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JeDouteDoncJePense!
Si,
il est acceptable d'émettre son opinion de journaliste dans la sphère ''privé'' des journalistes,
Il ne peut pas être possible de l'exprimer aux téléspectateurs, lecteur de médias et autres supports...
Serait-ce parce que ces derniers auraient une opinion hautement positive à l'égard de France Télévisions et de leurs dirigeants ?
J'en doute !
Si une société (de médias/presse) ne peut entendre une opinion (professionnelle) puis ouvrir le débat,
et, préfère licencier, alors je me dis que la démocratie s'évapore vers ces oubliettes dont on revient jamais
Est-ce possible ?
Questionnement réveillé par la mémoire de la décision du Souverainprésident, il y a 2/3 ans, de supprimer des cours de philo les notions de conscience et de travail ...
Si les lecteurs/téléspectateurs ne doivent plus prendre conscience, il n'est plus nécessaire que les journalistes travaillent, à savoir étudier/comprendre/publier des idées pour en débattre et donc travailler sa conscience...
Quand il n'y a plus le choix de conscience à savoir le travail de la conscience, cela s'appelle le nazisme !
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Anabase
L'information ou la désinformation est un rouage essentiel du pouvoir, rien ne doit sortir qui risquerait de le froisser. "OnEstPasEnDicTaTuRe"
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Suis-je-bête (ce sera sans moi)
Je ne sais pas pourquoi, mais j'attends un commentaire de Denis Robert.
Je vais aller voir sur Blast.
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Thomas
Merci pour l'article et toutes ses informations, pas lues ailleurs.Inhabituel, ce titre affichant clairement une visée performatrice et une volonté d'intervention, pas seulement d'observation. Ce n'est pas si fréquent sur @si et quasiment jamais ailleurs que sous la plume de Daniel Schneidermann, en tout cas de manière explicite.
Evolution intéressante, à suivre ! Il semble que le sang neuf à @si produise ses effets...
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simplet
c'est marrant, j'ai l'impression que c'est partout pareil !!
Quelque soit le domaine, presse, médecine, industrie... Les organisations en place préfèrent toujours une certaine médiocrité qui ne dérange personne, qui n'engage personne, au perfectionnisme qui impose forcément de la rigueur, du courage mais aussi, parfois, un certain désordre.
Soudain, l'efficacité, le talent, tant vantés par la NOVLANGUE managériale, n'est plus un but. On préfère se satisfaire du moelleux de l'immobilisme. C'est comme ça qu'on voit partout des entreprises incapables d'innover et qui finissent par en crever.
La situation actuelle de la presse ne serait-elle pas une illustration de cette attirance paresseuse pour le médiocre qui a pour seule qualité de ne pas déranger les pouvoirs établis ?
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Lorie
De temps en temps, il y a de bonnes nouvelles! Mais c'est rare!
J'ai remarqué qu'on avait diminué le temps d'émission d'Elise Lucet, mais je pense qu'ils n'oseront pas la toucher: elle est trop populaire!
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Ata Raxie
On aimerait bien connaître le nom des vaillants et courageux directeurs qui ont pris la décision de licenciement....
Je crois me souvenir que FR3 a connu des éminents PDG : par exemple Elkabbach ou de Carolis : il est vrai que ça n'incite pas à un profond respect ....
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Frédéri POCHARD
Donc en fait France Télévisions embauche en tant que journalistes des gens qui n'ont strictement rien de journalistes.
Parce que bon... allez... traitez-moi de vieux con excessif mais... si un-e journaliste ne fait pas au minimum un peu de temps en temps de l'investigation, il ou elle fait quoi ? De la recopie de communiqués de presse et de déclarations de préfecture ? Des reportages en immersion dans les soirées des derniers salons où l'on cause et dans le champagne-petits-fours-coke ? Homme ou femme tronc du 13 ou 20 heures ?
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Athanase Broutechoux
C'est bien pour monsieur Tual. Il mérite cette décision des prud'hommes. Du coup, je me pose la question des compétences des dirigeants de France 3, qui mériteraient d'être, eux, placardisés, ailleurs, sur Beltégeuse par exemple.