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lecomte.suzanne-140343 lecomte.suzanne
J'aime Le Média, j'aime ASI, je donne aux deux, alors... je suis désespérée de voir les relations humaines se détériorer à ce point d'une part et des journalistes se complaire dans la rédaction de ce délitement d'autre part!
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Olivier
Bref, c'est un foirage.
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@CMichael_fr
J'ai hâte de lire la suite de cet article pour la saison prochaine.
Pour la direction du Média, avis très personnel : j'imagine que ça pique. Mais essayer de prendre en compte un avis extérieur. Ceux qui vous aiment ne devraient pas se désabonner pour cet article. À priori.
D'un point de vue d'un abonné : je n'ai rien contre Guiraud (même plutôt tendance à l'apprécier). Mais le mettre en avant en tant que chroniqueur, ça dessert un peu le positionnement de votre média, je trouve. On voit très bien vos valeurs. Peut-être pas la peine d'en rajouter ha ha ha. Ou a minima, le mettre un léger contradicteur en face.Sinon autant l'appeler Le Média des insoumis lol.
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poisson
Nous voilà complètement convaincus, après sa quinzaine de messages dans le forum, que M. Kouamouo n’a pas du tout un tempérament de harceleur.
Qu’il sache que nous simple lecteurs, nous lisons l’article une seule fois. Que nous n’allons pas le relire à chaque fois qu’une modification est faite. Donc qu’il sache que son refus de faire un droit de réponse est nuisible à la prise en compte de ses remarques.
Dommage pour lui.
Oui, un droit de réponse qui est en général annoncé dans le forum, qu’on aurait lu, fait une fois pour toute pour que les nouveaux lecteurs et les primo-lecteurs voient les « erreurs » de l’article et puissent en conclure quelque chose.
M. Kouamouo: mais non (au droit de réponse)
poisson: bah si
On voit bien que écrire tous ces commentaires est une façon de coincer Maurice Midena, de verrouiller toute solution, jusqu’où? Suppression de l’article? Faire virer Maurice Midena :-) ?
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Ervé
Je profite de la présence de Théophile Kouamouo sur ce forum pour poser quelques questions qu'il pourra peut-être transmettre à Taha Bouhafs :
Un des membres de ma famille étant abonné à Marianne, il me fait passer l'hebdo quelques jours après l'avoir lu.
Je ne l'ai jamais considéré comme un journal d'extrême-droite, mais Bouhafs déclarant que ceux qui y écrivent ainsi que ceux qui relaient ses articles sont des fafs, je me demande si la nature de son contenu ne m'aurait pas échappé.
Je commence à avoir des doutes sur les opinions politiques de ce proche qui ne m'avait pourtant jamais semblé diffuser des idées extrémistes. Je crains à présent qu'il ait cherché à m'embrigader.
A lire Marianne pendant toutes ces années, serais-je devenu fasciste à l'insu de mon plein gré ?
Est-il trop tard pour entamer une cure de désintoxication idéologique ?
Et si c'est encore possible, quelles sont les lectures qui pourraient aider à m'en sortir ?
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Jenny
Il y a certes des choses à reprocher au Média Tv, mais faut-il en inventer ? Interpréter plutot que relater ?
On dirait qu'avec le départ de Daniel Schneidermann, l'honnêteté a quitté Arrêt sur images.
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tkouamouo-113026 tkouamouo
Fidèle à ma logique de réfutation de cet article de mauvaise foi en toute transparence, je note l'ajout, ce vendredi 28 janvier au soir, "d'une précision sur les conditions du tournage perturbé d'Elsa Margueritat". En réalité, il ne s'agit pas d'une précision mais d'une contestation. Une contestation qui est le fruit d'un dialogue entre Maurice Midena et moi. Un Maurice Midena qui a tellement épousé les thèses de sa source qu'il se retrouve à ramer pour rééquilibrer au bout de la cinquième ou de la sixième modification de son papier. Je vous raconte ce qui s'est passé en coulisses pour arriver à cet "ajout".
Ce vendredi autour de midi, j'ai rencontré au Média Thomas Porcher, qui était le coanimateur avec Elsa Margueritat de L'Instant Porcher. D'emblée, il me dit qu'Arrêt sur Images l'a appelé au sujet du "craquage" d'Elsa lié à un tournage prétendument saboté par des collègues faisant du bruit exprès pour la perturber. Il a dit à Maurice Midena qu'il n'a pas été témoin de ce "craquage", et que les tournages se sont toujours déroulés dans une très bonne ambiance. Je comprends que ce témoignage n'arrangeant pas Midena, il ne l'a pas retenu. Après Thomas, un des témoins de la scène (que j'avais déjà interrogé quand Elsa avait transmis à la direction des plaintes sur ses conditions de tournage) explique que, oui, il y a bien eu craquage, mais que de toute évidence il n'y a eu aucun sabotage, juste du bruit de personnes revenant de déjeuner et ne se disciplinant pas assez vite - c'est le lot d'un grand nombre de tournages dans notre open space.
