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Ervé
A Roujan, près de Béziers, un homme poignarde sa compagne et la voisine de palier de celle-ci, qui tentait de lui venir en aide.
Le journaliste du Parisien le décrit comme "un beau brun au teint mat" atteint de "bouffées délirantes".
Comme si le physique de l'assassin revêtait une quelconque importance dans cet énième féminicide. -
candide
je suis allée sur le site de Marianne , et j' ai pas compris qui reprochait quoi à qui ... et pourquoi, et en quoi ça fait aavancer la cause des femmes . I l y a les femmes de naissances et celles qui le sont devenues , ça OK j' ai compris ..; pour le reste , je crains que ça apporte de l'eau au moulin de Blaquer, quand il perore sur la culture Woke ( il sait pas fait faire autre chose)
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Dobenas
Je suis surpris par l'obstination à vouloir n'intégrer dans le décompte un féminicide que quand il est repris par un article de presse. Mais est-ce que ça ne retarde pas simplement sa prise en compte ? A la fin de l'annéee y a t-il un écart avec le décompte du ministère de l'intérieur ? C'est dans cette comparaison qu'un affinage de catégories sera utile.
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zozette
Il y a quelque chose que je ne comprends pas sur l’origine du conflit. Le journal Le Monde rapporte les fait de la façon suivante : « Interpellé sur les réseaux sociaux sur l’absence de femmes transgenres figurant dans leur décompte, le compte en question a d’abord fait œuvre de pédagogie, en rappelant que l’angle de son travail, qui se base principalement sur des articles de presse, était celui des violences conjugales. Or, « en six années de recensement, aucune femme (ni homme) trans n’a été tué(e) par un(e) conjoint(e) », a-t-il répondu, renvoyant vers son tableau. Sommée à plusieurs reprises de s’expliquer sur sa méthode, la militante qui alimente le compte a fini par rétorquer : « Vu le harcèlement et le dénigrement que nous subissons, certaines ont semble-t-il bien conservé les aspects toxiques de leur masculinité antérieure. »
Il m’aurait semblé judicieux, dans un souci d’impartialité, d’approfondir le « sommée à plusieurs reprise de s’expliquer sur sa méthode ». Y-a-t-il eu harcèlement ? Y-a-t-il eu dénigrement ? N’est ce pas le B.A BA du travail de journaliste de remettre les faits dans leur contexte ?
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Odyssée
Pas facile, comme sujet... Quitte à être tout à fait inclusif, pourquoi ne pas inclure les hommes battus (parfois très violemment aussi, parfois jusqu'à la mort) par leur conjoint-e. Ils sont beaucoup plus rares, mais ils existent. Et est-on certain qu'il n'y jamais de meurtres entre homosexuelles ?
J'avoue ne pas savoir... est-ce de l'ignorance, de la misogynie ou est-il légitime de poser cette question ?
Pour ce qui est de la petite fille de deux ans, il me semble que le terme d'infanticide serait plus approprié. Je n'ai rien lu sur le fait que les compagnons/maris qui s'attaquent à leur famille tuent plus les enfants filles que les enfants garçons - ce serait à regarder...
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grrrz
sympa de relayer un collectif transphobe et TERF comme si c'était une petite querelle de chapelle anodine. Il n'y a pas de féminisme qui n'inclut pas toute les femmes. La tribune dans marianne (le choix du média en dit déja long) est bien dégueulasse comme il faut d'ailleurs si on avait un doute. Faire le décompte des féminicides c'est bien sur essentiel mais ces positions ne sont pas tenables au sein du féminisme; et ces collectifs sont voués à terme à manger dans la main des réactionnaires et des fachos comme ça s'est vu au Royaume-Uni.
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Ah bon !
Faut être costaude pour compter des mortes tous les jours ou presque. Je compte les papillons, les oiseaux toujours avec un brin de tristesse, sachant ce qui les attend .Mais devoir compter des femmes assassinées, putain de bordel .