Offset 7 janvier 2023 à 11:37

Sans même parler de l'utilité d'interviewer des gens sur leur propre personne, au lieu d'essayer de comprendre et d'expliquer le mouvement.
Il suffirait juste de se mettre devant la gare, et d'interviewer les gens qui arrivent. Pourquoi vouloir se mettre absolument dans la gare ?

Jiemo 29 décembre 2022 à 13:30

"il faut faire savoir qu'il devient parfois difficile d'accomplir notre mission d'information" , certes , mais un article , un reportage "micro-trottoir" de gens mécontents , est ce réellement une information ? Se renseigner et informer sans ambiguïté des motifs de grève auprès des grévistes eux mêmes n'est ce pas là la réelle information ?

Davesnes 26 décembre 2022 à 20:43

Curieusement, je n'ai pas entendu dans mon JT préféré dire que les médecins libéraux en grève prenaient en otage les pauvres malades. Allez savoir pourquoi ?

luclau 26 décembre 2022 à 17:17

As t’on vu des journalistes interviewer des malades devant un cabinet médical en grève ou devant un laboratoire ou.... mais la SNCF c'est le marronier. Facile il y a des centaines de gens pas besoin de trop forcer. 

Bartabac 26 décembre 2022 à 12:44

Vous pensez qu'ils sont en train d'organiser des départ pour l'Allemagne et qu'ils veulent vous le cacher ? Ils ont des journalistes a BFMerde ? L'année finie bien ...Alleluia !

bistouille 26 décembre 2022 à 11:40

C'est quand même bizarre, je suis à peu près certain que les grévistes seraient ravis que leurs revendications soient connues de la population, et qu'il soit possible d'organiser une conférence de presse dans un local syndical ou une bourse du travail.

Ke-sais-je 26 décembre 2022 à 11:10

IIl m'a toujours semblé que le micro-trottoir était,  de toute façon , du journalisme de caniveau

RYP 26 décembre 2022 à 10:28

Que dit la loi ? En fonction de ça on verra si la SNCF est hors la loi ou non.

Ata Raxie 26 décembre 2022 à 10:27

S.N.C.F. :  Société Nationale des Chefs Funestes

ou

S.N.C.F.:  Société Nationales des Clients Furieux

J'espère que Not' Président viendra , en personne, réconforter et cajoler   l'usager déconfit ou le  PDG de la  SNCF  sous-financée.

Wisssh 26 décembre 2022 à 10:20

Je plussoie aux questions de win100 : quel fondement légal à ces interdictions ?

Interdire, c'est grave.

Mais bien sûr, deux angles me font rire de la situation :

1. Que la volonté de contrôle se retourne contre "l'autorité", car enfin, comme le souligne Cobalt 60, les micro-trottoirs sont étrangement toujours anti grévistes ;

2. Que les journalistes se plaignent du traitement qui leur a été infligé... sur Twitter, cette plateforme devenue le symbole de la manipulation d'un média par un milliardaire. Encore une manifestation de leur manque total de recul sur ce qu'ils vivent.

win100 26 décembre 2022 à 09:42

Je serais intéressé pour connaître le côté légal de tout ça. Est-ce que la SNCF a le droit d'interdire de filmer ou photographier dans les gares ? En tant que particulier non plus, je ne peux pas prendre de photo dans un lieu public ?

Et est-ce qu'ils ont le droit de mettre dehors un journaliste qui pose des questions ?

Pekebou 26 décembre 2022 à 09:17

Merci pour cet article. Avoir la plupart des médias à leur botte, visiblement ça ne leur suffit pas. Aucun écart à la version officielle ne sera toléré. 

Un régime qui redoute à ce point la libre expression est il encore une démocratie ?

Bienvenue en Macronnie.

Cobalt 60 26 décembre 2022 à 08:22

En même temps est-il bien nécessaire d'envoyer une équipe relater "la grogne des usagers qui s'estiment pris en otages à la veille de ce long week-end de Noël, de Pentecôte, de la Toussaint, de départ en vacances d'hiver, de printemps, d'été, de pont du 15 août" (rayez les mentions inutiles) ? Il suffit que les rédactions puisent dans leurs archives, elles auraient ainsi le sentiment du juste devoir accompli et mérité les remerciements de la direction de la SNCF, de la RATP, d'Aéroport de Paris, du Ministère des Transports et de l'Information (rayer les mentions inutiles).