ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • Arriba Couroucou Popof 27 mars 2009 à 17:32
    mais je suis complètement hors sujet désolé !!

  • Arriba Couroucou Popof 27 mars 2009 à 17:21
    il est important de constater que les deux versions des faits sont partisanes, seule l'audition de tous les témoins de la scène pourrait peut être nous éclairer sur la vraie nature des faits. toujours est il que le directeur de cet établissement n'y est pas allé par quatre chemins.... pour finir je trouve autant formidable que regrettable que vous soyez vraisemblablement le seul média indépendant à relayer cette information.

  • Winston Smith : misanthrope 17 décembre 2008 à 20:18
    Un exemple local. Si on en parlait avant que ça nous tombe dessus et
    qu'on ne réagisse pas parce qu'on est surpris ?

    http://www.midilibre.com/articles/2008/12/16/20081216-Daniel-Guichard-Le-controle-devant-le-college-de-Vendres-met-en-petard-Daniel-Guichard.php5

    Édition du mardi 16 décembre 2008

    Hérault Le contrôle devant le collège de Vendres met en pétard Daniel Guichard


    « Voir les enfants des cars de
    ramassage scolaire attendre leur tour pour descendre et se mettre face au
    mur,
    afin de permettre aux chiens de renifler leur cartable pour y découvrir
    d'éventuels stupéfiants, pour moi, c'est un spectacle affligeant qui m'a
    choqué.
    » L'opération menée, hier matin à 7 h 30 devant le collège de
    Vendres (Hérault), par les gendarmes de la brigade de Valras sur
    réquisition du procureur de la République de Béziers, Denis Mondon, a eu
    le don
    de mettre en pétard Daniel Guichard. Le chanteur, qui était venu déposer ses
    enfants, a même immortalisé la scène à l'aide de son téléphone portable,
    avant
    qu'un échange un peu vif ne l'oppose à un gendarme.

    Pourtant, aux dires
    de la direction de l'établissement, l'opération a connu un franc succès et
    s'est


    passée dans d'excellentes
    conditions, loin des frasques et de la polémique de la descente de
    gendarmerie
    musclée menée au collège de Marcias (Gers), le 19 novembre dernier. « La
    majorité des parents présents a d'ailleurs approuvé l'initiative et le
    déroulement de cette intervention. » Une vision que ne partage pas Daniel
    Guichard qui s'est empressé de prendre sa plus belle plume pour exprimer sa «
    colère » et son « dégoût » dans une lettre adressée à Michèle
    Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur. « Avec ce type d'action, les petits
    cracks, s'il y en a, vont devenir de vraies vedettes mais ça, nos
    intellectuels
    n'y ont pas pensé ! »

    Une polémique qui n'a pas lieu d'être selon le
    colonel Agostini, commandant du groupement de l'Hérault. « Cette recherche de
    stupéfiants s'est faite dans un cadre judiciaire clair, avec l'aide du Groupe
    d'intervention cynophile de Montpellier. On a bien travaillé en amont avec la
    principale. Et tout s'est parfaitement déroulé. Au vu de cette polémique, je
    crains qu'il y ait un décalage entre des positions idéologiques de certaines
    personnes et ma réalité de terrain. D'autant que dans la lutte contre la
    délinquance, les stupéfiants occupent une bonne place. En ce qui me
    concerne, je
    me dois de protéger la jeunesse. » Hier, aucune forme de stupéfiant n'a été
    saisie

  • alain-b 16 décembre 2008 à 17:39
    Les pratiques policières actuelles suscitent des vocations de rébellion :

    « Voir les enfants des cars de ramassage scolaire attendre leur tour pour descendre et se mettre face au mur,
    afin de permettre aux chiens de renifler leur cartable pour y découvrir d'éventuels stupéfiants,
    pour moi, c'est un spectacle affligeant qui m'a choqué. »

    Daniel Guichard

  • Jelomar 16 décembre 2008 à 01:32
    Intéressante cette interview des "inculpés" de Tarnac concernant les agissements de la police lors de leur arrestation et leur garde à vue.
    Aller sur http://www.davduf.net/Tarnac-la-police-a-fait-un-pur.html
    On attend avec impatience la "version" d'un des fonctionnaires de police afin (à l'instar du major Tribout) de "rétablir la vérité" !

