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thurar
Venezuela
Crise au pays du pétro-chavisme
paru dans CQFD n°120 (mars 2014), par Oscar Ratito, illustré par Rémy Cattelain
mis en ligne le 17/03/2014
« La présentation des faits est si souvent mêlée à la propagande des factions en présence qu’il est difficile de prendre une position critique », observe Simon Rodriguez Porras [1] dans un texte sévère sur la responsabilité du régime post-Chávez dans les récentes manifestations du mois de février. Dans ce contexte de guerre médiatique et de bipolarisation extrême, nous avons essayé de recueillir quelques clefs d’analyse auprès de plusieurs observateurs vénézuéliens pour mieux comprendre ces signes d’érosion du chavisme.(...)
PS: Pour les ispanophones...http://www.nodo50.org/ellibertario/libertarios/libertario71.html -
smaksing
article tres interessant -
manu@home
C'est ça l'impérialisme: omniprésence des USA, et surtout ne pas parler de l'Amérique latine, où on a démontré que socialisme et démocratie étaient compatibles -
jeannot
J'avais fait le même constat début 2010 avec les chroniques géopolitiques de Bernard Guetta dans la matinale de France Inter, (entre 220 et 250 chroniques par an)
Celui-ci avait écrit un bouquin en 2007, "Le monde est mon métier", et pourtant j'avais toujours eu l'impression que dans le monde de Guetta,.
l'Amérique du sud et l'Afrique étaient inexistantes.
Quand je m'aperçus qu'il ne chroniquait pas la défaite, au Chili, de M Bachelet, allié à Edouardo Frei, une sorte de Bayrou local, contre Pinéra, j'avais voulu en avoir le coeur net et j'avais passé en revue les archives de ses chroniques de l'année 2009.
Le résultat était édifiant:
Pour toute l'année 2009, ZERO chronique sur l'Amérique centrale, ZERO chronique sur l'Amérique du sud, sauf un portrait flatteur de Pinera le candidat de la droite, quand celui-ci est arrivé en tête au premier tour des élections présidentielles.
Pratiquement rien sur le continent africain.
Mais alors, de quoi parlait Guetta?
Un coup d'oeil sur 30 chroniques consécutives (fin 2009 début 2010), montrait que plus de la moitié de ses chroniques portaient sur Obama ou sur ses politiques, ou sur ses obsessions géopolitiques qu'étaient l'Iran, l'Afghanistan et le Moyen-Orient.
Les autres chroniques traitaient de l'Europe et de l'économie mondiale.
Fidèle auditeur d'Inter, j'écoute toujours Guetta, et mon constat n'a pas changé. En 2013, c'est la Syrie et l'Iran qui étaient omniprésentes. En 2014 c'est l'Ukraine etc etc. Il n'a par ailleurs pas dit un mot lors de la disparition de Chavez.
En conclusion: "Tant que les moutons n'auront pas d'historiens, les loups continueront à écrire l'Histoire"
NB: En 2008, l'ONU recensait 192 pays qui souhaiteraient sans doute que B Guetta pens un peu à eux.
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Neirda
Et combien de sujets parlant de la météo des USA dont on a rien a faire avec Maryse Burgot pour nous en parler en direct ? -
Ivoire
Aux US c'est pire. Mise à part eux, le reste du monde n'existe pas! -
sandy
Et quand parleront-nous de la désinformation dans les JT ? -
Vive le roi
Le commentaire est dans le titre :DANS LES JT FRANÇAIS, LES USA ÉCRASENT LE RESTE DU MONDE.
Rien de neuf, pour faire parler de soit il faut soit être le plus "riche", soit faire un maximum de morts. Quand on cumule les 2, comme le 11 09 2001, c'est le jackpot.
Ils ne faut pas confondre l' "actualité", qui est de l'incidentalisme quasi pur, et l' "information", qui elle fuit les JT. -
JR
Intéressant, mais il n'y a pas d'explication, pas de source (l'équipe d'ASI j'imagine?), un code couleur pas vraiment intuitif...
(Donnerez-vous également accès aux données pour que l'on puisse les regarder en fonction des sources par exemple?) -
Florence Arié
Euh, un commentaire? une explication?... -
poisson
Ou est-ce qu'on peut cliquer pour enlever les occurrences correspondant au cinéma? (parce que les occurrences littéraires des usa c'est pas tant, j'en mettrai ma main au feu.)