Bref, j'écris à Midena pour m'étonner qu'il n'ait pas pris en compte le témoignage de Porcher, et qu'il n'ait pas contacté de témoins directs de la scène décrite avant d'endosser la thèse d'une manifestation d'hostilité, "jusqu'à l'absurde". Il confirme avoir bien eu Porcher qui a dit n'avoir rien vu. Mais que la scène s'est déroulée après son départ. Et me dit que tout a été recoupé. Je lui fais remarquer qu'il n'a interrogé aucun témoin direct justement. Comment il a donc pu "recouper" ? Il me dit, incroyable, "s'ils ont des choses à me dire, ils peuvent m'appeler". Euh. C'était son job de les appeler avant d'écrire. Il finit par appeler UN technicien de plateau sur trois, qui lui dit n'avoir pas été sur place ce jour-là. Comme si le fait qu'UN des techniciens n'ait pas été sur place et dise ne pas m'avoir parlé suffisait à recouper son info. Je martèle qu'il n'a eu aucun témoin direct. Il finit par en appeler un qui dit que, oui, il y a eu du bruit, mais manifestement sans intention de nuire. C'est une réfutation : il la coince dans un bout de phrase entre parenthèses mais maintient sa thèse du harcèlement volontaire. Or il n'a pas non plus recueilli les témoignages des personnes qui étaient dans le studio et qui ont fait du bruit ce jour là. Il ne le fera qu'avec difficulté car aller jusque là effondrerait complètement sa thèse : en effet, la plus bruyante de ces personnes est tout simplement un des soutiens les plus bruyants... d'Elsa Margueritat.
Une fois de plus, ASI rajoute une info qui remet en cause son narratif, mais n'en tire aucune conséquence. Oui, Taha n'a pas pu être "imposé" face à une femme vu qu'il a été recruté en décembre alors que le processus de recrutement d'une journaliste spécialisée féminisme et genre s'est étalé de janvier à mars... QUAND IL ÉTAIT DÉJÀ LÀ. ASI rectifie sa chronologie mais continue d'écrire que l'embauche de Taha a été "privilégiée" face à une femme, ce qui est faux. ASI continue de dire qu'Elsa a été chassée, là où elle a démissionné plusieurs mois après les incidents qu'elle décrit, et alors même qu'elle n'avait remonté aucun grief depuis des mois à ce sujet. Mais ASI dit qu'on peut être "chassée" même si on n'est pas "virée". Que "chassée" relève de l'interprétation.
Et là, la réalité d'un sabotage de plateau n'est corroborée par aucun témoin. Aucun "agresseur" n'a été appelée à s'expliquer. Le coanimateur de l'émission témoigne d'une bonne ambiance générale. Mais on rajoute des propos entre parenthèses et on parle de "précision" là où il s'agit d'une réfutation. Malhonnête.
Maurice Midena me demande d'arrêter de solliciter des modifications et de rédiger un droit de réponse. Mais non : jamais des erreurs manifestes ne sont compensées par un droit de réponse sur un support, Internet, qui nous permet de modifier.
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IbrahimES ibrahim
Un article au ton faussement neutre...
Les tweets liké sont fortement connoté d'extrême droite
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grrrz
Quitte à privilégier une star de la gauche et ses 100 000 abonnés sur Twitter. Une star pas forcément assidue au travail – comme Marianne l'avait révélé dans un portrait acide
allez chercher un article de Marianne pour taper sur Taha Bouhafs sur son "éthique au travail"; alors que celui-ci est systématiquement la cible du harcèlement de la droite et de l'extreme-droite (y compris Marianne donc) depuis des années; c'est petit; et c'est juste ajouter au "pile-on" qu'il subit.
L'article est clairement à charge contre lui du début à la fin. Ensuite on en saura pas plus sur les positions politiques de Marguaritat ni sur ce qu'elle écrit (je ne sais pas exactement ce que ça veut dire "anti LFI"); mais si elle adhère effectivement à la ligne éditoriale de Marianne on comprend très bien que ça puisse clasher (ce qui n'est pas une excuse pour que ça tourne au harcèlement bien sur). Après c'est de la responsabilité du "média" en question d'avoir un minimum de cohérence sur sa ligne éditoriale, mais chaque fois qu'on en entend parler c'est le chaos total; à un moment faut peut être qu'ils arrêtent les frais.
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Maurice Midena
Bonjour à tous, merci sincèrement pour vos commentaires, auxquels j'ai essayé de répondre du mieux que je pouvais. Je me demandais, en vue de mon prochaine article, s'il n'étais pas opportun que j'amorce par un premier commentaire un fil de réponses d'évidées aux questions que vous pourriez avoir sur mon travail. Cela permettra au reste du forum d'échanger sur d'autres, et à moi de centraliser les remarques directes sur le contenu du papier. Qu'en pensez-vous ?
