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  • Bracam 12 octobre 2015 à 22:15
    Je n'ai pas lu le sujet.
    Mais moi qui croyais que le journaliste avait pour mission d'informer et non de prendre parti, qu'est-ce que je tombe de haut

  • jean-françois copé-décalé 10 octobre 2015 à 18:15
    J'ai trouvé au contraire les articles de la presse généraliste (hors caniveau, càd hors Parisien / Métronews etc.) plutôt équilibrés et peu coupables de mansuétude à l'égard de Platini. En revanche la presse sportive s'est vautrée dans l'aspect "pas touche à l'idole Platoche". Ca illustre bien à quel point le copinage pourrit la presse sportive en France (à quand une émission d'@si sur le sujet ?), où des joueurs, s'ils sont potes avec les journalistes et éditorialistes sportifs, obtiennent systématiquement de bonnes notes dans les compte-rendus de matchs, donc peuvent à terme voir leur "cote" augmenter, et donc aussi leur salaire ou leur valeur marchande en vue d'un transfert. Et inversement, la plupart des journalistes sportifs ayant symétriquement leurs têtes de turc.

    C'est aussi dommage que l'article n'aborde pas certains points essentiels, notamment le fait que cette suspension prononcée par la Commission d'éthique de la FIFA, quand on connaît le contexte, est complètement bidon. Je m'explique :
    1/ Blatter sait qu'il est foutu, qu'il va devoir passer la main en 2016, et qu'il a une batterie de casseroles au cul. Il semblerait qu'il ait décidé depuis un moment déjà d'entraîner tout le monde dans sa chute, y compris, évidemment, Platini, son meilleur ennemi.
    2/ La Commission d'éthique de la FIFA. Les "commissions d'éthique" sont souvent des institutions fantoches, et dans le cas présent c'est particulièrement le cas : elle est composée pour l'essentiel d'"amis" de Blatter.
    3/ La justice suisse sera amenée à se prononcer prochainement sur les deux millions versés à Platini, qui jusqu'à ce que la justice statue est présumé innocent. Dès lors pourquoi la commission d'éthique condamnerait Platini pour une faute qui n'a pas encore été établie et jugée comme telle dans un tribunal ?
    4/ Le timing de cette décision de la commission d'éthique, qui empêche Platini de se présenter à présidence de la FIFA.
    5/ Le fait que le président intérimaire de la FIFA, Issa Hayatou, un corrompu notoire, ait 1000 fois plus de raisons d'être condamné par la commission d'éthique que Platoche. Empêcher un candidat possiblement corrompu de se présenter à la présidence sans suspendre de ses fonctions un président intérimaire notoirement corrompu, c'est assez... comique.

    Bref, quoi qu'ait fait Platini (l'affaire de l'attribution de la coupe du monde 2022 au Qatar a bien montré qu'il s'était au mieux plié aux desiderata de Sarkozy, au pire qu'il s'était fait corrompre, donc "l'idole Platoche" sent déjà un peu le caca), on aurait tort, à mon sens, d'accorder trop d'importance à cette décision de la commission d'éthique, qui ressemble fort à une manoeuvre politique de Blatter.

  • laurent belhomme 10 octobre 2015 à 17:48
    je veux conseillé la FIFA.POUSSEZ VOUS MERDE!

  • Monsieur X 10 octobre 2015 à 01:24
    Voilà deux personnages dont les tribulations m'intéressent presqu'autant que celles des deux blondes inquiètes d'hier...

  • sandy 9 octobre 2015 à 20:18
    Et à propos des évidences de corruption qui ont conduit à l'organisation de la coupe du monde au Qatar ? Où en sommes-nous ?

  • Julot Iglésias 9 octobre 2015 à 17:54
    Le bruit court que lorsqu'on conseille à Platini de faire un peu de jogging pour perdre quelques kilos il répond : "Vous avez, moi, le sport..."


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