evemarie 25 septembre 2018 à 10:24

super periode, ou l'on comprend qu'on ne se fou pas des degeulaseries des males et meme des politiques, ca suffit en France de croire qu'il est interdit d'interdire AUX MALES et a leur bitte, les femmes elles depuis 68 en on marre, a par Deneuve et qq PAS baisé, parceque les vieux males ne pensent qu'aux femme de 10 a 30 ans de moins qu'eux, regarder les journalistes, les artistes, les ecrivains, les cineastes,leur femmes sont tres jeunes , bizarre non ? ils sont infantile en vrai ces types. Moi ca fait 10 ans que je parle de l'inceste que j'ai subit, et l'année derniere du mec qui m'a ejaculé dessus lors d'un rapport consenti, quand je lui ai dit mon deplaisir a cet acte (2 mois apres, parcequ'ne effet accepter d'avoir subit a 52 ans qq chose de sexuellement non deiré est dure a accepter pour qq), surtout que mon pere me faisait cela, la reponse 't'a accepté de coucher avec moi' ... premiere fois (sauf enfant) qu'un type avec qui je couche est aussi immonde, mais je viellis et mes amants aussi, et visiblement l'age n'ameliore pas l'empathie, au contraire, les males viellissant se sentent frustré de devoir baiser des vielles,  et le type est un artiste militant FI, c'est vous dire comme les politiques sont des porcs, parceque ceux qui militent le sont aussi tres souvent et les femmes des frustrées machiste ... 

DéLecteurdeVraiThé 24 septembre 2018 à 11:17

Le nouvel Al Capone des temps modernes sait s'entourer des meilleurs comme il s'en vante

Les uns après les autres les meilleurs des meilleurs sont rattrapés par la justice ou leur passé vient éclairer d'une lumière étrange leur personnalité

Le dernier témoignage vient épaissir au fusain la réputation de Brett Kavanaugh 

voir aussi sur CNN

Mais attendons l'analyse de Fox News et le dernier tweet de Trump pour déplorer les salissures que sont ces horribles témoignages de femmes qui se sont laissées embarquées dans de telles "orgies" où les hommes n'avaient que le beau rôle du mâle... etc etc etc... de quoi vomir aeternam

Sans compter les électrices de Trump qui trouvent toute cette histoire normale "What boy hasn't done this in high school?"

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 24 septembre 2018 à 07:58

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DéLecteurdeVraiThé 23 septembre 2018 à 16:47

Pour ceux qui entendent l'Anglais, l'analyse pertinente de Chris Cuomo

Charles 23 septembre 2018 à 10:58

Un peu effaré par les commentaires.

D'abord par le fait que personne ne s'inquiète qu'on puisse près de 40 ans après juger quelqu'un coupable sans preuve visiblement (ce que s'autorisent à faire beaucoup de commentateurs). Ramadan est en prison en France en ce moment sous un régime extrêmement sévère, sans qu'on comprenne bien en quoi il constitue un danger : pense-t-on qu'accusé de viol il va s'empresser d'aller violer des femmes ? Un bracelet électronique pour parer à l'éventuel danger ?

Le fait qu'il s'agisse de violences sexuelles semble excuser ces écarts par rapport à la nécessité de la preuve pour condamner. L'affaire d'Outreau devrait doucher nos prétentions à croire que les situations sont aussi simples qu'elles le paraissent. Les innocents accusés n'ont parfois aucun moyen de se défendre (combien d'innocents en prison ? - le cas de nombreux Noirs aux États-Unis, puisqu'on parle d'eux dans cet article).

Par ailleurs, le moyen de faire tomber Trump : pas par de la politique, de la bonne vieille politique, idée contre idée, de l'engagement citoyen, mais parce qu'il émet des tweets sexistes et grossiers. Ici même, nous avons eu 3 présidents qui accablaient et accablent les pauvres de leur mépris (du pov'con [susurré il est vrai en privé] au Karcher en passant par un fameux discours engageant la France dans une vision raciste de l'Africain, pas encore entré dans l'histoire pour l'un ; pour l'autre un non moins fameux sans-dents ; et un troisième qui s'illustre avec des gens qui ne sont rien, des costumes qui sont le nec plus ultra de la réussite, des rues abondantes et généreuses qu'il suffit de travailler pour réduire à néant le chômage, etc.). Mais le Trump est forcément plus horrible que nos dirigeants à nous (dont la politique anti-pauvres et pro-riches en acte est véritablement exemplaire) - la paille chez l'autre nous fait d'autant plus frétiller d'aise que nous sommes exemptés par là même de voir nos propres turpitudes. Et ce sont bien les nôtres, puisque nous élisons ces grossiers personnages et ronchonnons en attendant les prochaines élections.

