Le marathon judiciaire de la Frondeuse Twitterweiler

Sébastien Rochat - - 27 commentaires

Six heures d'audience et peu de journalistes sur la ligne d'arrivée

Des chaussettes qui trainent, un tube de dentifrice mal fermé et une prétendue liaison entre "La frondeuse" et Patrick Devedjian. C'était le grand déballage au cours des six heures d'audience de la 17e chambre correctionnelle de Paris qui jugeait, mercredi 20 mars, si certains passages du livre La frondeuse, biographie de Valérie Trierweiler, étaient une atteinte à la vie privée et à l'honneur de l'actuelle "Première dame". Et il fallait rester jusqu'au bout de l'audience pour voir comment l'avocate de Trierweiler a dézingué, avec efficacité, "la" fameuse source à l'origine de la rumeur Devedjian. Récit d'une audience marathon.

Silence, on tourne. Mercredi 20 mars, belle pagaille au tribunal de Paris. La réalisatrice de LOL (défense de rire) tourne des scènes de son prochain film baptisé Une rencontre. Paraît-il que François Cluzet et Sophie Marceau sont dans l'enceinte du palais de justice. @si a raté ces stars-là. Mais pas celles du petit écran. Car il y en a beaucoup ce jour-là. Surtout à la 17e chambre correctionnelle, appelée aussi "chambre de la presse" où l'on traite les affaires de liberté de la presse et de diffamation. Arrivé en avance à l'audience consacrée au livre sur Trierweiler, @si a vu les noms et les affaires défiler au cou...

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