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Jir's
Je suis foncièrement en désaccord avec ce que semble vouloir dire cet article. Un journaliste qui écrit ou retranscrit une interview n'est qu'un scribe de luxe. Il peut faire des raccourcis, contre sens, interprétations. Qui n'a pas été interviewer pour n'importe quoi et se retrouve avec des contre-vérités à son sujet ? Aussi, L'interviewé peut choisir des formules malheureuses qui ne correspondent pas à ses idées. On dit un mot et on comprend qu'il peut avoir un double sens, où qu'il ne rend pas justice à ce que l'on pense vraiment. Bref, il y a pleins de bonne raisons de vouloir relire et/ou corriger une interview.
A ceci prêt que la forme de simplement changer/remplacer/supprimer me semble pire encore et surtout quand c'est fait par un tier.
Un forme plus judicieuse serait de faire relire les interview et d'autoriser des annotations. L'interviewé a dit cela, il l'a prononcé mais voilà ce qu'il voulait dire en fait.
Cela permet d'avoir les deux, l'authenticité de la parole instantanée et le sens politique des mots et des tournures.
Pour l'ajout de la mention indirecte au 49.3 par exemple, cela peut être pris comme une soumission de la ministre après l'interview ou bien comme un simple oubli. L'ajout ne me choque pas, d'autant plus qu'il s'agit apparemment d'une vraie volonté politique et qu'il est bon d'en être au courant. Autant donc le rajouter. Mais alors autant que ça se voit. -
un_et_un_font_trois
Je ne me résigne pas à accepter ça. -
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Pat de Saint-Rémy
Ces clowns ont raison d'en profiter : ils n'en ont plus pour longtemps...
Ils ont si bien savoné leur propre planche qu'il serait injuste q'ils ne partent pas, enfin, aux oubliettes de l'Histoire !
PG -
Mathieu
Ah mais en fait je me plantais complètement, je croyais qu'il fallait avoir un égo surdimensionné pour être ministre, mais c'est tout l'inverse ! Faut etre une vraie serpillière !