sandy 27 août 2014 à 20:35
On n'a jamais été aussi proche, même si c'est encore une perspective très éloignée, de l'idée initiale du front de gauche ( et dans une certaine mesure du NPA ) qui est de recomposer la gauche afin de former une nouvelle majorité, autour d'un programme réellement de gauche.
Pour se faire, il fallait absolument qu'une partie du PS fasse scission, et que les différentes forces de gauche acceptent de rompre avec le PS définitivement.
Conditions nécessaires pour que le front de gauche ait suffisamment de crédibilité et de force militante pour le transformer en nouveau front populaire.

Les personnes qui s'accrochent au PS ( à l'intérieur ou de l'extérieur ) sont très clairement en train d'oeuvrer à contre-sens de cette idée, et c'est plutôt dramatique.

Malagom 27 août 2014 à 08:23
Encore un qui radote : http://www.lepoint.fr/politique/gerard-filoche-c-est-valls-qu-il-fallait-virer-26-08-2014-1856749_20.php

Ervé 26 août 2014 à 20:48
Contrairement à Notre Président, Bouteflika n'est plus étanche.

PeterP 26 août 2014 à 20:29
Pourquoi ASI n'a pas la sincérité de dire chaînes dites d'information continue?

D'autant qu'à force d'analyser, on le sait qu'elles n'informent pas en continu mais bien qu'on les dit juste d'information continue.

Strumfenberg ( Aloys von ) 26 août 2014 à 20:00
Qui voit Onfray en a pour ses frais. Qui voit Anders suit le chemin inverse.

claude 26 août 2014 à 19:36
Le petit bonhomme en mousse était sous la pluie, pitoyable. Je préfère écouter Onfray parler de l'oeuvre de Günther Anders et de l'aliénation. C'est d'actualité !

Robert· 26 août 2014 à 12:37
qui voit Molène voit sa peine,
qui voit Sein voit sa fin....

Ervé 26 août 2014 à 12:20
Le 15 mai 2012, lors de l'investiture présidentielle, il pleut des seaux. Stoïque déjà, François Hollande dédaigne le parapluie et teste le tout premier water bucket.
Deux ans plus tard, les Etats-Uniens reprennent le concept hollandiste, ajoutent des glaçons, et se lancent des challenges.
En France, on a de bonnes idées, mais on peine souvent à les développer et à les exploiter utilement.

isaton 26 août 2014 à 11:47
Effectivement et depuis le début il est terriblement nul de voir le président sous la pluie alors que rien dans le protocole ou tout simplement dans la condition humaine n’y oblige...

Strumfenberg ( Aloys von ) 26 août 2014 à 08:09
En tout cas, s'il y a un domaine radicalement protégé contre l'apparition de " frondeurs", c'est bien les médias. ( impressions radiophoniques matinales )

Oblivion 25 août 2014 à 21:49
Un abri, c'est important.

Retraité volontaire 25 août 2014 à 20:17
S'il fallait une preuve aux quelques électeurs socialistes restants de l'incompétence crasse d'Hollande et son staff, je pense que cet épisode leur permettra de réfléchir.
En 2012, la gauche envoyé à la tête de mon beau pays un type incapable de lire une prévision météo, et surtout incapable de s'entourer de collaborateurs capables de signaler qu'en Bretagne, parfois, il pleut.
Ne cherchez pas plus loin pourquoi vous payez de plus en plus pour avoir de moins en moins... Principe de Peter....

gondalah 25 août 2014 à 20:15
Oui, encore une fois ASI prouve qu'il n'est pas dupe des jeux de pronostics, du meublage.... Bravo, après 20 de critiques des médias, c'est impressionnant.
Quid de l'idéologie? De la propagande?

Ervé 25 août 2014 à 19:29
Un discours en plein air ! Fin août ! Sur une île ! En Bretagne ! Quelle inconscience...
Espérer un rayon de soleil dans ces conditions, c'est comme guetter une lueur d'humanité dans l'oeil de La Pen.

emilie bouyer 25 août 2014 à 18:53
" La fenêtre de tir pour dissoudre"????? C'est la Marine qui jubile ce soir. J'ai mal compris ou c'est bien ce qu'ils veulent dire ?
Message pour" monsieur le président de gauche" : Virer Montebourg ne répond pas au problème qu'il a justement évoqué...