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phalen
"La force du Point réside dans sa qualité éditoriale qui en fait un média de référence. L'objectif est de préserver cette réputation d'excellence (…)"
Étienne Gernelle.
Géraldine Woessner.
Mathilde Siraud.
"Qualité éditoriale"
"Réputation d'excellence"
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Un @sinaute
"Ce magazine, qui se targue d'être le représentant d'une information sérieuse et équilibrée, qui se positionne comme un acteur public mesuré, opposé à toute forme de radicalité" : LOL !
Rappelons qu'on parle ici d'un torchon d'extrême-droite spécialisé en reportages bidonnés (Zemouri et consorts) et couvertures racistes.
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Jean-Michel M
Au-delà de l’idéologie, c’est clairement une violation du code du travail.
En effet, tout projet de transformation significative des conditions de travail doit être présenté au CSE, avant d’être appliqué.
Il y a plusieurs étapes et délais à respecter.
Le CSE peut alors demander une expertise du projet par un cabinet externe, partiellement payée par l’employeur.
Ça ne change parfois rien au résultat, mais ça laisse le temps aux gens de se préparer et de s’informer.
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Max Médio
On a pensé me faire plaisr en m’offrant un abonnement au Point en cadeau. J’aiassez rapidement arrêté de le lire. C’était mauvais. Et sans l’IA.
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IT
The Guardian sort des fois quelques articles sur les électeurs de Trump qui sont très déçus de se faire déporter des USA et ah bin je sais plus du tout pourquoi je raconte ça.
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Gastounet
Dans la configuration médiatique actuelle, la disparition d'un journal ou son effondrement résonne généralement comme une bonne nouvelle; Dans le cas du Point, c'est une fête. On souhaite à ses journalistes d'être enfin les victimes de la destruction du code du travail et des allocations chômage qu'ils ont tant réclamée.
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Peanuts
Journal qui luttait contre Wikipédia supposément islamo-gôchiste, journal dont une journaliste disait tout le bien de la loi Duplomb qui est si bonne pour l'environnement et donc pour nous, ... Mouais, même si ce n'est pas bon pour ma ligne, je vais reprendre 2 fois des moules.
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jammrek
Ils travaillent sans états d'âme pour un torchon raciste et viennent couiner lorsque le taulier les traite comme eux même réclament que l'on traite les basanés ...
Karma is a bitch.
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KE-SAIS-je
" Si vous ne lisez pas " le Point ", vous êtes mal informé. Si vous lisez ' le Point ", vous êtes mal informé .... " ( d'après M. TWAIN ).
Bien entendu, je plains les futurs chômeurs.... mais , ils auront la consolation immense de ne plus voir Gernelle , et d'en dire tout le mal qu'on peut en penser...
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lord
Bon courage aux employés de la rédaction. Toutes ces "petites mains" indispensables (secrétaires de redac, correcteur etc.) qui se font éjecter sans aucun remord et qui ne risque pas d'avoir beaucoup de compassion de la part d'un public qui va les confondre avec les pontes de la direction et de la rédaction.
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Davesnes
"Ce magazine, qui se targue d'être le représentant d'une information sérieuse et équilibrée, qui se positionne comme un acteur public mesuré, opposé à toute forme de radicalité, ne s'interroge visiblement ni sur le caractère radical de son action, ni sur les conséquences d'un recours à l'IA sur la production de contenus", déplore le texte.
Je ne suis pas persuadé que c'est un bon argument que de mettre en avant une vision fantasmée du torchon dans lequel les futurs licenciés turbinent. Le Point ne peut pas se cacher pas d'être devenu un journal d'extrême droite. L'embauche de Gernelle et les responsabilités confiées à la raciste et négationniste Géraldine Woessner suffisent à éclairer toute personne de bonne foi.
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isaton
Ah la « montée en gamme », voilà bien vingt ou trente ans qu’elle est promise face aux délocalisations, et pourtant rien est venu ; chercher l’erreur, plutôt le coup fourré…
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Bartabac
Le point , c’est pas de ces gens qui faisaient des articles contre les manifestants qui défilaient contre la retraite ? c’est pas ces gens qui sont proflic ? Qu’ils crèvent et j’espère que ce sera sanglant , comme ça ils réfléchiront peut être avant d’ouvrir leurs gueule la prochaine fois , rien ne vaut l’expérience .
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Babil
Difficile d'avoir de l'empathie avec des rédactions qui ont passé leur temps à justifier des plans sociaux, des profits injustes, des fermetures car passez de rentabilité, des privatisations. Le Point dernièrement c'était une vendetta contre wikipédia. Sacrés reporters. La seule perte, si au final le journal disparaît, c'est que les médecins n'auront plus rien à mettre dans la salle d'attente. Bon voyage.