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sandy
Cela fait depuis longtemps que l'immense majorité des journalistes ne sont plus un contre pouvoir mais un élément du pouvoir.
Alors le fait que vous preniez le moindre refus à un journaliste comme une preuve de dérive dictatoriale est complètement déphasé avec la situation présente.
Donc est ce de la naïveté ou de l'hypocrisie ? Qu'est-ce qui vous pousse, contre toute réalité, à continuer d'idéaliser les journalistes comme un contre pouvoir ? Pourquoi votre métier génère-t-il à ce point ce sentiment de corporatisme ? Pourquoi la critique et la remise en cause du journalisme, par ses membres, est-elle si rare ? Y aurai-t-il des liens sociaux autres que professionnels qui nous échapperaient à nous d'un point de vue extérieur et qui viendraient apporter toute cette confusion ? Voilà des questions qui mériteraient certainement plus votre attention que ce genre d'actualité superficielle donnant lieu aux mêmes réactions récurrentes. -
DéLecteurdeVraiThé
Petit témoignage en marge de ce G20 :
A Strasbourg, de l'autre côté de la frontière il y a une banlieue Allemande de Strasbourg : Kehl.
Beaucoup de passage sur le pont qui enjambe le Rhin avec des embouteillages depuis plusieurs mois dans le sens Allemagne France car la circulation est limitée à une voie en raison du plan d'urgence permanente.
Par contre dans l'autre sens aucun problème sauf la semaine du G20 où il y a eu un immense embouteillage côté Français, les Allemands ayant réduit la circulation à une voie aussi.
Les craintes étaient à leur paroxysme des deux côtés et Schlengen en prenait un sacré coup dans la mâchoire.. -
Poloi
N'y a-t-il pas d'autre hypothèse que celle de l'intervention de la méchante Turquie ?
Le soulèvement frontal du peuple qui résiste contre les tenants du pouvoir politique qui saccage le monde n'avait il pas besoin de journalistes pour montrer au peuple qui dort que la lutte existe et que la répression est brutale ?