Claire 22 octobre 2008 à 17:38
C'est drôle comme quand ça touche à ceux qui sont actuellement au pouvoir (comme pour la double vie de Mitterand en son temps) on n'ose pas trop dévoiler ce qui est présenté comme peut-être faux.
Non mais, le seul intérêt de lecture de ce genre d'article est d'apprendre du croustillant. C'est décevant pour le lecteur de ne rien apprendre de ce qui serait si "terrible" et qui vaudrait de faire travailler les magistrats...

Mais en ce qui concerne DeVillepin, Chirac, Clearstream, et maintenant ces fameux carnets, c'est forcément présenté comme un tissus de mensonge, simplement parce que monsieur NS y est mêlé et qu'il porte plainte. Pourquoi monsieur NS serait-il plus blanc que blanc? Plus prude que Strauss-Kahn, moins menteur que Mitterand. C'est quand même pas superman. Pourquoi mériterait-t-il plus une présomption de conduite exemplaire que les autres? Pourquoi lorsqu'ils parlent de certaines affaires, les journalistes transforment certains en coupables alors qu'il n'y a pas eu de jugement et d'autres en innocents alors même qu'ils sont peut-être coupables mais qu'on n'en parlera pas?

Ce n'est pas parce qu'il y a plainte pour diffamation que les propos dénoncés sont faux!

Numéro 7 22 octobre 2008 à 17:35
Je n'arrive toujours pas a comprendre comment le secret d'une instruction sensible a pu etre viole de maniere aussi flagrante et que rien n'ait ete fait pour y remedier ?

Compunet 21 octobre 2008 à 22:41
c'est l'histoire du scorpion qui se mord la queue ou quand les politiques se retrouvent pris à leur propre piège ou encore l'histoire de l'arroseur arrosé etc... y'a plein de façon de parler des cahiers de Bertrand

Camille Payet 21 octobre 2008 à 22:03
Je n'arrive pas à comprendre quel est le sens des plaintes contre Bertrand. Si un juriste pouvait nous expliquer ? Il me semble que ces plaintes sont irrecevables. Chacun a le droit d'écrire les trucs les plus délirants, du moment que la publication n'est pas envisagée. Or, il se trouve que les fuites proviennent de chez le cabinet du juge, où les carnets étaient consignés. Bertrand n'y est donc pour rien.
En outre, on peut penser tout ce qu'on veut de la moralité de Bertrand, ce sont les politiques au pouvoir qui se servent de ce genre de personnages. Y compris ceux qui jouent les indignés aujourd'hui. Non, je ne vois pas comment on peut poursuivre Bertrand, il peut toujours dire qu'en tant que flic, il collecte toutes sortes de rumeurs, qu'il trie et vérifie ensuite

christianfact 21 octobre 2008 à 21:47
Couaaaahhhh, Arcadi Gaydamak a porté plainte !!! Dans le bureau du juge ?

Robert· 21 octobre 2008 à 21:44
Comme de la presse caniveau, le moins possible