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Jiemo
Effectivement , la tartine est épaisse et comporte de nombreux vœux pieux . Une réinvention de l'eau chaude ... mais labellisée "démocratique".
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Peanuts
Se pourrait-il que notre bon Président - loué soit son nom et bénis soient ses escarpins - se paie notre museau en faisant semblant de tendre sa noble oreille en direction du bas peuple, pour finalement écouter ses amis marqui.se.s et copains baron.ne.s et s'assoir sur la plèbe ? Je n'ose y croire !!
Il n'oserait répéter ce qu'il a fait pour les gilets jaunes, pour le climat, pour la r[d]éforme des retraites, ... et qui a nonobstant conduit à ... sa réélection.
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Asinaute sans pseudo a50cd
Avant même d'entrer dans ces critiques (bienvenues au demeurant), il y a un problème fondamental avec l'idée que la liberté de la presse puisse être améliorée par une intervention et un encadrement d'un Etat. Contradiction encore plus criante quand il s'agit de l'état autoritaire de Macron.
C'est orbanesque comme
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Davesnes
ASI se montre très critique vis à vis des États généraux de l'information. On peut le comprendre. C'est une parodie de démocratie qui ne remet pas en cause l'ordre médiatique existant. Pourtant le SPIIL, le syndicat des patrons de presse cofondé par ASI, se réjouit des avancées obtenues par ces États généraux de l'information ? J'aimerais comprendre cette dissonnance cognitive. Est-ce qu'ASI a défendu sa position au sein du SPIIL ? Est-ce qu'ASI a été mis en minorité lorsqu'il a fallu réagir après la publication des conclusions des États généraux ? Merci, après nous avoir dévoilé les coulisses de ces soi-disant États généraux, de nous dévoiler celles de l'élaboration du communiqué triomphaliste du SPIIL.