A vous lire
Maurice -
Olivier
A la lecture du papier et des commentaires, cet article traite davantage de la politique d'un média concurrent dans les domaines éditoriaux et de ressources humaines qu'autre chose.D'où la question : est ce le rôle d'@si ?
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FORTUNALAND
"En décembre 2020, la rédaction, informée par la direction de son souhait de recruter le journaliste Taha Bouhafs, pose cependant une condition : l'embauche d'une journaliste dédiée aux questions de genre."
Il apparait évident qu'un média aussi fragile n'a pas forcément les moyens d'engager une journamaiste dédiée aux questions de genre. Ce sujet est important, mais en faire un axe éditorial est un non-sens si l'idée directrice est d'abord de recruter... des spectateurs.
Un média qui ne me parlerait que de féminicides et de discriminations hommes-femmes... n'aurait guère de public, nan ? -
l'ôtre
Bonjour
On aurait aimé plus de discernement et d'information dans cet article, complètement centré finalement sur la personne de Théophile et celle de Taha Bouhafs.
Parmi les femmes, pourquoi ne pas parler de Nadiya Lazzouni, présentatrice très régulière et talentueuse de la matinale ? (j'ignore son statut, mais peut-être ASI peut-il nous en dire plus). Et Lisa Lap ?
Pourquoi, toutes les informations d'ASI sur le Média sont-elles systématiquement négatives, et ceci depuis le début (et sinon, c'est silence radio) ? Pourquoi, alors que l'émission sur les indé a invité il y a quelques temps Blast, où Mathias Enthoven a parlé du modèle économique de ce média, pourquoi, donc, personne n'a-t-il rappelé que c'est bien aussi (et d'abord) le modèle du Média. (Précision : je n'ai rien contre Blast, ni contre Mathias Enthoven).
Rappelons aussi que, il y a quelques temps, l'émission sur les écoles de journalisme du même journaliste laissait dire tranquillement à une des intervenantes qu'on peut s'interroger sur le statut de journaliste de Ruffin (avant qu'il soit député) et de Taha Bouhafs.
Je ne fais pas de conclusion hâtive ou hasardeuse, mais je trouve tout cela un peu beaucoup.
Y a-t-il des inimitiés voire des rancœurs que nous (abonnés d'ASI) ignorions ? Pas très professionnel, si cela doit influer sur la qualité des informations.
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tkouamouo-113026 tkouamouo
Votre article remanié (je ne sais plus à quel nombre de versions vous êtes, parce que vous n'avez pas signalé dans vos mises à jour l'ajout des propos de Julien Théry) reconstruit enfin une chronologie claire. "En décembre 2020, la rédaction, informée par la direction de son souhait de recruter le journaliste Taha Bouhafs, pose cependant une condition : l'embauche d'une journaliste dédiée aux questions de genre. Selon un journaliste, la demande est acceptée, une offre d'emploi est publiée, la rédaction rencontre plusieurs candidates de janvier à mars, et choisit Maud Le Rest." En gros, Taha est recrutée en décembre. Et Maud Le Rest choisie en mars. Mais vous maintenez que l'embauche de Taha a été privilégiée à celle d'une femme !!! C'est complètement absurde. Et cela a des conséquences. Taha se fait harceler (et pour le coup c'est du vrai harcèlement) sur Twitter. Un exemple : "Taha Bouhaf l’influenceur de gauche et féministe qui VOLE le poste d’une journaliste qualifiée". Le reste est à l'avenant. C'est la foire au racisme, au classisme et à la mesquinerie de cette petite bourgeoisie qui pense que tout lui est dû.
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tkouamouo-113026 tkouamouo
Vous avez rajouté le fait que Maud Le Rest s'indignait qu'on lui refuse une pige "sur les féminicides" au profit d'un projet d'"un projet de reportage sur des violences policières à Marseille de Taha Bouhafs (finalement annulé)". Il ne s'agissait pas seulement de violences policières, mais d'un crime policier. https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/police/violences-policieres/marseille-un-homme-tue-par-un-tir-de-policier-une-enquete-est-ouverte_4727525.html
Taha étant permanent, on ne doit pas payer de pige, mais on doit trouver des sous pour payer son déplacement en train. Et on a du mal à les trouver. En dépit du caractère tragique de cette affaire, Maud Le Rest se plaint : alors comme ça on peut trouver des sous pour aller enquêter sur un crime policier (en réalité on ne les a pas trouvés), mais on chipote pour lui donner des sous pour faire un papier de desk sur les féminicides ? En pleine campagne de levée de fonds, voici un bien mauvais signal, etc.
