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  • Sterling Archer 29 décembre 2013 à 05:27
    J'aime bien Mediapart, abonné et tout, mais leur auto-promotion narcissico-victimaire, c'est juste pas possible.
    Les articles en une depuis hier:

    1:Presse: « Monsieur le Président, une exécution se prépare...»

    2:Qui veut tuer Mediapart ?

    3:Le sang de Mediapart

    4:Presse: de nouveaux soutiens à notre appel pour l’égalité fiscale

    5:100 000 lettres au Président pour sauver Mediapart

    Bref, ce contrôle fiscal c'est censé être l'Evènement Planétaire de cette fin d'année, alors que tout le monde sait qu'ils ne seront pas redressés au final. Misère combinée du storytelling cynique et de la titraille France Dimanche.

  • GIGI 28 décembre 2013 à 19:32
    euh je parlais de contrôle fiscal de TPE
    dont le montant du refressement ne dépassait pas 10 000 euros !

    + d'1 millions d'euros + intérêts etc pour Médiapart
    c'est beaucoup !
    faut-il payer ? comment payer ?
    tout ce qui dérange est à tuer ...

  • GIGI 28 décembre 2013 à 18:06
    quand une boîte à un contrôle fiscal, il y a toujours quelque chose à payer ...
    toutes les boîtes vous le diront et c'est pas du tout marrant car beaucoup
    de ces boîtes sont ric rac en trésorerie !
    oui, ces contrôles fiscaux tombent parfois après un événement ...
    Mediapart connait le sort de la plupart des boîtes de ce pays !

  • gracques 25 décembre 2013 à 15:15
    Romain , le problème c'est que vous ne savez rien des critères qui président a un controle fiscal ( j'en ai quelques lumières) et que CE controle fiscal là n'est pas un contrôle fiscal lambda , ce genre de décision concernant ce problème te cette entreprise ne se prennent pas ua niveau habituel croyez moi.
    Apres .... il est commun dans l'administration fiscale de nommer Bercy , "la centrale" et peu y voient un rapport avec le Komintern ou "le vatican" , mais ceux-là sont déjà dans le "cenacle".
    Il s'y passe des choses assez mystérieuses que le commun des cadres locaux de cette administrations évitent d élucider.

  • Romain Desbois contre les méthodes stalinofascistes! 25 décembre 2013 à 13:23
    Quand quelqu'un se plaint d'un contrôle fiscal c'est qu'il n'a pas tout à fait la conscience tranquille. quelqu'un qui en fait une vengeance de l'Etat a une drôle de conception de la démocratie !

  • Ossalois 25 décembre 2013 à 10:12
    Sur les rapports de Mediapart avec M. Bézard un lien vers un billet de blog de MDP analysant l'attitude de l'un et l'autre dans l'affaire Cahuzac:
    http://blogs.mediapart.fr/blog/rabourgris/170813/rigidite-osseuse-et-esprit-mal-tourne

  • Ossalois 24 décembre 2013 à 18:38
    Je voudrais revenir sur l'audition de M. Bézard par la commission parlementaire. En fait M. de Courson pose une mauvaise question. Ce qu'il aurait dû dire à M. Bézard c'est que la non réponse de Cahuzac dans le délai d'un mois sonnait comme un début d'aveu, s'il n'avait pas eu de compte il aurait rapidement répondu par la négative. A partir de là M. Bézard aurait dû signaler ce fait au procureur comme l'y oblige l'article 40 du code de procédure pénale. Par contre le DGFIP a raison de dire qu'il n'avait pas à en référer à son ministre.

  • Al Ceste 24 décembre 2013 à 11:34
    S'il y a bien un ministère où l’administration est plus puissante que les ministres qui croient la diriger, c'est Bercy beaucoup.

    Nouvel article ici :

    http://harmoniques-nuances.blogspot.fr/2013/12/il-na-rencontre-personne-meconte-de-noel.html

  • mb 24 décembre 2013 à 09:00
    bonjour
    les aventures de médiapart me rappellent une anecdote très ancienne
    Michel Polac animait l'émission "droit de réponse" très controversée et surtout très "irrespectueuse" (années 80).. elle a fini par être supprimée de TF1 ... "refonte de la grille des programmes" selon la direction de l'époque (Bouygues)
    dans les jours qui suivirent M Polac a eu le privilège de beneficier d'un controle fiscal approfondi ...
    voila qui montre que "tout est dans tout et réciproquement"
    bonnes fetes de fin d'année à toute l'équipe
    mb

  • Hurluberlu 24 décembre 2013 à 00:45
    Je ne suis pas d'accord avec l'angle de cet article, qui tend à concentrer la responsabilité du contrôle fiscal sur une seule personne, le fonctionnaire en charge Bruno Bézard.

