-
Balthaz
je suis de voir quelle recette elle va proposer pour sauver la planète après la prochaine prise de bénéfice sur les places boursières.
on vient d'avoir droit au "rebond technique", maintenant les spéculateurs se goinfrent et ça se redégringole.
Mais qu'on ne s'en fasse pas : On va REconstruire un capitalisme financier moralisé . Shakeqi oublie que pour RE construire qqchose, il faut d'abord qu'elle existât avant . et " capitalisme financier moralisé", voilà une belle salade d'oxymore ))
et voilà même qu'il va à NY pour parler de capitalisme REGULE !!!! régulé, il ignore sans doute que ce mot est une insulte aux USA, une des pires grossièretés , non?
et tant qu'il amuse la galerie avec des discours sans effets, les "capitalistes financiers moralisés" peuvent retourner à leurs affaires et jouer comme des petits fous. ça fait 40 ans qu'on invente des outils de contrôle, 40 ans qu'ils s'amusent à inventer des nouveaux "produits financiers" qu'on retrouve à la fin sur notre relevé de banque à chaque fois allégé grâce à leur génie créatif.
98% de l'argent qui circule dans le monde n'existe pas. un édifice construit sur vent ne peut pas durer éternellement. il durera tant qu'on les autorisera à nous "ponctionner" -
Sylvain Briand
C'est un gag, ce n'est pas possible autrement =___=;
enfin bon heureusement que Lagardes est la pour garantir que le marché spéculatif ne s'effondre pas au frais du contribuable américain (trop sympi-sympa-kikoo-lol).
Je me demandais comment ce pouvait être pire, j'ai la réponse, le gouvernement se surpasse pour nous produire des abérations chaque jour, c'est beau, du coup hâte d'être demain pour voir la gueule du énième plan com' ! -
Nonosse
Bande de petits mal polis ! Vous râlez, vous râlez, et vous oubliez de dire coucou à Nicolas Princen.
Pardonne leur, Nico, ils ne savent pas ce qu'ils font.
Bisou,
N. -
Ervé
Lorsqu'on songe qu'il suffirait de "moraliser le monde financier" pour que le système capitaliste devienne un Eden où nous pourrions tous vivre en si parfaite harmonie...
Parce que cette merde noire dans laquelle nous commençons à nous enliser, n'est pas, à proprement parler, le produit d'une "crise systémique".
C'est juste que certains acteurs de l'économie de marché manquent cruellement d'"éthique".
Pas de moquerie facile à mon égard, siouplé.
Je ne fais là que résumer les analyses de professionnels de la profession d'économiste glanées au hasard de radios ou télés, que répercuter les paroles d'experts dont la subite et foisonnante apparition rappelle celle de limaces après une gros grain (entre guillemets, des bribes de leur bave).
Pour ce qui nous concerne plus particulièrement, en tant que sujets du régime sarkoziste, on peut être certain que l'amoureuse comblée et conseillère de Bush Christine Lagarde, et le plus hexagonal mais non moins sympathique et charismatique Eric Woerth, feront usage d'outils adéquats et convenablement vaselinés.
Hier soir, sur France Inter, entre deux hommages appuyés à son président hyperactif, le second a réussi à convaincre les deux journalistes chargés de le cuis... de l'interv... de lui servir la soupe, que le bouclier fiscal contribuait à une meilleure justice sociale...
Favoriser les plus riches, c'est aider les plus pauvres. La crise c'est la prospérité. -
faut pas rever
je pense que nous ne devrions meme pas en parler de leur vie privée , mais seulement analyser leur travaux -
Pixalad
Christine Lagarde est vraiment l'emblème du Sarkozysme, dans son aspect triomphant comme dans son aspect le plus pathétique.
Icône du libéralisme, "self-made woman", made in America, d'ailleurs, elle ne cesse de mettre en avant sa force de travail, son abnégation. Incarnation de "la France qui se lève tôt", ses 800 000 $ annuels ne sont que l'illustration du "travailler plus pour gagner plus". L'image est parfaite, jusqu'au nom "Lagarde" qui sonne comme un label, puisqu'il évoque tout de suite une phrase héroïque "La garde meurt, et ne se rend pas", et qu'elle a préféré à son nom de jeune fille - qu'elle aurait pu reprendre, puisqu'elle n'est plus mariée, apparemment - "Lallouette" qui, lui, rappelle plutôt une comptine malvenue : "je te plumerai..."!
