Titin 20 avril 2017 à 16:27
J'étais un peu perplexe, j'avais le souvenir que ce monsieur était d'une droite dure et j'avais même était surpris d'apprendre très récemment qu'il était dans les instances dirigeantes de Marianne (ce qui m'expliquait un peu l'évolution de ce journal).
Alors je suis aller consulter sa fiche Wiki, c'est quand même lui qui l'a rédigée, alors.
Alors ? Bien y a rien de bien étonnant dans tout çà. evemarie a bien raison...

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 20 avril 2017 à 11:43

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

evemarie 20 avril 2017 à 10:52
J'adore cette campagne, les gens de droite arrêtent enfin de se la jouer a gauche, et revendiquent leur appartenance. Ca faisait bien a partir de 1981 de se dire a gauche tout en valorisant les valeurs de droites, et en traitant de complotistes tout les lecteurs qui osaient dire que le capitalisme est de droite pas de gauche et que les mots on un sens (pas forcement commun). Ces gens ont participé à l'embrouille dans la tête du lectorat, maintenant enfin ils montrent où ils sont ; les journalistes, les universitaires, et les comédiens, tout ce petit monde est de droite et entend bien garder le pouvoir, d'ou leur peur panique de JLM, et leu peu de soutient a sa campagne pourtant la seule qui attirent les foules, ce sont les medias étrangers qui s'intéressent a la France Isoumises, ce qu'ont peu dire c'est qu'on a la droite la plus bête du monde et #lautredroite la plus veule du monde.

pauvre d'eux 20 avril 2017 à 10:34
Est-on sûr que c'est bien lui qui écrit ? Mace Scaron étant un plagieur compusif on peut en douter.

Le cas échéant 19 avril 2017 à 23:12
Ceci dit, il se retrouvera, le cas échéant, en slip dimanche soir !

Et son employeur avec.

Pierre38330 19 avril 2017 à 21:45
Il fait quelle taille, cet écrivaillon ?
Peut-être est-il payé en costumes ?

Robert· 19 avril 2017 à 19:36
Pour ce spécialiste de l'intertextualité qui "n'écrit pas ex nihilo mais par rapport à ce qu'il lit" les discours de Fillon permettent de juger de l'indigence de ses lectures.

Bracam 19 avril 2017 à 19:26
L'élégance d'une plume tout juste sortie de son derrière, ce j'emm...e mes inquisiteurs. Fondement duquel tirerait-il désormais l'encre de ses contributions ? Bon, dit comme ça c'est pour créer l'image, je l'avoue. Quoi qu'il en soit, j'ai en général eu de la peine dans Marianne avec ses textes, alambiqués mais auxquels je trouvais de l'intérêt. Son départ évoque quand même un sauve-qui-peut compte tenu des difficultés de la presse écrite et de Marianne en ce moment. On a le droit de ne plus se sentir en harmonie avec ses collègues, une ligne rédactionnelle. A l'approche d'une élection au potentiel de changement radical, de s'interroger en profondeur, d'établir des bilans personnels et de société. Tout de même, passer d'un journal qui se veut indépendant à Fillon, ce personnage dont tant d'entre nous peinent à concevoir la dérive insensée tellement elle est énormissime, se reporter vers Fillon dans les circonstance d'aujourd'hui ? J'en éprouve une vraie stupéfaction. Parfois ce vertige de la volte-face me prend, quand je crois comprendre que je n'ai pas compris grand chose au monde d'aujourd'hui, que j'ai connu si différent. Quand même...

édit: j'essayais oui, de le lire en faisant abstraction de ses hauts faits "d'emprunts" littéraires, imaginant que le temps avait passé, que nous changeons, que le jugement avait été rendu et comme on dit... la dette avait été payée. La question de la rédemption, de l'oubli est un immense défi dans une existence ; nous aimerions en bénéficier et nous voudrions l'accorder aux autres, en principe.

constant gardener 19 avril 2017 à 18:15
Libé avait consacré un article au parcours ... éclectique de Macé Scaron.
C'était en juin 2011.
En août de la même année, on apprit que Macé Scaron faisait appel lui aussi à des plumes extérieures (mais sans qu'elles le sachent).

Catala93 19 avril 2017 à 18:09
Même pour une fortune, je n'envie pas Macé-Scaron. Après avoir écrit pendant des années dans un hebdo classé à gauche et se foutre de la gueule de Fillon sur Twitter, il lui sert aujourd'hui de plume. Autant se tirer une balle dans le pied d'autant que dimanche soir, Fillon sera plus près des prétoires que de la présidence. L'apéro à celui qui peut m'expliquer ce type de comportement !