  • Melchior 15 décembre 2008 à 17:47
    Bon, c'est comme pour les manif', il y a le chiffre des syndicats et celui de la Police... Mais quoi, réagir plus d'un mois après les faits et alors que l'affaire a fait beaucoup de vagues... c'est peu tard non?

  • Photon 15 décembre 2008 à 09:46
    Le "soixante-huitard sur le retour" avait 9 ans en 1968 ....

  • Winston Smith : misanthrope 14 décembre 2008 à 21:33
    pour ceux qui penseraient qu'il n'y a rien à craindre que les citoyens sont lucides, vigilants, bref, qu'il n'y a rien à craindre.
    Je signale que généralement rien d'intéressant n'arrive jamais sur mon email, c'est plutôt moi qui innonde d'informations de nombreux contacts.
    Et qu'est ce que je reçois aujourd'hui, sous forme de chaine? la parole de sieur Jeannick Tribout. Et oui la vérité est cruelle, alors qu'une poignée seulement de personnes en france avait entendu parler du CFA d'Auch et du témoignage du prof tout le monde a déjà reçu ou va recevoir, le message de Tribout.
    Et oui.... la France est bien décevante alors que j'ai reçu une vingtaine de fois en 10 ans, le hoax sur la SNCF et que j'ai maintes fois diffusé le contre hoax, je n'ai jamais reçu le contre hoax sous forme de chaine mais je continue par contre à recevoir le hoax.


    c'est désespérant....

  • Fandasi pour clavier 14 décembre 2008 à 16:59
    L'acoolémie ne se calcule pas de la même façon pour un saoul préfet que pour un citoyen trop fait.Le sous préfet au champomy

  • poisson 13 décembre 2008 à 18:21
    Le gendarme ne peut certainement pas avoir la subtilité de pensée de Mr Jacky Dahomay, qui nous persuade sans effet de manche, qu'une salle de classe est un lieu qui doit être préservé, où l'on peut apprendre et réfléchir à l'abri.
    Cela éclaire sur le fait que ce n'est pas au gendarme, même chef, de répondre de ses actes en la circonstance, et ce n'est pas lui qui doit être l'objet du scandale à nos yeux.
    Qu'on le laisse répondre et assumer seul montre à quel point sa hierarchie est délitée. C'est grave.

  • charlotte 13 décembre 2008 à 18:04
    autre ptte contribution :
    je suis enseignante, mon mari est "force de l'ordre" (on va dire ça comme ça), mais à l'étranger... quand j'ai reçu ces 2 témoignages par mail, celui du prof, puis de l'élève, il a été très choqué de ce qui s'est soi-disant passé ds ces 2 etablissements... pas forcément par les faits (moi oui, ms ça c une autre histoire...) ms par la forme, par la manière dont, selon les témoignages, cela s'est déroulé...
    als, bien sûr, on peut dire que le prof est un vieux gaucho post 68ard, blablabla...ce qui est peut-être vrai, qui sait? que la gamine exagère, qu'il ne faut pas prendre pour argent comptant ce que disent les enfants, blablabla...
    mais quand même...
    quand on lit ce rapport de professionnel, si "immature" (gros menteur, jvais ldire à papa sarko!), si peu professionnel justement, si peu objectif, ... on se dit : bah si, les 2 témoignages doivent forcément avoir du vrai ( pas que j'en doutais, pas que je dise que tout soit à 100% exact...mais relisez les 3 écrits à la suite... et jugez vous-même...)
    pour dc, comme je l'ai dit, cotoyer très régulièrement des agents policiers et militaires (qui l'eut cru, moi une prof ultra gaucho, quelle honte, l'amour rend aveugle nom de nom)... je sais que la plupart des professionnels font BIEN leur travail, correctement, respectueusement, poliment... pi y'a les autres...comme partout... bah je vous assure qu'ils existent, ces "autres", pas seulement dans une chanson de Brel ou d'Abdl-Malik, mais aussi dans le Gers, ou ailleurs, qui sont capables de dire 'au revoir les filles', puis, avec la + mauvaise foi du monde, dire 'ah bah on a pas fait exprès, on avait pas vu que le mec à cheveux longs c'etait pas une gonzess, quelle idée d'avoir les cheveux longs qd on est un mec, 68 quelle sale année, vive les cheveux rasés à la militaire, c vrai quoi...)
    bref...
    tout ça pour dire...
    qu'en plus de ces dérives ahurissantes, insensées et honteuses...
    Darcos nous pond des réformes qui vont tuer l'educ Nat... Qui me fait un article dessus dans ASI????