De mon point de vue, Trump n'est pas que Trump. Il incarne une Amérique dont le résultat est édifiant : pas de protection sociale, un certain goût pour les guerres et la violence, un racisme qui vient de loin (c'est en quelle année déjà, la fin de la ségrégation ? - et le mur éloignant le Mexique, ce n'est pas Trump qui en a édifié le premier tiers), la privatisation des rapports sociaux régis par la loi. [Notez que je plaque là des valeurs, j'en ai bien conscience.] Il est bon d'honnir Trump, mais quand donc Obama a-t-il mérité son prix Nobel de la paix ? Certes, il n'insultait pas les femmes, mais la mise en scène de sa vie familiale parfaite m'a toujours fait le même effet que se prétendre féministe en ne bronchant pas devant l'utilisation du corps des femmes (dont il n'existe qu'un seul modèle de carrosserie : lisse, mince, jeune [même les "vieilles"] aux caractéristiques sexuelles soigneusement dosées : ni trop peu ni trop) pour vendre tout et n'importe quoi alors qu'on a les cheveux qui se hérissent dès qu'elles prétendent se couvrir. Et pour aller droner aveuglément des pays qui n'ont jamais attaqué les States, Obama ne fut pas le dernier. Trump est l'arbre qui cache la forêt - mais pas sûr que la forêt devienne enchantée quand il aura disparu. L'Irak, ce n'était pas lui, la Libye, ce n'était pas lui.

Zap Pow613 23 septembre 2018 à 00:44

"Mais grâce à son témoignage et son discours…"

Vu que la loi qu'elle combattait a été votée, un malgré serait plus à sa place ici qu'un grâce.

Pour ce qui est du rôle clé du vote féminin dans l'élection de Trump, rappelons que 94% des femmes afro-américaines ont voté Clinton, tout comme 68% des "Latinas". Bien sûr, 53% des femmes blanches (les Blancs forment 62% de la population, les Noirs 13% et les Hispaniques 17% en gros) ont voté Trump, mais ce qui a été décisif dans son élection, c'est le système du collège électoral qui lui a permis de remporter la victoire tout en ayant trois millions de voix de moins que son adversaire (et aussi le fait que cet adversaire n'a pas mené une campagne particulièrement brillante dans les états clés).

DéLecteurdeVraiThé 22 septembre 2018 à 20:20

Je suis l'actualité Américaine de "près"

et plus je vais et plus je désespère

aussi l'optimisme de Lynda Zerouk dans son dernier paragraphe me paraît irréaliste

même si je la comprends car je souffre moi même de cette affliction, une foi inébranlable en la nature humaine

à quelques pourritures près

mais là, cette pourriture est au pouvoir et telle une hydre affreuse fait sortir de ses naseaux des tweets en forme de pets

(il se peut que les hydres n'aient pas de naseaux alors c'est d'ailleurs qu'ils sortent)

et cette hydre pourrait comme elle l'a dit tuer quelqu'un en plein New York qu'elle en serait exemptée

Tant de fois, on a cru s'approcher du dénouement, du 25e amendement ou autre moyen de l'évincer

du sursaut du Parti Républicain, rien rien, même pas l'honneur perdu de Melania Trump

alors ce n'est pas de #WhyIDidntReport que viendra le réveil

malgré le fait que cette initiative est des plus admirables car elle ne doit pas être facile pour celles qui la rejoignent

et elles méritent notre respect et reconnaissance

Pour ma part, j'en suis venu à rejoindre la vision glaciale de Michael Moore avant de l'entendre énoncée par lui :

"Hope is the most dangerous thing we could have"