Christine Lagarde est là pour rassurer le franchouillard un-peu-raciste-quand-même qui veut bien de la prime au mérite, mais pas que pour les noirs et les arabes. Elle est la façade bien française de l'intégration, face à Rachida Dati et Rama Yade.
Et pourtant, ses multiples dédits sur les prévisions de croissance, sa défense, coûte que coûte (c'est le cas de le dire) de la loi TEPA et du paquet fiscal, ses bourdes sur le prix de l'essence ou sur les marins-pêcheurs, montrent que, à l'image du Sarkozysme, elle est complètement à côté de la plaque.
Elle vient d'un autre monde - il suffit de l'entendre parler et prononcer le mot "dollar" pour s'en rendre compte-, elle ne comprend rien aux problèmes des français, elle est tellement hypnotisée par le modèle américain qu'elle ne se rend pas compte qu'il est en train de s'effondrer, et veut à toute force l'importer en France.
Le libéralisme est redoutable car il repose sur des vérités qui paraissent évidentes, mais qui ne sont, en réalité, ni évidentes, ni même des vérités: "que le meilleur gagne plus" - "chacun est libre de faire ce qu'il veut" - "aide-toi et le ciel t'aidera". Ces quelques slogans érigés en programme servent à gagner des élections car, comme notre amie Christine Lallouette a eu le cynisme de le dire à la radio :"au lieu de s'indigner que les patrons gagnent trop, pourquoi ne nous dirions-nous pas qu'en travaillant, n'importe qui peut devenir patron et gagner autant!". (Autrement dit, les pauvres aiment les lois qui favorisent les riches, car ils espèrent tous être riche un jour, une idée qui nous vient tout droit... des États-Unis). Mais après les élections, ces mêmes programmes révèlent leur cynisme, leur redoutable individualisme, leur mépris pour tout ce qui n'est pas argent, leur faculté à broyer les humains.
Merci, Madame Lagarde. -
Patrice Guyot
On est en pleine science-fiction (bas de gamme) Christine Lagarde pesant sur l'évolution de l'économie mondiale c'est aussi crédible que l'histoire de la fourmi qui aurait capturé et mis au congélateur une douzaine d'éléphants adultes, histoire de nourrir ses copines pendant quelques mois...
C'est un gag qui entrera dans la légende !
Elle ferait mieux de roucouler avec son cacou, président de multinationale :
VOIR ICI (ma petite entreprise dirait Bashung)
Autre détail, je ne sais pas ce que cette dame a fait de sa vie avant de diriger les équipes qui creusent le trou de Bercy (celui que nos enfants, petits enfants, arrière petits enfants et arrière arrière petits enfants - jusqu'à la 24ème génération seront prié de bien vouloir combler, on se demande d'ailleurs pourquoi...)
Mais je constate qu'elle fait dix ans de plus que son âge (et encore je ne suis pas chien)... Elle a 52 ans, elle en fait gaillardement 65
[s]Canon[/s] Canonique
Photo d'archives/REUTERS/Philippe Wojazer (prise il y a 10 ans ? C'est encore plus impressionnant !)
Punaise, il a faim son fiancé, où alors il a vraiment de très gros emmerdes en perspective avec le fisc !
*** -
david verdier
personne n'a remarqué le titre du bouquin que Lagarde feint de consulter avec son dulciné : LE HAVRE D'ANTAN.... tout un programme. -
Yanne
Quelle mauvaise foi sur ce forum !
Quand je pense à cette femme comblée par la vie ! Elle a un beau mec, elle a un boulot génial ! Elle a une belle crinière de cheveux argentés ! Elle lit de beaux livres en papier glacé. Et elle a mis suffisamment de dollars de côté pour les prochaines fins de mois difficiles de notre pays ! Que pourrait-elle demander de plus ?
Bon ! C'est vrai, si elle a été directrice d'un cabinet d'avocat, profession où l'on défend quoi qu'il advienne, celui qui vous paie, on se demande ce qu'elle fait comme ministre des Finances ! Sans doute a-t-elle permis à sa grosse boîte américaine des profits substantiels !
Ou bien ..... Voilà, je sais, c'est qu'elle parle très bien l'[s]Anglais[/s] l'Américain, ce qui lui permet d'avoir des relations privilégiées avec les géants d'outre-atlantique !!!!
Et ce qui lui permet, comme elle vient de le faire, de se faire écouter ses conseils avisés par le Trésor américain. Sauf que je suis sûre que le mot conseil est un doux euphémisme. Dans Gala forcément, on a édulcoré le mot Ordres, bien sûr. Ce sont des ordres qu'elle doit leur donner, mais ce mot correspond si mal à sa merveilleuse féminité !
