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Taloublue
"pour ne pas que quelqu'un qui travaille par exemple dans la communication, et qui fait une pige dans l'année, puisse avoir la carte de presse."" donc, heu ... les "journalistes de BFM et RMC qui passent leurs journées à faire de la pub pour Macron et LePen n'ont pas de cartes, je suppose?
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Jayraymie
Bon si je comprends bien les journalistes précaires sont à la profession ce que les gilets jaunes sont à la société.
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Tatanka
Je me doutais bien qu'il y avait une arnaque sur cette histoire de carte de presse.
On retombe toujours sur cette "Loi du Marché" et sur le "Libéralisme" triomphant. Je comprends que Gaspard Glanz n'ait pas été particulièrement chaud pour l'obtenir.
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JeNeSauraisVoir
Essayons une petite relecture des arguments :
« la loi dit que les journalistes doivent être rémunérés en salaire ».
La loi dit également que la condition nécessaire du salariat est un lien de subordination à un employeur.
Donc la loi dit qu’un journaliste doit nécessairement être subordonné à un employeur. Par les temps qui courent il est permis de se demander ‘à qui profite le crime’ on pardon ‘la loi’ ?
Surtout ne changeons rien !
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JeanneD
Un article intéressant de statistiques sur la profession de journaliste et les "zones grises"
https://www.google.com/amp/s/theconversation.com/amp/les-journalistes-en-france-en-2018-moins-nombreux-plus-de-femmes-et-plus-precaires-93167
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permanent waves
La solution est simple : ceux qui disent du bien du gouvernement ont une carte de presse les autres non !
ça règle le problème et on arrête de lambiner
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Cultive ton jardin
"qu’un journaliste ne peut pas être, aux termes de la loi, un travailleur indépendant et doit donc être salarié (art. L. 7113-3)".
Pour être bien sûr qu'il ne soit que "la voix de son maître"?
Je suis assez ahurie de cette condition "être salarié"... Si Glanz avait un salarié (eh oui, c'est ça, la petite entreprise), lui n'aurait toujours pas sa carte de presse, mais son salarié, si?