emilie bouyer 9 avril 2014 à 18:27
C'est çui qui l'a dit qu'y est!!!!!!! Hier ils chahutaient, grimaçaient , grognaient pendant le discours de Valls à l'assemblée. Aujourd'hui ils se chamaillent comme des gamins de sixième.
Tout ce fric dépensé par ces gens pour qui rien n'est trop beau-trop cher pour flatter leur importance! Cette dette colossale qu'ils ont laissée au pays, cette dette énorme accumulée par leur parti.... Oui, vraiment les rois de la bonne gestion. Et ils se permettent de critiquer les autres.
Repérées hier, par le cameraman, les singeries de Pécresse et les expressions ahuries de l'ineffable Wauquiez.

joelle lanteri 9 avril 2014 à 15:24
c'est dingue à peine imaginable à l'ére du tous à velo l'autre il claque des milliers de litres de pétrole pour se déplacer au frais des contribuable déjà assommés par les impots et on se moque des AFRICAINS !!!

pow wow 9 avril 2014 à 15:18
Que celui qui n'a jamais péché avec l'argent du parti ou l'argent public lui jette le premier bidon de kérosène.

Thomas 9 avril 2014 à 13:49
"Car si celui-ci affirme n'avoir jamais utilisé les fonds de son parti pour partir en week-end, il ne peut pas être aussi affirmatif avec les fonds publics."

Rappelons que les fonds d'un parti proviennent très largement des fonds publics...

Merci pour l'article !

Cordialement
Thomas

Ervé 9 avril 2014 à 13:25
Non mais franchement, à quoi ça ressemble ces accusations mutuelles de malhonnêteté ?
T'as dilapidé l'argent de l'UMP dans de ruineuses bacchanales, en arrosant abondamment tes amis au passage.
Toi t'as pris l'hélico et l'avion aux frais du contribuable, pour rejoindre ta cambrousse pourrie.
Une vraie querelle de faux-culs qui risque à la longue d'écorner l'image d'un parti, jusqu'alors quasiment irréprochable.
Qu'ils règlent leurs comptes une fois pour toutes. Entre hommes. Sur le pré.
Au pistolet, comme au bon vieux temps. Avec Sarkozy et Juppé comme témoins.
Que le sang coule et que ces affronts soient lavés. Et tant pis pour les balles perdues.

Malagom 9 avril 2014 à 13:14
Après le remboursement, plumes et goudron pour tous les téteurs de pognon public.