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  • Salfra 25 juin 2014 à 12:06
    ... et c'est dangereux de crier l'aveu ... (contrepèterie assez facile à trouver, mais qui concerne plutôt le genre masculin, j'en conviens)

  • korneflakes 25 juin 2014 à 05:13
    et incite à utiliser les termes "gays et lesbiennes".

    J'avais vu, il y a quelques mois, une interview d'une femme qui représentait alors une association LGBT. Elle disait quelle aimait bien être labellisée "gay" plutôt que "lesbian" parce que le mot était joyeux et joli. C'était dans un Colbert Report je crois. C'est plus court que "gays et lesbiennes" ou "personnes homosexuelles", j'aime bien l'idée.

    Quant à Manning, on l'appelle comme on veut tant que ça ne nuit pas à la compréhension et que ça n'est pas gratuitement insultant. Né Bradley, officiellement nommé Bradley, devenu célèbre en tant que Bradley... Si quelqu'un fait la une et déclare ensuite vouloir se faire appeler "niquetononcle", tout le monde s'en fout à raison. Et puis Bradley, pour un homme comme pour une femme, je trouve ça plutôt joli.

  • Pierrot B 24 juin 2014 à 21:50
    Kit de la language: pourquoi formater les esprits? Ca me rappelle la révolution marxisiste ou Nazie dans mes manuels d'Histoires...

  • Diogene 24 juin 2014 à 20:22
    "Il déplore les "circonvolutions" dans certains portraits, comme l'expression "célibataire endurci", pour évoquer telle ou telle personne "alors que leur homosexualité est de notoriété publique"
    Et si on est "célibataire endurci" hétéro, on a le droit de porter plainte contre le journal? :D

  • Faab 24 juin 2014 à 18:36
    savoir si elle accepterait de parler de son homosexualité

    Et ça donnerait quoi si on normalisait la chose en disant "savoir si elle accepterait de parler de sa sexualité" ? Les journalistes se posent souvent des questions sur la sexualité de leurs interlocuteurs ? A partir de quoi jugent-ils que c'est d'intérêt public ? Les luttes de "minorités", de groupes d'intérêts ? La déviance croustillante ?

    Enfin bon, tout ça ressemble à un petit comité de novlangue, juges et censeurs auto-proclamés, qui promet bien des réjouissances. Ca commence d'ailleurs fort avec leur langage codé sur les célibataires endurcis amateurs de Proust.

    Au passage, quand ils disent "l’homosexualité et la transidentité ne sont pas des maladies", des malades (notamment mentaux) leur dirait : "la maladie n'est pas une honte".

  • consensus 39 24 juin 2014 à 17:26
    La promotion de l'homosxualité devient de plus en plus omnipressante !

    Certes, nous devons vivre avec cet état de fait, mais est-il nécessaire chaque jour d'en parler ?

    Les médias ont-ils conscience des troubles que cela peut entraîner pour des esprits fragiles ou de jeunes enfants ?
    L'Europe est un continent vieillissant et il serait plus responsable de promouvoir les joies que partagent les couples hétérosexuels, l'homme sur son canapé devant France Honduras, la femme dans sa cuisine en train de mitonner de bons petits plats en semaine, l'homme qui bichonne sa voiture le dimanche pendant que sa femme s'occupe de tenir une maison avec goût et le bonheur d'élever des enfants au sein d'une cellule familiale traditionnelle afin de relancer la natalité.
    Ces enfants épanouis auront alors pour modèle des couples hétérosexuels unis dans l'amour de Dieu et des Z'amours, l'une des rares émissions à louer les bienfaits de l'hétérosexualité joyeuse.

    Les homosexuels, très présents dans les médias influencent une pensée que l'on peut écouter mais qui ne doit pas prendre une place dominante.
    Cette pratique a été au fil de l'histoire condamnée par de nombreuses autorités responsables, religieuses, politiques, aujourd'hui encore des femmes remarquables comme Christine Boutin, en délivrant un message de tolérance, nous mettent en garde contre toutes ces dérives qui menacent le cadre traditionnel de nos sociétés.

    Eric Zemmour, nous éclairera sans doute très rapidement sur ce phénomène préoccupant.

  • Tatanka 24 juin 2014 à 17:23
    On n'est pas sorti de l'auberge.
    Quand le sexe des anges devient la préocupation primordiale, on n'est pas loin de la fin.
    La décadence est vraiment un naufrage.
    Vive la Déglingue!

  • bysonne 24 juin 2014 à 17:09
    J'avais déjà donné mon avis au sujet de Chelsae Manning, en effet elle est femme, c'est son choix qu'il faut respecter. Point Barre.

    Sur l'homosexualité, aucun intérêt, ni à l'avouer, la déclarer, la rendre publique. Pourquoi ? Parce que c'est de l'intime et que les informations publiques s'arrêtent à la porte de la chambre à coucher, à dormir serait plus approprié en fait, après la fermeture de la porte, chacun, chacune, couche ou pas. Pffffff !!! Quel intérêt de savoir combien de personnes sont homos. Perso, je m'en fiche. Je comprends bien que les homos (hommes ou femmes) veulent être traités comme n'importe quel citoyen, citoyenne, le problème est là. Mais malheureusement la discrimination fait qu'il vaille mieux ne pas dire son orientation sexuelle... Misère, monde sans respect des différences.

    Evidemment les homos hommes prennent le dessus, si je puis dire, sur leurs homologues féminines, c'est logique ce sont des hommes quelles que soient leurs pratiques sexuelles. Les hommes d'abord comme trop souvent. Les femmes sont toutes des s****. Pardon ce n'est pas ce que je pense, mais j'ai regardé les adieux à la scène de Guy Bedos hier soir, alors ...... J'ai beaucoup ri.


    "fouiller le sexe", c'est très élégant. J'aurais dit "farfouiller". :)) "Oh oui oh oui fouille-moi", même avec un homme ça le fait. :))

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 24 juin 2014 à 16:27

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