous reste plus qu'à faire la Révolution. Pas facile mais utile pour ne pas crever. Mais il nous faudrait des penseurs et des meneurs et il nous manque cruellement.

Gamma gt 15 novembre 2012 à 01:35
Plutôt envie de pleurer...
J'ai pas le moral ces temps ci.

emilie bouyer 15 novembre 2012 à 00:39
La comédie humaine...

pas de nom 14 novembre 2012 à 21:28
je ricane..

Bruanne 14 novembre 2012 à 20:43
Je pouffe, je pouffe.

En fait, on ne devrait pas en rire !.

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 14 novembre 2012 à 20:06

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Varlin 14 novembre 2012 à 19:48
Pauvre John-Paul Lepers ! J'ai pitié de lui.

Yanne 14 novembre 2012 à 19:02
hi hi hi hi hi