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jean-françois copé-décalé
Ca fait un moment que Pascal Praud est unanimement considéré par les amateurs de football comme l'un des plus grands cuistres, tartuffes, retourneur de veste que la télé ait porté.
L'éditorialiste sportif ressemble d'ailleurs beaucoup à l'éditocrate classique. Il pullule sur les chaînes du groupe BFM (RMC étant son éden), s'écoute parler et affectionne tout particulièrement les vaines polémiques.
Emery déteste-t-il Ben Arfa ? Valls et Hamon sont-ils irréconciliables ?
L'OGC Nice peut-il être le champion surprise de cette Ligue 1 ? Macron est-il un outsider sérieux ?
Pascal Praud a appris à la bonne école. -
chavi
C'est difficile d'avoir des lecteurs exigeants qui réfléchissent (un peu), hein @si?
Bon courage . Il me semble aussi que la critique nécessaire de cette émission est ici un peu faible. Merci quand même pour votre travail. -
tosh
vraiment nul l'article. le ton est cynique et meprisant mais on ne comprend pas bien pourquoi..... le fond est extremement light...
Cela semble etre recurrent dans la majorite des contenus d'@si. honnetement a part l'emission qui a elle aussi baisse en qualite (jamais de debat contradictoire) mais reste bien preparee, le reste du contenu ressemble a un blog editorial.
a quand une emission d'@si qui se penche sur les articles et l'approche editorale d'@si ? -
Tagadatsoin tsoin
Si le féminisme se met à concurrencer l'islam dans les trucs considérés comme pourris par les journalistes (sportifs ou non),
1. Ça fait peur concernant la perception générale de l'égalité de droits entre hommes et femmes,
2. Les musulmans aussi ont du souci à se faire ! (Mais ça, on le savait déjà)
Une seule solution : muslmans, féministes, alliez-vous, vous êtes tous opprimés ! L'union fait la force ! -
tchd
Remuer la merde pour faire de l'audience, c'est moche. Et pourtant, j'ai le sentiment désagréable que ce stratagème n'épargne pas les journaux dits sérieux.
Par exemple, que le candidat à la présidentielle de droite que nous aimons détester n'est au fond qu'une victime collatérale d'une lutte sans merci entre Médiapart et le Canard enchaîné. -
Bruanne
Comment dire ?
Comment dire que ce que je découvre de l'émission évoquée dans cet article me conforte dans la joie de ne pas la regarder... tout en disant que l'article que je lis est, au fond, fabriqué avec les mêmes recettes que l'émission qu'il critique ?
Et pourtant, il y a matière, il y aurait matière, à un article de fond.
Une émission de débat, présentée par un journaliste sportif. Ça, c'est dit.
Mais il me manque le développement, une vraie comparaison entre le boulot d'animateur de débat et celui de journaliste sportif. Il y a donc un présupposé dans l'article : je suis censée, d'emblée, adhérer à la condamnation selon laquelle forcément, un journaliste sportif ne peut pas être un bon animateur de débat. Sans jamais définir en quoi consiste un débat à la télé, sans interroger la limite entre animateur/ présentateur/ journaliste en général et sportif en particulier... Dommage.
Une invitée conteste des statistiques officielles, ça, c'est dit.
Mais ces statistiques ne sont pas données en lien ( je dois donc croire sur parole ceux qui s'y réfèrent dans l'émission analysée, en imaginant que l'auteur de l'article a vérifié). Dommage.
Des pros, ou experts auto-proclamés, qui viennent s'exprimer sur tout et rien, ça, c'est dit.
Mais, à la façon dont l'article est écrit, je comprends que je suis censée les connaitre, ces gens que je ne regarde pas, et donc il n'est pas utile de me retracer leur parcours, de se demander d'où vient leur légitimité aux yeux de ceux qui les invitent. Dommage.
Le tout pour conclure sur les parts de marché, mauvaises. C'est dit.
Mais c'est dit de telle façon qu'on pourrait croire qu'elles confirment que l'émission est mauvaise.