    J'ose émettre comme hypothèse la sincérité totale des acteurs responsables du contrôle fiscal qui fait tant rager Médiapart: j'admets donc la sincérité des ministres se déclarant favorables à une TVA à 2,1% pour la presse, tout support confondus. J'admets également la position de Bruno Bézard revendiquant son indépendance. [c'est une hypothèse non une certitude]

    Comment expliquer dès lors l'existence dudit contrôle? Tout simplement par des contraintes structurelles: la consigne donnée à Bercy par l'UE est de faire rentrer le plus possible d'argent dans les caisses pour être dans les critères du TSCG et ne pas afficher un déficit trop important. Or, on est en fin d'année fiscale, et l'argent n'est vraisemblablement pas rentré aussi bien que prévu, non seulement parce que la conjoncture est morose, mais aussi parce que le pouvoir politique n'a pas voulu affronter la finance (loi de séparation bancaire, ANI, lutte de la fraude fiscale confiée à Cahuzac, etc.). Or, à la mi-décembre, les dossiers importants sont clos, il ne reste qu'à racler les fonds de tiroir... Ça tombe bien, parmi ces fonds de tiroir, il y a le dossier "TVA presse en ligne" non encore clos d'un point de vue jurisprudentiel (aucun jugement rendu sur le territoire français), même si l'issue d'un procès ne fait pas de doute, même pour Bercy (puisqu'il y a jurisprudence européenne, le tribunal français donnerait forcément raison à Médiapart). L'inscription au bilan des sommes dues-mais-non-encore-perçues par Médiapart (puisque la procédure est enclenchée) permettrait de maquiller suffisamment les comptes pour que, en additionnant cette somme à bien d'autres procédures tangentes, le dossier final remis à l'U.E. soit le plus positif possible. Quitte à ce que dans quelque mois, à la faveur d'un énième bricolage fiscal, l'Etat clarifie enfin la fiscalité de la presse en ligne.

    Donc je ne pense pas qu'il faille voir dans le contrôle fiscal une vengeance d'un haut fonctionnaire: simplement la nécessité pour la structure étatique de présenter des comptes qui satisfassent la technocratie bruxelloise. Et, vu la crise, partant la baisse des recettes, tous les moyens sont bons pour rogner à la marge afin que les comptes paraissent en ordre. Le risque est aujourd'hui d'affronter l'ire de Médiapart. Demain, quand les comptes seront présentés, et à la faveur d'une énième retouche fiscale, Bercy optera certainement pour l'attitude pacificatrice, Moscovici annoncera l'alignement du taux de la TVA de la presse en ligne sur celui de la presse papier, et renoncera aux procédures en cours. Je serai ministre des finances, et machiavélique, je profiterai même de l'annonce de cette clarification fiscale entre presse en ligne et papier pour retoquer à la baisse le système très généreux d'aides à la presse: le fait que la mesure apparaisse en faveur de Médiapart, qui a fait chuter un ministre et ami, démontrerait ainsi mon attachement à la liberté de la presse _et permettrait de réduire les dépense publiques pour renflouer la dette.

  • Bracam 24 décembre 2013 à 00:19
    L'idée même que certains politiciens (ne cherchons pas la femme pour une fois, elle nous en sera reconnaissante n'en doutons pas) et autres fonctionnaires puissent abuser du pouvoir ne m'était pas venu à l'idée. Et en lisant certains commentaires, je me réjouis à l'idée qu'en m'abstenant de tout esprit critique, j'ai évité de me tromper bien lourdement. Une question me reste : mais pour quoi t'est-ce donc que l'air est si difficile à respirer par ici, ou par là ?

  • Maud 24 décembre 2013 à 00:02
    Ridicule pour le pouvoir politique cette histoire où l'on nous montre qu'après avoir été élu à grands frais le Président et ses ministres n'ont aucun pouvoir sur les hauts fonctionnaires ou alors Médiapart charge ces derniers pour épargner (dans cette affaire) le pouvoir politique pour conserver une change d'obtenir enfin une Tva équivalente à celle du Monde.fr par exemple (tva à 2,1% par ailleurs équitable au regard de l'équité de la concurrence). Quelle image de la politique, quelle comédie du pouvoir une fois de plus.

  • Fan de canard 23 décembre 2013 à 23:07
    "le contrôle fiscal de Mediapart est-il une "vengeance" de Bruno Bézard"
    NoooOOooon... ce monsieur a déjà démontré sa probité et justifié qu'il utilisait à bon escient la dose de pouvoir qu'on l'a autorisé à déployer...
    Quelle idée de le soupçonner d'une telle bassesse.
    Seuls quelques petits soldats bien méritants des chiens de garde, auraient l'audace de défendre ces contrôles fiscaux dans les forums et dans un tel contexte.
    Merci pour ce billet, Sébastien !

  • tchd 23 décembre 2013 à 22:50
    Ce forum est trop lourd. Pour souci de lisibilité, je suggère sa fermeture au sixième commentaire.

  • GM 23 décembre 2013 à 22:31
    L'entreprise qui annonce publiquement frauder fiscalement, et qui se plaint de se faire contrôler ensuite. C'est un complot, forcément.

    C'est beau comme du cahizac dans le texte.. #snif

  • Oblivion 23 décembre 2013 à 22:19
    « Ni Bruno Bézard, ni François Bonnet de Mediapart n'ont retourné nos appels. »

    C’est très souvent que les gens ne retournent pas vos appels.
    Vous êtes sûrs que vos téléphones fonctionnent à ASI ?

    Ah ! vous avez peut-être des Bi-Bop, en fait.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 23 décembre 2013 à 22:02

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur


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