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kiki22
Sincèrement que peut-on encore attendre de politiciens qui ne représentent que leurs financeurs de l'oligarchie financière ?
Pas étonnant que les citoyens soient révoltés et veuillent en finir avec ce système ! -
Faab
En tout cas, la Commission et le Parlement européens n'ont pas l'air trop préoccupés par le sujet (étonnant, non ?) : le Parlement européen adopte la directive sur le secret des affaires.
Extrait pour ceux qui sauvent l'honneur :
"Les eurodéputés verts, très en pointe dans le combat pour la transparence, étaient montés au créneau ces derniers jours. Ils avaient demandé en vain la réécriture du texte, ou du moins le report de son vote. Ils mettent en garde sur une définition trop large du secret d’affaires, et sur l’absence d’une protection spécifique pour les lanceurs d’alerte.
"Si les journalistes ne peuvent être condamnés pour avoir fait leur travail, alors il faudrait que cela soit expressément écrit dans le texte, or cela ne l’est pas, souligne l’eurodéputé écologiste français Pascal Durand. En France, cela ira peut-être, mais pensez aux médias en Hongrie, en Pologne."
Les Verts réclament désormais une directive spécifique, afin de définir un statut juridique et une vraie protection des vigies citoyennes, au niveau européen." -
Athanase Broutechoux
Je maintiens mon avis (donné je ne sais plus où... désolée) : ce qui sera officialisé est un immense écran de fumée qui ne contredira en aucun point la directive sur le secret des affaires. Parce que, qu'est-ce qu'une boîte à lettres ? Une boîte dans laquelle un facteur met un pli. Et alors ? N'importe qui peut mettre un pli dans une BàL. Et n'importe quel propriétaire d'une BàL peut affirmer n'avoir rien reçu, jamais, et sur l'honneur. Et puis, une BàL se découpe facilement en catégories...
Bref, une agence anti-corruption et indépendante sur tous les secteurs (finances, environnement santé, énergie, économie, énergie, politique (et oui), agricole (etc.) serait trop... officielle et devrait rendre (des) compte. Une BàL, c'est.. pfffffff
Non, les multinationales et grandes entreprises ont trop de choses à cacher / à risquer aujourd'hui pour laisser passer quoi que ce soit.
Ce qui me gêne, en tant que citoyenne, c'est que le Conseil d'Etat soi-même refuse l'idée de création d'une autorité indépendante. Aurions-nous, en France, un Conseil d'Etat sous influence ?
Et pourquoi pas !