  • Céline Y. 13 décembre 2008 à 14:26
    ... avec un air de "J'accuse!"

    [large]Le cynisme des chiens.


    Le récit ahurissant fait par un enseignant du Gers concernant l'intrusion dans sa classe de gendarmes et d'un chien, m'a littéralement bouleversé. Et j'ai pleuré. De rage bien entendu. Je suis un vieil enseignant, à la veille de la retraite. Ce métier a été ma seule vocation. Je me suis toujours tenu pour le seul maître dans ma classe après Dieu (s'il existe bien entendu !) et personne n'y rentre sans mon autorisation, ni chef d'établissement, ni inspecteur, ni ministre et, à fortiori, ni gendarme ni chien. Impossible ! A moins d'un cas de force majeure grave que le chef d'établissement devra m'expliquer au préalable. Je le dis donc tout net : si une telle chose m'arrivait je donnerais l'ordre aux élèves de désobéir. Telle est mon éthique de professeur. J'estime ma mission d'enseignant plus haute que ma propre sécurité. En vérité, depuis quelques années, les enseignants s'accommodent de bien de choses inacceptables. Oublient-ils ce principe républicain qui veut que l'instruction publique vise aussi à former des citoyens incommodes ?

    Comment en est-on arrivé là ? Tout se passe aujourd'hui comme s'il y avait une redoutable confusion des rôles, des institutions comme de leurs fonctionnaires .De toute évidence, au niveau des responsables de l'Etat comme au sein de la population, il y a confusion entre l'espace public propre à l'école et d'autres formes d'espaces publics ou communs. Or, l'école n'est pas publique au sens ou peuvent l'être les chemins de fer, les télécommunications ou la place du marché. Cela fait des années qu'on croit bien faire en ouvrant l'école sur l'extérieur. La rue y est rentrée, avec son lot de désagréments. Si la rue peut enrichir l'expérience, seule l'école donne une véritable instruction. Comment des vérités aussi élémentaires peuvent-t-elles avoir été oubliées ?

    Admettons qu'un policier ait toute légitimité pour procéder à des fouilles dans les aéroports et dans la rue (à condition bien sûr que cela ne s'adressent pas qu'aux basanés !). Cela lui donne-t-il pour autant le droit de se substituer à l'autorité du maître dans sa classe ? On a souvent du mal à distinguer entre le maître qui impose une domination et le maître qui exerce un magistère. Et comme ce principe s'est perdu, le maître-chien, fût-il gendarme, se sent autorisé lui aussi à prendre la place de l'enseignant à l'école. Et quand un magistrat se permet de croire que la peur du gendarme introduite brutalement à l'école est ce qui préservera les élèves de la délinquance on se demande, bien que n'étant pas gaulois, si le ciel n'est pas tombé sur notre tête ! La peur et la répression ont remplacé la mission éducative de l'école. Quel échec ! Sait-on simplement que lorsque le chien et le gendarme se substituent à l'autorité du maître à l'école, c'est que les loups hurlent déjà aux portes de nos villes. Il s'ensuit en général un bruit de bottes sur les trottoirs.

