M.Pat 8 novembre 2013 à 14:36
L'interview d'Evra était drôlissime, ce mec n'a honte de rien et il assume. Tout cela n'a aucune importance mais il n'empêche que les articles de Gregory Schneider sont une des rares bonnes raisons de lire Libé ( comme ceux de Jean Louis le Touzet sur le tour de France).

caius lapsus 7 novembre 2013 à 23:59
Hola! traiter Luis fernandez de Fernandel qui danse la macarena sur le bord du terrain,si c'est une insulte contre les journalistes faut etre parano . Moi je pense plutot que traiter Luis Fernandes de journaliste,ça c'est une insulte..

Julot Iglésias 7 novembre 2013 à 21:14
La formule "les insultes anti-journalistes d'Evra" qui figure dans le titre de cet article me parait excessive.
Les mots les plus violents de l'interview sont "ces clochards" et "ces parasites". On doit exister des insultes plus violentes ...
Les arguments d'Evra sont justifiés et on peut comprendre sa colère. La moindre des déclarations des joueurs de foot, la moindre de leurs actions sont montées en épingle par les journalistes, qui savent que les "supporters" de l'équipe de France sont toujours prêts à vomir leur haine sur les joueurs lorsque l'équipe ne gagne pas. Et, quoiqu'un joueur dise ou fasse, il n'aura jamais le dernier mot face aux journalistes, lesquels contrôlent les médias et ont le pouvoir de saccager l'image de n'importe quel joueur, impuissant face aux calomnies.
Le ressassement de l'"affaire de Knysna" (en résumé : une grève d'une durée de... trois heures) par la presse est un bel exemple de l'acharnement de ces journalistes touille-merde, qui ne cessent depuis plus de trois ans d'évoquer "les meneurs" et de décrire de ces événements comme d'un des plus gros scandales de l'histoire ...

Strumfenberg ( Aloys von ) 7 novembre 2013 à 19:09
là encore, j'ai la conviction qu'il est possible de faire l'économie de la théorie du complot.