kawouede 2 avril 2009 à 10:06
Beurk, dans quel Monde on vit

merci à Hurluberlu de m'avoir fait écouter la chronique de Mona (toujours asinaute, elle vient d'écrire chez Judith)

ça rejoint aussi de mon point de vue les critiques formulées par Badinter à l'égard des féministes écologistes qui revendiquent un certain retour à la douceur de vivre "au naturel" : elle l'assimile à une servitude volontaire et un refus du progrès !

constant gardener 1 avril 2009 à 22:15
C'est avec ce genre de publications qu'on voit l'idée que les décideurs du journal se font de leurs lecteurs. On n'est donc pas surpris du positionnement de plus en plus ouvertement droitier dudit journal. Ni de la chute des ventes. (idem pour LIBE et l'obscène NEXT)

Elihah 1 avril 2009 à 21:20
Merci m'sieur Hurluberlu :-)
Entre Badinter, Toranian et Iacub, on n'est pas rendu-e-s. Et pas qu'elles hélas.

Hurluberlu 1 avril 2009 à 21:15
À propos d'Elizabeth Badinter, de son étrange conception de la publicité et du féminisme y afférent, je rappelle cette chronique audio de l'excellente Mona Chollet —laquelle est également @sinaute, ou devrais-je dire "fut asinaute"?

Il n'est guère étonnant de voir aujourd'hui Mme Badinter dans ce drôle de mélange des genres au Monde...

Elihah 1 avril 2009 à 20:52
...mais depuis "Fausse route", où cette dame use de chiffres inexacts et tape sur les assoces féministes, je ne vois pas en quoi E.Badinter serait féministe.. m'enfin bon...