    Mon cœur donc gronde de colère et qu'on le laisse faire ! Il y a des moments où la raison raisonnante devient impuissante et laisse place à l'indignation. Toutefois, des chiens, préservons-nous de leur rage et de leur cynisme. J'emprunte cette expression « le cynisme des chiens » à Chateaubriand qui, dans ses Mémoires d'Outre-tombe, l'utilise pour qualifier les révolutionnaires qui, sous la Terreur, bons père de famille, emmenaient leurs enfants se promener le dimanche en prenant soin de leur montrer en passant le dada des charrettes qui conduisaient des citoyens à la guillotine. Le cynisme est dans la contradiction voulue et assumée opposant les grands principes humanitaires qu'on affiche et la pratique quotidienne du massacre de citoyens.

    Aujourd'hui, nous avons affaire à une autre forme de cynisme. Dans le spectacle que donne à voir par exemple le Gouvernement actuel de la France. Le président, Nicolas Sarkozy le premier. Loin de moi l'idée de vouloir l'affilier à une quelconque gent canine. Mais son cynisme consiste à affirmer une chose et son contraire, à soutenir un ministre un jour, à le désavouer le lendemain, à parler constamment à la place de ses ministres. Dans son agitation ultra médiatisée, il procède à une véritable désymbolisation constante des institutions de la république. Il y a bien là un travail d'affaiblissement de l'autorité de ces dernières. Pour parodier Hannah Arendt, disons qu'il a y aussi perte d'autorité quand les adultes refusent d'assumer le monde dans lequel ils ont mis les enfants, les vouant ainsi à une culture de la violence. Le refus de l'éducation est l'étalage de la répression et le culte de la sécurité. On croit que la sécurité n'est qu'une affaire de police alors qu'elle réside avant tout dans le contrat liant les citoyens, contrat implicite et symbolique comme sortie de l'état de nature. C'est ce refus de l'éducation qui pousse à vouloir incarcérer des enfants de 12 ans. Reste maintenant à obliger des psychiatres à inventer une substance antiviolence qu'on inoculerait aux femmes enceintes, sans leur consentement bien entendu.

    Tout cela est grave, très grave. La démocratie ne fait pas toute la légitimité d'une république. Un pouvoir tyrannique peut se mettre en place démocratiquement. L'histoire comme on sait ne se répète pas et les formes de totalitarisme à venir sont forcément inédites. Nous sentons bien qu'une nouvelle sorte de régime politique, insidieusement, se met en place. Quand, à l'heure du laitier, un journaliste est brutalement interpelé chez lui, devant ses enfants ; quand des enfants innocents sont arrachés de l'école et renvoyés dans leur pays d'origine ; quand une association caritative est condamnée à de lourdes amendes pour être venue en aide aux sans abris ; quand….Même si nous n'avons pas encore tous les éléments théoriques permettant de penser ce régime inédit, il se présentifie déjà avec des signes certains de la monstruosité. Face à tout cela, le PS, principal parti d'opposition, se déchire lamentablement. L'heure serait-elle venue, pour nous enseignants du moins, d'entrer dans la désobéissance civile ?

    Je ne parle peut-être pas d'outre tombe mais je suis d'Outre-mer. Comme beaucoup d'Antillais, j'ai aimé une certaine France malgré l'esclavage et la colonisation, malgré Vichy et la collaboration. Cette France qui à deux reprises, a su abolir l'esclavage, celle qu'on a cru ouverte aux Droits de l'homme et aux valeurs universelles. Celle dont l'école, malgré ses aspects aliénants pour nous, a su donner le sens de la révolte à un Césaire ou à un Fanon. Qu'il faille dépoussiérer cette vielle école républicaine ne signifie pas qu'on doive la jeter avec l'eau du bain. Est aussi à réviser cette identité républicaine hypocrite qui a du mal à s'ouvrir à la diversité. Et quand on constate que monsieur Brice Hortefeux, ministre de cet affreux ministère de « l'intégration, de l'identité nationale et de l'immigration », aux relents franchement vichyssois, se permet de réunir, à Vichy précisément, les ministres européens chargés des questions d'immigration on peut légitimement penser qu'il y a là une continuité conservatrice inquiétante. Ce ministre rend visite le 10 décembre au Haut Conseil à l'intégration. Je n'y serai pas. J'annonce ici publiquement ma démission du HCI. Cette France qui vient ou qui se met en place sournoisement, je ne l'aime pas. Devrions-nous alors, d'Outre-mer, faire dissidence ? Je ne sais pas. Ce qui est sûr en tout cas c'est que la plus grave erreur serait de se dire, comme à l'accoutumée, que les chiens aboient et que la caravane passe.

