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  • Cultive ton jardin 13 mai 2021 à 12:35

    Merci pour cette analyse pleine de finesse des tribulations de l'information, un pas en avant, deux pas en arrière, concernant une de nos "fiertés" régionales. Il y aurait à dire sur la manière dont une initiative vertueuse au départ (valoriser la production sous payée de nos régions agricoles) a été pervertie par l'agro-industrie, laquelle a les moyens de pervertir à son tour la presse. 


    Et merci en général pour votre travail, de très grande qualité. 

  • pompon 13 mai 2021 à 10:40

    Faut-il limiter les vaches "aux oeufs d'or" ou attendre que les chercheurs ou journalistes critiques se fassent agresser comme en Bretagne ou ailleurs? Payer au juste prix ou assurer une paix momentanée en fermant les yeux sur les dégâts ... et on verra plus tard? Depuis longtemps, le choix a été fait, par l'absence de politique agricole, et pas seulement en France. Après nous le déluge ou toute autre catastrophe que l'on qualifiera de "naturelle'!

  • sweetyworld 13 mai 2021 à 02:12

    Le chantage à l'emploi doit être le premier facteur de pollution en France...

    Et qui peut obliger les entreprises à être respectueuses de leur environnement, à part l'Etat, et son "service d'ordre"?

    Plus de 96% des rivières sont polluées en France...

  • kusto 12 mai 2021 à 23:43

    «Il y a plus d'un an maintenant, une étude scientifique de grande ampleur menée en Franche-Comté établissait sans doute possible la responsabilité majoritaire de la production de comté dans la dégradation alarmante de la qualité des rivières de la région».


    Dans le rapport:

    «Les  analyses  et  mesures  physico-chimiques  et biologiques effectuées  pour  élucider les processus impliqués dans ces dysfonctionnements permettent de conjecturer que les  dérèglements  fonctionnels  observés  dans  la  Loue  et  dans  ses  affluents  sont essentiellement liés à deux groupes de facteurs agissant conjointement»


    Prudence scientifique vs enthousiasme journalistique.


    «celles-ci souffrent des rejets issus des fromageries et des pratiques agricoles des éleveurs.»


    Dans le rapport:

    «La collecte et le traitement des eaux usées ne sont pas impliqués au premier chef  dans les  contaminations  azotées  mais  présentent  des  marges  de progression  pour  réduire  leurs  contributions  aux  apports  de  substances toxiques et de bouffées de phosphore dans les cours d'eau»


    Si on pouvait éviter d'écrire n'importe quoi, ce serait bien. Le principal problème évoqué par le rapport est la culture et l'élevage, (puis la filière bois, puis les pollutions plus génériques de l'activité humaine). Alors certes l'intensification de l'agriculture n'est pas décorrélée de la production du fromage (mais pas si spectaculairement), mais les accusations semblent assez fallacieuses surtout qu'il s'agit d'un problème bien plus global, l'agriculture intensive, ou la tendance monoculturelle que peuvent inciter les AOP, plutôt qu'un problème de Comté ou de sa pub sur TF1…

  • Ervé 12 mai 2021 à 22:41

    Laissez tomber le Comté. Préférez-lui le Beaufort. Non seulement sa production n'est pas polluante, mais son goût est beaucoup plus fin et fruité.


  • Bartabac 12 mai 2021 à 21:02

    C'est quoi la pollution du coté , me dites pas que c'est le petit lait .Parce que le petit lait on en fait des protéines , ou le file aux cochons pour les engraisser .Je n'arrive pas a comprendre ce qu'est la pollution du au comté ! Wikipedia..


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