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leshausses
Le dernier paragraphe est intéressant. Mais il m'aurait semblé judicieux de signaler que si Facebook n'a pas su "s'implanter en Chine" comme le mentionne l'article, c'est parce que ce réseau social est boycotté par le gouvernement chinois (à l'instar de Twitter/Youtube).
Mais quelques clics sur le web semblent dire qu'un accord serait signé ou prêt à être signé afin que Facebook respecte la censure. -
Joan38
La procédure de suppression d'un compte Facebook est tellement difficile à connaître : comment Facebook peut-il perdre autant d'utilisateurs ? A moins qu'il s'agisse du nombre de visites mensuelles.
D'autre part, il y a beaucoup de fantasmes (positifs ou négatifs) à propos de l'audience et la puissance d'un média financé exclusivement par la publicité et la vente d'informations commerciales. Haro sur le baudet. Les technologies utilisées par Facebook, Google ou encore Twitter sont utilisées par d'autres entreprises dans d'autres circonstances sur le web. D'autres entreprises offrent les mêmes services séparement et parfois payant à l'usage (abonnement ou paiement à l'acte).
Facebook n'est qu'une plateforme de services de communication et de publication (microblogging). La seule force de ces entreprises est de faire la synthèse de plusieurs services sur une même interface web sans tarification d'usage.
En se focalisant sur le succès de marques commerciales (Facebook, Myspace, Google, Twitter, etc), on oublie que les dangers et les espoirs représentés par "Facebook" ou "Twitter", sont à attribuer à l'innovation technologique et au progrès technique. -
Gilles Klein
Si Facebook perdait des abonnés cela ne voudrait pas dire pour autant qu'ils se reportent vers d'autres réseaux... -
IT
C'est le facebook lui-même qui est en baisse, ou le réseau social virtuel en général ?
Et dans le premier cas, la migration se fait plutôt vers quels types de systèmes ? Des machins équivalents, ou plus minimalistes, ou plus complets ? Tweeter, les plateformes de blog... ? -
Al Ceste
Voici mon témoignage d’internaute actif qui vit très bien sans Face de B... :
- Face de B… s’adresse à moi en anglais. Comme mes contacts internautiques sont très majoritairement francophones, ça le fait moyen. Ajoutons que ma maîtrise insuffisante de l’anglais m’expose à signer des choses que je ne comprends pas.
- Face de B... est intrusif : dès le début il était au courant de mes relations internet horsFB.
- Face de B... se mêle de ce qui ne le regarde pas : ainsi il m’a récemment contacté pour me rappeler que c’était l’anniversaire de ma sœur ! Et ta sœur, duconno, elle fasse le beurre ?
- Face de B… est un produit mode à démoder comme les skyblogs d’ados : qui en a encore un ?
- Face de B... est le lieu de l’exhibition : allant sur le profil d’une relation du temps où elle avait un blog, je suis tombé sur une kyrielle d’échanges perso qui ne me regardaient en rien.
Les sites, les blogs persos et surtout la vie réelle me suffisent largement pour avoir une vie sociale des plus remplies. Je n’arrive même pas à trouver le temps de voir tous les gens que je connais.
Face de B… c’est comme la pub : un truc qui veut faire croire qu’il nous est indispensable alors que c’est exactement l’inverse : il a besoin d’un max de gens pour vendre un max d’infos. Et de pub. -
Mon Nombril
'tain, j'suis bouleversé !
Même pas eu le temps de m'y inscrire que c'est déjà ringardisé.
J'ai loupé myspace, j'ai raté Facebook, ma vie 2.0 a-t-elle un sens ?