Facebook, Twitter et l'ingérence russe dans la campagne US : des aveux, mais pas beaucoup plus

Hélène Assekour - - Nouveaux medias - 34 commentaires

En attendant leur audition devant le Sénat américain

C'est Facebook et Twitter qui le disent : ils ont été instrumentalisés pendant la campagne présidentielle américaine de 2016. Bots, faux comptes, et publicité payante auraient été utilisés par des agents russes pour saboter la candidature d'Hillary Clinton, et entretenir les divisions sociales. Que sait-on vraiment, à un mois de l'audition de Google, Facebook et Twitter devant le Sénat ? Pas grand chose, sinon que les géants du net ont décidé de se montrer coopératifs.

Capture d'écran Le Monde

C'est le feuilleton de l'année : depuis l'élection de Trump, la Russie est soupçonnée par le renseignement américain d'avoir voulu influencer la campagne présidentielle pour obtenir l'élection de Donald Trump. Fake news, faux comptes : les réseaux sociaux sont particulièrement sous le feu des critiques, et ne communiquaient jusque-là guère sur la question. Désormais, ils disent vouloir jouer à fond le jeu de la transparence. Twitter, par exemple, a publié un long communiqué jeudi 28 septembre sur "l'ingérence russe dans l'élection présidentielle états-unienne de 2016" sur... Tw...

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