evemarie 23 octobre 2015 à 10:26
Enfin !! nos journalistes doivent aller a l'étranger pour s'apercevoir que le racisme est un sujet de zelite plutôt que celui des classes moyennes et populaire . Si vous tenez a un racisme, qui sois transverse a toute les classes sociales prenez le machisme si bien mis en lumière par notre loi sur l'habillement des femmes .
Bravo au Grecs, aux Anglais (Corbyn) , aux Canadien , à nous aussi qui avons voté contre la finance , mais en France nos dirigeants nous mentent et font ce qu'ils veulent puis, les medias disent que se sont les Français qui veulent le libéralisme, le racisme, alors qu'on a voté contre .. Mais quand vous regardez a l'étranger vous faites bien la distinction entre politique et votants .

constant gardener 23 octobre 2015 à 09:47
Bien joué, la rédaction en chef d'ASI. Si le titre de l'article avait été L'économie, clé de la campagne électorale canadienne - ce qui semble être la réalité - il y aurait eu probablement moins de lecteurs.
Pour nous, ici et mainteant, je retiens le sujet est avant tout "une arme de distraction massive" pour éviter au premier ministre sortant de parler des vrais sujets.
Egalement : quel est l'impact du niqab sur l'économie ? Quel est l'impact du niqab sur les changements climatiques ? Quel est l'impact du niqab pour les chômeurs ? Ce sont des putains de bonnes questions, non?

Robert· 22 octobre 2015 à 18:15
J'ai compté six occurrences dans votre article d'inflammable ou d'une de ses déclinaisons.

DanetteOchoc 22 octobre 2015 à 16:48
" quand les deux partisans de droite prétendent défendre la liberté des femmes, les autres défendent la liberté de culte"

On aurait aussi pu écrire :

" quand les deux partisans de droite prétendent défendre la liberté des femmes, les autres prétendent défendre la liberté de culte"

Ou alors :

" quand les deux partisans de droite défendent la liberté des femmes, les autres prétendent défendre la liberté de culte".

Mais non. Ainsi seuls les "partisans de droite" ont des intentions cachées. Intéressante lecture du débat politique.

Pour le reste évidemment le débat prend des proportions grotesques. On ferait mieux de parler d'économie. Il faut noter que les journalistes alimentent les débats stériles ou non signifiants sur ces questions en leur accordant dans leurs papiers et émissions un temps et une importance démesurés.

Strumfenberg ( Aloys von ) 22 octobre 2015 à 16:05
D'accord avec Trudeau Jr, sauf qu'il oublie de reconnaître le droit de se moquer du niqab. Les anglo-saxons en général ont un vrai problème avec le blasphème et le droit au blasphème. C'est bizarre, car l'humour est beaucoup plus central dans leur culture que dans la notre. Peut-être blasphèment-ils de manière plus subtile ( donc méchante) que nous. En tous cas l'idée d'un humour sans blasphème me paraît absurde.