    Jacky Dahomay. Professeur de philosophie à la Guadeloupe

    Démissionnaire du Haut Conseil à l'Intégration
    [/large]

  • Jelomar 13 décembre 2008 à 01:35
    Vidéo sur la manifestation en commémoration de la mort de Malik Oussékine et d'autres victimes des brutalités policières:
    "Police. Personne ne bouge" sur http://latelelibre.fr/

  • charlotte 12 décembre 2008 à 22:47
    et quand est-ce qu'on parles des réformes du lycée, ou du fait que lémédia ne parle pas ou presque de la revolution que veut faire darcos des septembre 2009 avec les 2de????

  • Jelomar 12 décembre 2008 à 21:18
    Je crois qu'il est temps qu@si ouvre un dossier PERMANENT où l'on pourrait regrouper les articles, témoignages, etc, concernant les interventions, violences, bavures policières.... et leur traitement médiatique.
    Nouvel exemple: http://www.bakchich.info:8080/article6156.html

  • Jerry 12 décembre 2008 à 01:00
    Tu m'étonnes qu'il n'a "rien a cacher"... Ca mérite bien une petite promotion cette petite propagande ;-)

  • Olivier 11 décembre 2008 à 18:02
    Ceci dit, si j'étais MAM - son conseiller disons, faut pas déconner - je n'aimerais pas qu'un gendarme s'exprime sur une opération qui fait polémique avec une désinvolture qui confine à l'insulte, qui plus est par un canal non officiel.

    Quelle meilleure façon de prouver le mépris des fonctionnaires vis-à-vis de la population que cette méthode - en roue libre - employée par le gendarme ? On imagine le sentiment d'impunité !

    Il nous emmerde, le pandore, en gros. En gros, hein.

  • Olivier 11 décembre 2008 à 17:34
    Et si on parlait d'Action Directe ? !!

    ;-)

    Non, je m'explique. Le pandore a utilisé un moyen non-officiel très mal vus par tous les pouvoirs en place, de Chevènement à MAM, pour s'exprimer, blog, mail, forum, etc.

    Mais comme notre brave fonctionnaire défend d'une certaine manière l'institution, il est peu probable qu'il soit qu'il soit sanctionné.

    C'est ce que disait Jean-Marc Rouillan lors de son interview qui lui a valu de retourner en prison : s'il reniait son combat et le clamait haut et fort, malgré l'interdiction de parler de ses crimes, il n'aurait pas été inquiété.

    La liberté d'expression à la tête du client, quoi.

  • Francois T 11 décembre 2008 à 14:12
    Non loin de là, en Ariège (où il me semble qu'il y a eu le même type de contrôle en établissement scolaire)

    Foix. Le sous-préfet roulait en état d'ivresse... http://www.ladepeche.fr/article/2008/12/11/506324-Foix-Le-sous-prefet-roulait-en-etat-d-ivresse.html


    à chacun sa drogue !

  • Matthieu Pierangelo 11 décembre 2008 à 13:39
    En cherchant un peu, on arrive a trouver un peu de prose de jeannyck tribout sur le même thème :
    http://www.madepeche.com/index.php/articledep/articledepview/action/view/frmArticleID/10194/?SGLSESSID=7e4cd919844a67674a92c2ef4a30ebc5&/1/
    C'est assez intéressant, notamment parce que ce qu'il raconte n'a visiblement rien a voir avec la réalité : http://www.lepoint.fr/actualites-societe/un-enseignant-devant-la-justice-pour-une-gifle/920/0/221351


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.