Au sujet de Cemil, il a été recruté pour renforcer la proposition d'actualité pendant mon congé paternité (durant le mois de juillet mais j'étais déjà empêché au mois de juin). Et on était obligés de le faire. Les audiences avaient littéralement plongé comme vous pouvez le voir sur le site de monitoring Socialblade. Elles sont passées de 4,2 millions au mois de mai 2021 à 2,7 millions au mois de juin et à 2,045 millions au mois de juillet. Une catastrophe industrielle. En août, après l'arrivée de Cemil et mon retour, on passe à 3,85 millions. Et en décembre, notamment grâce à la matinale, on était à 6 millions de vues mensuelles. On peut donc porter un regard global au lieu de tout faire entrer dans un narratif "forcé" sur un sexisme imaginaire.
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Hyuga
Article à charge qui ne donne qu'un point de vue. Assez décevant de la part ASI. S'attaquer à un autre media de gauche qui est dans la difficulté je ne vois pas l'interet. En étant si peu factuel. Il n'y a pas assez de personnes sur qui enqueter ?
C'est pas en affaiblissant les autres qu'on se renforce.
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isaton
Tiens, Alain payer Peyrefitte est toujours ministre de l’information, je le pensais mort ce gars ?
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Bernard Macfly
Quand un journaliste menace de dénoncer publiquement une consoeur en vue de son ostracisation pour s'être un peu trop écarté du dogme libéral d'êxtreme-gauche, on peut appeller ça de la "cancel culture" ou ça n'existe toujours pas ?
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Yanne
Voilà un travers de l'extrême-gauche qui a glissé et imprégné la gauche radicale : c'est le fait de s'exclure les uns les autres, toi t'es un-e facho parce que... , il n'y a pas assez de femmes, pas assez de ceci, pas assez de cela. N'importe qui peut venir, mais après, il faut des équilibres...
Pas de petits chefs et pas de grands chefs, mais pas non plus de protocoles de prises de décision démocratiques. Comme si tout allait de soi, comme si une organisation n'était pas nécessaire pour que tout le monde sache comment fonctionne le groupe, ceux qui veulent entrer et ceux qui veulent en sortir. Un processus décidé démocratiquement, on ne connaît pas.
Les choses devraient se faire toutes seules, mais au bout du compte, ça ne va jamais. Il y a toujours des contraintes qu'on n'avait pas prévues et qui étaient si prévisibles. On fait mine de faire comme si on découvrait le problème... Mais si on l'admettait, ce serait la fin de tous nos principes qui sont apparus je ne sais pas d'où, et surtout pas ceux qui les professent.
Tout le monde est dans ses émotions, c'est la foire d'empoigne permanente...
Ce serait seulement risible si les fachos '(les vrais) n'étaient pas, eux, en position de se mettre à décider, prendre le pouvoir, et surtout de prendre les plus mauvaises décisions, pour eux-mêmes, pour nous et pour tous les autres.
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bistouille
Pour ce que ça vaut, je continuerai de soutenir Le Media ET Blast! Même si comme nombre de personnes ici, ça me déprime ces guerres de chapelles, ces exclusions, ces procès... je déplore la division de la gauche, des syndicats et des médias non-alignés sur l'oligarchie.
Sans doute ma lâcheté, mais j'arrive pas à me décider: qui est le plus vertueux, le plus idéologiquement pur, le plus indépendant, le plus incorruptible?Pendant qu'on discute pour savoir s'il vaut mieux en priorité "féminiser" un plateau ou le "pluraliser" (pardonnez le néologisme à la con, je trouve pas de bon terme) on s'écarte d'une des raisons de ces situations: le manque de moyens qui fait que toute décision sera un non-choix, comme devoir choisir entre "manger à sa faim" ou "se chauffer par grand froid".
Sur un autre sujet, comme déjà écrit dans un commentaire plus haut, par rapport à la colère de Taha Bouhafs sur ce qu'il assimile à de l'islamophobie déguisée, il y a un truc qui semble lui échapper, c'est qu'une partie non négligeable de la gauche hérite de l'analyse marxiste, des combats pour la laïcité (loi de 1905), a lutté ou lutte encore contre l'influence des religions dans la sphère étatique, éducative (plus de 90% des établissement d'enseignement privés sont catholiques), médiatique. Il y a encore 50 ans, dans ma région les recruteurs demandaient aux curés du coin si telle ou tel allaient à la messe le dimanche (sinon c'etait le risque de faire entrer PCF/CGT dans la boîte) avant de les embaucher.
Des gens se réclamant de la ligne politique qui a combattu longtemps l'influence du curé dans les classes populaires sont donc tout autant hostiles à l'influence des représentants des autres religions, ça me paraît logique, c'est le contraire qui est incompréhensible.
Je me souviens avoir défilé contre la venue de JP II à Pa