jeannot 14 janvier 2014 à 00:29
Il y a un an, en novembre 2012, Carla Bruni déclarait au magazine Vogue Paris : « On n’a pas besoin du féminisme dans ma génération » ; « je ne suis pas du tout militante féministe. En revanche je suis une bourgeoise ».
Sa déclaration avait provoqué une grosse vague de réactions sur les réseaux sociaux Internet français, mais aussi canadiens (comme on peut le vérifier par une rapide recherche sur le Net).
Que la chanteuse, qualifiée là-bas "d’irréfléchie, d’étourdie ou de déconnectée", ne s’étonne pas d’être obligée d’annuler deux dates sur trois au Québec, pour avril 2014, par insuffisance des réservations.
Moins de 100 places au Grand Théâtre de Québec, et sans doute guère plus au casino de Gatineau (qui est bien au Québec aussi) dont la jauge est de mille fauteuils.

Robert· 13 janvier 2014 à 10:09
Carla Bruni, délaissée par le public, pas d'hospitalisation ?

Caym 13 janvier 2014 à 01:50
Merci pour le travail

Où on voit que d'avoir des fusibles à faire sauter c'est toujours utile pour un politique, et qu'il va falloir se méfier aux vues de ce qui se passe en Espagne.

Fan de canard 13 janvier 2014 à 01:43
Oui, merci Gilles.
À noter cependant une erreur de copié collé dans la mise en page, vous avez laissé inséré une manchette juste après l'article sur Photoshop avec Cameron Diaz.

Pour l'humoriste qui fricote avec l'extrême droite, à noter qu'il a dit « Je ne sais pas qui a commencé. Je suis neutre. Je ne choisis pas entre les Juifs et les Nazis » sur son site comme c'est rapporté ici: http://yvesfaucoup.blog.lemonde.fr/. Je n'avais pas encore lu ça. De la blague, d'après. Du même qui parle des "sionistes meurtriers du christ" ?
Complètement givré.

Strumfenberg ( Aloys von ) 13 janvier 2014 à 00:20
Merci, sacré boulot.