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anny MARTIN
Les mots ont un sens... Or, dans cette "novlangue" généralisée, le mot SECURITE reste magistralement dévoyé : qui parle de SURVEILLANCE en place de "sécurité"... ? Décodons, décodons... (lol)
Voyez la réponse citée dans le présent article :
".... ... ajoutant qu’un travail de réflexion est en cours pour "trouver le cadre qui permettrait aux équipes de pouvoir en parler en toute sécurité.""
- en parler en toute sécurité ?
j'hallucine ! (sous-entendu que les racistes, anti-trucs-machins etc. seraient en "danger" ?)
Non !... Aucun danger : ce sont juste des cons/connes bas du front, ou des machos... (à éduquer ou rééduquer... ?)
- en parler avec respect" me paraît plus adapté... non ?
Ce mot "respect" serait-il dépassé ? ou hase been...
Cordialement.
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freT
Ai-je bien compris ? Des anonymes balancent des anonymes ?
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Paddy
Bien sûr, il est tout à fait louable de vouloir lutter contre le racisme, le sexisme, l'homophobie, dans le milieu journalistique. On imagine facilement qu'il doit y avoir du boulot. Mais ce qui me parait un poil gênant ici, c'est de découvrir qu'il s'agit ni plus ni moins que d'un espace de dénonciation anonyme, qui permet comme au bon vieux temps de balancer sans risque, y compris - et il semble donc que ce soit arrivé - des fausses réflexions. De la dénonciation confortable, en somme. Mais dont la fiabilité induit quand même quelques doutes. La démarche (lutter contre en mettant en relief des paroles déplacées) est évidemment estimable, mais le moyen utilisé, et ce n'est que mon avis, me parait un peu équivoque.
Ou alors, quelque chose m'échappe totalement, ce qui est bien possible... -
clomani
Je vois que ça n'a pas beaucoup évolué dans les rédactions actuelles... j'ai bossé dans deux rédactions et j'observais beaucoup ces M'sieursdames... à leur poste à Paris ou en mission qqfois. Pas brillant déjà sur la misogynie et l'homophobie, mais pour le racisme, je dirais qu'ils battaient des records... hommes ou femmes... le classique "il est noir, il est bien monté"... un jour, quand j'étais au prompteur -avec un retour plateau- au moins 10 mn sur la bite des noirs, une femme qui racontait qu'elle s'était laissée rouler une pelle par un noir et que ses grosses lèvres, c'était un peu dégueulasse, mais l'apothéose pendant la guerre du Golfe où l'armée sénégalaise était au Sud Koweit (envahi par Saddam), et le gros de la coalition en Arabie Saoudite... avec les soldats jordaniens, les soldats koweitiens + soldats émiratis etc... contre l'armée irakienne... un journaliste regardant les images des agences sur place arriver sur l'écran qui lance, interrogatif, aux petits grouillots -nous- derrière lui, "c'est quels melons, ceux-là" (on avait un descriptif de qui faisait quoi sur les plans que nous recevions par satellite)... Il y avait aussi la condescendance avec un journaliste noir, limite paternalisme... (il m'a raconté qqs épisodes)...
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isaton
Pouvez-vous transmettre ce message à l’imbécile de TF1 : Le handicap est bien plus anxiogène pour le porteur que l’écran ; foi de handicapé !
Sinon, j’espère que cet imbécile, femme ou homme, n’est pas un décideur de l’entreprise.
Mais, au fait, si je me souviens bien, le film, Intouchable, a été produit par TF1... serait-ce l’entreprise dans sa totalité, personnel compris, qui est imbécile ?
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