Moi je pense que des émissions excellentes peuvent avoir une faible audience, et des très nulles aussi, donc ce n'est pas un argument à mes yeux.
Il y a des liens dans l'article ... ils pointent d'autres contenus du site. Rien de choquant en soi, mais ça me donne une impression de pauvreté.
A laquelle je n'étais pas habituée, et à laquelle je n'ai pas envie de m'habituer. -
RRJL
Dans ce cas, on peut aussi dire que Frédéric TADDEÏ dans son émission "Ce soir ou jamais" cherchait le buzz.
Une des dernières émissions de ASI : "PARLONS DU TROU DE MÉMOIRE ET NON DU TROU FINANCIER" est assez convaincante mais vu qu'il n'y a pas un seul contradicteur comment se faire une idée ?
Et pour ceux que ça intéresse, il y a l'émission infrarouge de la TV Suisse publique où l'on invite par exemple sur la Syrie : 2 anti gvt syrien, 2 pro gvt syrien et 2 qui sont mitigé.
Idem sur Dieudonné, où l'on a vu des supporters de l'humoriste, des partisans de la liberté d'expression et bien sûr des anti Dieudonné.
J'ai maintenant une règle, si lors d'un débat, ils sont tous plus ou moins d'accord sur un sujet controversé, je classe ça dans la catégorie propagande. -
DanetteOchoc
Définissez le mot "Dérapage".
Est-ce que déraper, consiste, en gros, à n'être pas en accord avec le "Progrès", la "modernité", à se montrer comme un gros "Réac", "Conservateur" (comprenez fasciste) ?
C'est quoi ce prêt à penser ?
En quoi le fait de dire que certaines féministes exagèrent la condition féminine en France constitue "un Dérapage" ?
Vous réflechissez avant d'écrire ou vous recopiez les chroniques d'Océanerosemarie ?
Parce qu'on ne fait plus bien la différence entre un article, un édito, et une chronique humoristique.
Si votre angle "analyse média" consiste à dauber sur des gens juste parce qu'ils ne répètent pas benoîtement des chiffres dont on devrait convenir qu'ils sont - sans remettre en cause le fait que des femmes sont violées en France quotidiennement, battues - d'une imprécision crasse alors je m'interroge sur l'utilité de votre papier.
il fut un temps où, sur @si, on menait par exemple un vrai travail non seulement sur les mots, mais aussi sur les discours et leurs outils de propagande, tels que les chiffres. Justine Brabant par exemple avait déconstruit le chiffre de morts dans une série d'articles consacrés aux Kivus, en RDC, avec sérieux, et surtout, sans intention de minimiser l'horreur du conflit. Juste la volonté sincère, scientifique (elle avait une approche de sociologue) de se demander " d'où sort le chiffre, qui le fabrique, comment, avec quels instruments ?".
La raison statistique n'est pas une raison objective, et sur les chiffres du viol il est légitime de s'interroger tant ils sont éloignés des mesures permises par les informations policières et les condamnations.
Pareil pour tous les autres sujets abordés dans votre papier Madame Gramaglia.
Dire que la condition féminine n'est pas favorable au sein de l'immigration correspond à des réalités sociales vécues par de nombreuses femmes qui en sont issues - cela n'efface pas les autres violences, ni n'a pour vocation ultime d'inférioriser d'autres hommes ou d'autres cultures.
Mais je ne vois pas bien pourquoi les mêmes qui s'insurgent contre la condition féminine en Iran, au Pakistan ou en Algérie par exemple sont tous prêts à hurler au dérapage quand il s'agit d'évoquer la condition féminine en France des femmes issues de ces pays.
Mais le débat est perdu, le relativisme a gagné, "au nom de quoi" patata, et "pour qui vous prenez vous" patati. Bref, je-tu-il-nous sommes tous des gros racistes. Ah non Môsieur, moi je suis auditeur de France Inter, j'aime la diversité culturelle.
Naturellement. -
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