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Asinaute sans pseudo a50cd
Bernard Llions.... J'ai failli arrêter ma lecture à l'évocation de ce nom, tellement le personnage est pathétique.
Il y a quelques années, il est intervenu dans une école reconnue de journalisme. A une étudiante qui lui demandait comment devenir journaliste sportive, il a répondu "une femme journaliste sportive ? Bah faut aimer la double pénétration".
Je crois n'avoir rien à ajouter pour résumer le bonhomme. Alors lui confier une interview aussi sensible.... J'en ris jaune.
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DavidK
"On fait le même travail que la police et les curés, sans les menottes et la soutane. A partir du moment ou il est condamné, moi en tant que journaliste, je ne peux pas l'empêcher de parler."
Justification du journaliste en fin d'article qui me heurte sur sa conception de son travail. Le journaliste informe objectivement des faits. Dès lors, il n'est pas un agent de police, car il n'a pas à rechercher la vérité pour la justice d'Etat et il n'est pas un religieux, car son travail est public au contraire de celui des religieux, couvert en principe par le secret. S'il ne peut l'empêcher de parler, il n'est pas tenu d'être le relais de sa parole. -
Odyssée
Merci pour cette plongée dans l'envers du décor. Plan de com, il y a toujours, dans ce type d'affaires. Et tentative de minimisation, aussi. Bernard Lions devrait lire l'incontournable "berceau des dominations" de Dorothée Bussy, qui interviewe les condamnés pour inceste, cela ouvre les yeux sur l'innommable...
En l'occurrence, il n'y a en effet pas "mort d'homme" - physiquement en tous cas. Martini paie ce qu'il aurait pu faire dans sa position... Pour une fois, il a été arrêté avant que ça n'aille trop loin, du moins c'est ce qu'il semble. Un nouvel entretien d'ici six mois pourrait avoir un intérêt - si son traitement a été efficace... A quoi reconnaît-on une guérison ?
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Pakal
Triste histoire
L’équipe vit de tous les exploits des sportifs de haut niveau. Difficile pour un journaliste de ce journal de rester intraitable avec ceux qu'ils ont glorifiés si longtemps. Un peu la même connivence qu'ont d’autres journalistes avec les hommes politiques.
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Asinaute sans pseudo 398e6
"Les gens comme moi qui n'avaient pas d'avis, "
Le gars s'apprete à interview qqn condamné, il a pas d'avis... et il naura que celui du condamné. Vla le niveau d'implication du typtype, vachement concerné par le sujet