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Jimpzy
Qu’attend-on dans l’audiovisuel public alpestre français pour traiter de harcèlement ? ça affleure autrement pour parvenir au stade de la publication : https://www.nouvelobs.com/teleobs/20190415.OBS11577/malaise-a-france-3-apres-la-tentative-de-suicide-d-une-salariee.html
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pierrounet
De la boue...encore de la boue...toujours de la boue...
Arriverons-nous à nous en extraire un jour?
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Brenda Relax
"agissements inacceptables et contraires aux valeurs et aux pratiques de la RTS"
Surtout contraires à la loi. Les "valeurs" d'entreprise, on sait ce que ça vaut. Ca faisait 20 ans que le gars faisait ce qu'il voulait et maintenant RTS fait l'innocente. Alors les "valeurs" à retardement, hein...
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jammrek
Darius Rochebin a-t-il été embauché malgré sa réputation de prédateur sexuel ou grâce à elle ?
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Amoklaüfer
Je ne vois pas ce que cet article apporte par rapport à celui du Temps, complet et accessible gratuitement.
C'est juste une revue d'article...
Ce qui m'aurait plus intéressé, c'est l'analyse dudit article. Je le trouve gênant dans sa construction, au point que j'en questionne l'honnêteté.
L'article avance crescendo. Il ménage ses effets en faisant des petites allusions à Rochebin dans les premiers paragraphes. On a l'impression de lire un article sur une culture généralisée du harcèlement à la RTS (d'où la "loi du silence"), sans focus particulier sur Rochebin. Puis progressivement on avance sur Rochebin, et tous azimuts : les propos salaces aux collègues masculins, des baisers volés dans le couloir, des mains sur les parties génitales devant tout le monde. On a de fausses pudeurs de gazelles devant un comportement qui trahit ses préférences sexuelles : bisexualité, goût pour l'auto-humiliation. On parle de harcèlement sur le lieu de travail et en même temps de dragues sur les réseaux sociaux... dénonciation de comportements sur le lieu de travail ok, mais outing, pratiques de drague, goûts sexuels... Les journalistes sont juges, pasteurs, directeurs de conscience, quoi d'autre encore?
L'accumulation est étrange. Ce qui relève de la loi, c'est le harcèlement sur le lieu de travail. L'abus de sa position à la RTS qui lui a permis d'avoir des comportements inappropriés en toute impunité auprès de certains collègues. C'est déjà un sacré dossier, non? Pourquoi vouloir en plus mettre mille occurrences lourdes sur la "jeunesse" des victimes? Elles sont toutes majeures, sauf une et là l'article bredouille comme dans l'article de ASI "il avait 16 ans et quelques mois, mais il a dit qu'il en avait 17 pour arrondir, mais au fond de son coeur il était plus que mineur". Comme si on voulait pimenter avec un peu pédophilie dans tout cela. Pourquoi user de pléonasmes comme "jeunes étudiants"?! Pourquoi mêler les actes punis par la loi à cette histoire avec Antoine, étudiant en lettres, contacté/dragué sur Twitter?
Les actes de harcèlement sur le lieu de travail ne sont pas assez importants, truculents?
Je me trompe peut-être. Je me trompe certainement. Le commentaire de textes littéraires appliqué à un article de presse n'est peut-être pas une approche pertinente. Mais souvent le sentiment que l'on ressent à la lecture d'un texte - ici la gêne, un sentiment de bizarrerie - est un bon départ pour décrypter et déconstruire un texte et ses intentions. C'est que j'attends (un peu plus) de la part d'ASI, plutôt que ce copier-coller d'article. Merci.
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kucing
"Jean-Marc Morandini, qui voit l’arrivée de cette nouvelle compétition d’un mauvais œil."
Tu m'étonnes !
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