ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • l'idiot du village 25 mai 2019 à 09:22

    - une loi protège l'anonymat de certains fonctionnaires, 

    - une loi protège l'anonymat des certaines sources de la presse

    Merci d'argumenter sérieusement de de démontrer la supériorité de l'une sur 'autre

  • HBK 24 mai 2019 à 09:23

    Ça me rappelle la grande époque des purges à la Pravda.


    « On savait s’amuser à l’époque »

  • Faab 24 mai 2019 à 08:53

    Pour l'anecdote, il y a au moins un régiment des forces spéciales, le 13e RDP qui a déjà organisé des... portes-ouvertes, en 2013 et 2014.

  • totoro45 24 mai 2019 à 08:41


      Une question pour essayer de comprendre la situation : 


     - une loi protège l'anonymat de certains fonctionnaires,  


     - un de ces anciens fonctionnaires cité en tant que tel dans un article d'Ariane Chemin porte plainte 


     - le procureur chargé de cette plainte confie l'enquête à la DGSI plutôt qu'à la PJ . 


      

      Ma question concerne le choix du procureur :  


      cette latitude laissée au procureur correspond à quel  article du code de procédure pénale ? 


     

  • DéLecteurdeVraiThé 23 mai 2019 à 20:30

    L'amendement sur la protection de l'identité des forces spéciales : "Il est proposé par le gouvernement Valls "


    un sacré petit facho ce Valls

    Comment fait-il pour se regarder dans la glace, lui dont on s'étonne qu'il osa jamais se dire socialiste

  • permanent waves 23 mai 2019 à 19:15

    Ariane Chemin, est convoquée à la Direction générale de la sécurité nationale (DGSI) le 29 mai.  


    la question que je me pose ( c'était le cas aussi lors de la dernière émission d'@si ) c'est : 

    Que se passe-t-il si on ignore la convocation ?

    Nous envoi-t-on la police ? L'armée ?

    Et si oui, ne faut-il pas attendre qu'on vienne nous chercher manu militari sur son lieu de travail (par exemple ) pour avoir un impact sur l'opinion publique plutôt que de se rendre comme un mouton à la convocation ?


    Si un juriste peut m'éclairer...merci

  • Tony A 23 mai 2019 à 19:11

    Bon, on n'a pas encore notre Guantánamo ou notre Abou Ghraib, mais au train où vont les choses ça devrait se faire avant la fin de la présente mandature...


    Parce que "c'est notre projeeeeeet !"


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.