act 28 janvier 2016 à 08:37
Formidable travail de journaliste. Vous renouez avec ce qui m'a attiré vers Arrêt sur Images dès sa création.

Martine BARRAU 27 janvier 2016 à 18:18
Je viens de lire la critique "contre "d'Olivier Milot dans Télérama"et cela m'insupporte.
Quand cessera t-on de prendre les spectateurs pour des enfants incapables de juger par eux-mêmes.Et toujours le même argument :"alimenter le discours stigmatisant envers les musulmans"!


Merci Justine pour votre éclairage sur ce sujet,comme sur d'autres précédemment.

Loran 27 janvier 2016 à 18:13
Merci pour l'article.

Juste un truc "le chercheur Romain Caillet" ... Comment dire ...

Ancien apprenti chercheur ca lui irait mieux. Il n'a pas finit son Doctorat. Et n'a aucun poste de recherche.


Il a en plus un profil, comment dire, plus que douteux.

Jean-François Armengaud 27 janvier 2016 à 14:54
Ne pourrait-on pas imaginé que ce soit pour ne pas déplaire à nos amis saoudiens ou Qatari que cette interdiction est tombée ?

En effet un film qui fait le parallèle entre salafisme et djiadisme, qui démontre que l'un découle de l'autre, doit certainement les déranger.
Alors, les dirigeants français, en commerçant avisés, tiennent à montrer que leur clients sont bien traités dans leur boutique.

Les droits de l'homme et les lumières c'est pour la vitrine.

Beurp ! Pardon, mais il faut que j'aille vomir...

RenSarr 27 janvier 2016 à 14:07
Super article, qui donne bien envie de découvrir Salafistes.

L'interdiction au -18 a été confirmé par la ministre, donc pas de diffusion télé, la question maintenant est, quel soutien aura-t-il en salle ? Enfin dit plus clairement combien de salle vont se mouiller à le diffuser ? Au vu de la décision de Boukhrief (et de son diffuseur) de sortir Made In France en VOD car trop peu de salle voulaient se risquer à le diffuser, on peut craindre la même chose pour Salafistes...

Tristan Le Gall 27 janvier 2016 à 12:56
Le manque de reconnaissance d'auteurs "engagés", ou "classés à gauche" me surprendra toujours. Franchement, qu'est-ce que ça lui coûtait, à Abderrahmane Sissako, de ne serait-ce que remercier Lemine Ould Salem ? C'était une histoire d'argent / de droit d'auteur ? Pareil pour ceux qui font un film tiré d'un livre ou d'une BD (comme La vie d'Adèle) et qui ne rappellent que très rarement ce qu'ils doivent à l'oeuvre originale.

Ou est-ce seulement en France que les cinéastes se comportent ainsi ? Je me souviens de beaucoup de films inspirés de livres et de BD tout justes sortis (Fight club, KickAss) et dont les réalisateurs (américains) faisaient les louanges de l'oeuvre originale dans les commentaires du DVD/interviews, etc.

Bref, on peut être un grand artiste avec un message humaniste et se comporter comme un sale con égoïste.

Dogu 27 janvier 2016 à 12:50
Cette histoire d'apologie commence a me tapper sur les nerfs.

Quand serons nous consideres comme des adultes ?

Les gens qui ont vu le film et veulent l'interdire, ils se sont sentis des envies de rejoindre le jihad ?

On se croirait dans "le nom de la Rose" ou certaines oeuvres ou ecrits sont enfermes hors d'acces du commun des mortels qui pourraient autrement se faire corrompre.

Todd avait raison quand il parlait de flash totalitaire. Sauf que c'est plus un flash.

Strumfenberg ( Aloys von ) 27 janvier 2016 à 11:25
Qu'apprends-je ? Lanzmann aurait donné la parole à des SS ? Il faut interdire Shoah !

Gavroche. 27 janvier 2016 à 09:05
Ouais.

Avec toute la pub qui lui est faite, Salafistes, c'est aussi comme qui dirait un bon gros coup bien commercial...

Al1 27 janvier 2016 à 02:16
Non mais vous dormez quand, sans blague ???? :-D

Vous vous rendez compte du flot de sujets intéressants, passionnants, dont nous sommes avides, et avides d'en discuter ? Vous faites ce que vous voulez, mais nous, faut nous préserver, on n'arrive plus à suivre ! :-DDDD

Excellent article, magistral article, à voter !

Wow, j'en ai le souffle coupé !
Bon, la fin ne me laisse présager rien de bon :
" C'est désormais à Fleur Pellerin de décider si les Français pourront aller s'en faire leur propre idée en salles."

Avec toutes les pressions, imaginaires ou réelles, laisser la décision à une seule personne, c'est un peu pile ou face ! (j'ai failli dire que j'aimerais pas être à sa place, mais si, à sa place je diffuse, et même je promeut !)

Effectivement, y'a Claude Lanzmann, et sans lui je pense que le film n'aurait aucune chance.
Je me souviens de cette histoire, et la diffusion de ce reportage aurait aussi l'avantage de porter ne nom de son auteur, ce qui serait une belle revanche !

Yanne 27 janvier 2016 à 00:05
Article très bien troussé.
J'espère simplement que ce film pourra sortir.
Dans un monde où notre gouvernement a peur de son ombre, tout fait sens et tout effraie, même la description pure et simple de l'horreur passe pour de l'apologie.
Navrant...

Simlec 26 janvier 2016 à 21:44
Petit correctif : "Timbuktu" a bien été césarisé mais n'a pas eu de Palme d'or...