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  • charlie.lapared 29 juillet 2012 à 10:37
    Le beau temps m'avait tenue éloignée d'@si... je regrette d'avoir découvert ce reportage aussi tard...
    Parce que ça prouve en effet très bien combien il est difficile de s'y retrouver, de ne pas se faire "balader", dans un pays aussi difficile que la RDC, avec des proximités, un passé, des imbrications qui viennent compliquer sacrément le travail d'un reporter sur place, ou un travail d'analyse fait de France...
    Tout sauf évident...
    Mais compliments, Justine. Vous redorez le blason du "reporter de guerre" avec vos reportages ;o) (bien abîmé avec les "embedded", la Libye et la Syrie maintenant).

  • Humstel 25 juillet 2012 à 18:56
    Bravo pour ce travail.

  • mama 24 juillet 2012 à 10:59
    Vraiment ma-gni-fi-que !
    Souhaitons qu'avec les années et la "carrière" le questionnement intérieur et l'exigence personnelle ne vous quittent jamais - c'est tout le mal que je vous souhaite...
    Merci pour votre travail, en tout cas.

  • bysonne 23 juillet 2012 à 13:38
    Beau travail qui exprime bien la complexité d'un conflit et la complexité du travail de journaliste. Merci Justine.

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 22 juillet 2012 à 22:11
    Merci à Justine Brabant l'anti-robot.

  • pas de nom 22 juillet 2012 à 21:31
    bravo

  • Gamma gt 22 juillet 2012 à 12:02
    Merci Justine et Dan.
    Moi aussi j'avais un peu de mal à comprendre ( c'est habituel ), surtout l'histoire du stage.
    Bon, tu es de retour, pour une fois j'avais pigé...
    Je fais des progrès
    gamma

  • Laurent 22 juillet 2012 à 08:02
    Article passionnant, aime bien le style d’écriture. Par contre je ne comprends pas bien, Justine Brabant est toujours là-bas ? C’est l’envoyée spéciale d’@si ?
    Les articles précédent ‘Bon baiser du Kivu’, et ‘les écrivains-rapporteurs de guerre’, narrant les aventures de Jack London en Corée entre autre, interrogent sans concession et non sans humour l’objectivité du journaliste reporter. La question soulevée à la fin de l’article sur la possible imbrication du journaliste dans le conflit met en lumière des cas de conscience auxquels on ne pense pas vue d’ici. En lisant qu’elle doit parfois se trouver un hélico pour les besoins de son enquête, prendre motos et sac à dos pour une interview, on se rend compte du foutoir logistique que ça doit être, combien il faut être en forme et en vouloir. Chapeau bas pour cet exercice d’introspection, et aussi parce que je la trouve un brin courageuse de s’embarquer dans de telles aventures.

  • Gamma gt 21 juillet 2012 à 18:35
    Bien étrange ce conflit.
    Merci.
    Gamma

  • Loran 21 juillet 2012 à 18:02
    Bravo.

  • Mathieu 21 juillet 2012 à 17:01
    Bravo pour ce travail.

  • Horst 21 juillet 2012 à 13:06
    trés instructif, très beau papier. Merci.

  • sgd (bientôt disponible ) 21 juillet 2012 à 12:57
    Merci / Tout est dit les faits / / les problématiques de la médiatisation d'un conflit / Le rôle des uns et des autres / Passionnant et bien écrit/
    Bravo

  • kakophone 21 juillet 2012 à 11:42
    Ah que voilà que vrai, du beau, du bon reportage :-)
    merci Justine


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