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  • M_ 31 juillet 2020 à 17:21

    C'est l'heure de faire de la pub a arte radio avec cette longue serie reportages sur les feminismes.

    https://www.youtube.com/watch?v=ya1BtYP185U&list=PLFVzK8A2jIlwJzl1PAOjKa_k5DldLYdY- 

  • Maud 31 juillet 2020 à 16:44

    A mon simple avis il n'y a pas photo. Gisèle Halimi a réellement fait avancer la cause des femmes comme nombreuses autres de son époque sans esprit de séparatisme comme aujourd'hui. Maintenant nous avons à  faire face au fanatisme à l'hystérie au sectarisme à l'exploitation des pulsions primaires qui exclue tout échange. Alors tout le monde peut bien s'en réclamer, un grand classique, mais elles ne sont pas nombreuses aujourd'hui à lui arriver à la cheville.

  • Mary 30 juillet 2020 à 16:24

    Ou juste comme l'a exprimé Jenesaisplusqui (pardon), une bonne féministe est une féministe morte... 

  • Ferdinand14 30 juillet 2020 à 15:30

     (sur le site du “Monde diplomatique”) 


    https://www.monde-diplomatique.fr/2003/08/HALIMI/10360


    Avocate opiniâtre, militante anticoloniale, féministe intransigeante, Gisèle Halimi est décédée ce mardi à Paris. Engagée contre toutes les injustices et les dominations, elle restera dans l’histoire comme une femme libre et courageuse, une des pionnières du féminisme, ne pliant devant aucune autorité.  En 2003, elle prenait la plume dans nos colonnes pour la dernière fois afin de défendre la première Enquête sur les violences envers les femmes (Enveff) attaquée de toute part (de Élisabeth Badinter à Alain Minc)… C’était bien avant que l’un de ses trois fils, Serge Halimi, ne devienne directeur du Monde diplomatique.



  • jammrek 30 juillet 2020 à 14:04

    On résume :

    1) En pleine guerre d'Algérie elle prenait la défense des terroristes (comme disaient les macronistes de l'époque).

    2) En plein pompidolisme elle se déclarait coupable d'un crime passible alors des assises puis à l'occasion d'un procès retentissant obligeait la justice à ne plus appliquer la Loi de la République.


    Certes, passé 70 ans elle s'est un peu calmée. 


    Mais qui nous fera croire que ceux qui crachent sur Alice Coffin peuvent à bon droit se réclamer d'elle ?

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 30 juillet 2020 à 12:14

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • KE-SAIS-je 30 juillet 2020 à 09:39

    Consensus, pas tout à fait,  Monsieur Darmanin ( que certains, sans aucun respect,  surnomment Cochonou ) s"esT abstenu   à ma connaissance, de rendre hommage à Maître Halimi.


    Probablement, qu'il risquait  de s'étouffer.

  • magrit 30 juillet 2020 à 09:06

    Ses combats n'étant toujours pas "consensuels", elle dérange encore et toujours , d'où la variété des hommages !  

    La mort oblige à l'hommage , il faut en être  ...


    Mais ,l'éloge funèbre   revèle souvent plus son auteur que la défunte honorée , 

    ce qui se verifie ici ,encore une fois .


    Merci de ce bel article.

  • Cultive ton jardin 30 juillet 2020 à 08:56

    Il serait bien étonnant qu'en 80 ans de militantisme (car elle a commencé très tôt :-D) elle n'ait pas dit ou écrit de quoi être utilisée par tout le monde ou presque. Merci pour ce passage en revue des hommages, sincères ou récupérateurs. 


    Pour moi, elle reste celle du procès de Bobigny, où elle a fait le choix d'une "défense de rupture" (je crois que le terme est d'elle) où, au lieu de quémander l'indulgence, elle a carrément attaqué la légitimité d'une loi. 


    C'est à elle, essentiellement, que nous devons l'abrogation de cette loi mortifère. Et à l'association "Choisir" qu'elle avait créée, ainsi qu'à toutes les anonymes qui se sont battues à l'époque. Quelques hommes parmi elles, des médecins qui ont risqué leur vie professionnelle par un acte de désobéissance civique.

  • Elihah 30 juillet 2020 à 06:20

    Merci, bon article sur ce qu'on voit passer depuis hier au sujet de Me Halimi, en effet. 

    Elle était universaliste, abo, laïque à mon sens. 

    Bémol le "s'être fait violer"  -- pitié non, respectez les victimes et ne cédez pas à cette mode, gardez la voix passive=> 'avoir été violée' 'être violée' . 

    On se fait couper les cheveux mais on est agressé·e.


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