Des ordres, des ordres, dans quel sens ça se donne le mieux ? Dans la langue de celui qui ordonne ! L'Américain !
Mais là, visiblement, il y a une exception.
Enfin je crois !
Je me demande si l'histoire des 2 000 milliards de dollars, ça ne me trouble pas un peu l'esprit ! -
Lili de Colombie
En parlant de couverture,
la couverture du livre qu'elle tient c'est pour rappeler son origine? -
Mon Nombril
Sacrés roublards à Gala.
Lus au premier dégré, ils satisfont certaines mamies dema connaissance qui y rfetoruvent l'image de la France avec majuscule chez cette dâme coiffée comme elles + ceu xqui cherchent des raisons de justifier leurs votent pour Sarkozy et les autres suaront repèrer l'ironie que Gala y a mis.
Bref tout le monde tombe d'accord pour trouver l'article inétressant. Bien joué. -
Fandasi pour clavier
Lagarde est plutôt une fiNancée comblée. J'adore la citation : "pour faire carrière , il faut bien choisir son compagnon" !!!
Et quand elle est au lit avec lui , ses boucles d'oreilles font "bling-bling" , comme dans un tiroir-caisse ? -
Ervé
Qu'est-ce qu'une "heure indécente" !?
Une heure où les deux aiguilles se frôlent avant de se se chevaucher ?
Où la grande aiguille pointe le 12 en une vigoureuse érection ?
Ils sont forts chez Gala, pour éveiller les fantasmes.
Dans un article sur Lagarde, c'était pourtant loin d'être gagné. -
matti
"Pour faire carrière il faut bien choisir son compagnon" ...
C'est le conseil donné par Bigard à chaque lâcher de salopes qu'il organise chez séguéla. -
Gilles Klein
@ Tony A
Ce genre de référence "Tous ces articles rappellent lamentablement la propagande stalinienne ou nazi" est dérisoire et diffamatoire. Attention au sens des mots ! -
code 18
darcos va lui remettre une médaille -
Politique.net
Tout le monde sait que Christine Lagarde a fait une grande partie de sa carrière comme avocate au cabinet Baker & Mac Kenzie de Chicago qui est considéré comme l'un des plus importants de la planète. Entrée en 1981 à l'âge de 25 ans, Christine Lagarde y a progressivement gravi tous les échelons : simple avocate, elle est passée avocate associée en 1991, avant de prendre la direction du cabinet entre 1999 et 2004.
Sauf que j'ignorais son salaire : Christine Lagarde a gagné 800 000 dollars par an pendant 5 ans.
! -
JIEM 92
A qui le tour d'être une pompom girl ?
Et en plus elle a sauvé le monde, vous vous rendez compte !!! -
Tony A
Tous ces articles rappellent lamentablement la propagande stalinienne ou nazi ; ou encore celle de pays comme l'Irak de Sadam, ou de la Chine de Mao...
Ces journalistes sont-ils conscients d'être tombés si bas ?
Leur rôle ne serait-il pas plutôt d'expliquer comment les contribuables vont payer les 1000 milliard de $ (peut-être 2 000, selon certains experts) du plan de sauvetage des banques privés qui se sont, jusque-là, goinfrées de bénéfices en prenant les risques les plus fous ?
A titre de comparaison : 2 000 milliards de dollars, c'est la totalité de la dette du Tiers Monde ! -
Francès Pérance
Elle veille jour et nuit, surveillle le nuage de la crise financière qui comme celui de tchernobyl ne passera pas les frontières françaises promis, juré par wonderwoman et garde son avion prêt à décoller pour aller répandre ses efficaces conseils outre atlantique car si tu ne vas pas à Lagarde, Lagarde'air ira à toi !!!
Ah, ces ultras libéraux qui s'élèvent contre les dictatures de tous poils au nom d'une soi-disante démocratie tout en laissant libre cours à la dictature du capitalisme...
Le problème c'est que quand ils gagnent de l'argent, ils ne partagent pas mais quand ils en perdent, ce sont tous les citoyens qui payent et qui s'appauvrissent encore. Autrement dit ils ont une fâcheuse tendance à dénationaliser les gains et à nationaliser les pertes.
Et pour se rendre compte des problèmes des riches actionnaires je vous laisse écouter Guillaume Erner dans sa revue de presse du pire sur à la crise financière dans Eclectik