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Maud
Aujourd'hui les deux grands partis de gouvernement sont traversés par des courants dont les bras armés sont les principaux médias. 1°Un il faut minimiser voir disqualifier les petits partis émergents qui a terme pourraient secouer les grands (principe à l'américaine). 2° Deux chaque media ne fait pas de l'information mais soutient un courant contre un autre. Sans ces manoeuvres en sous main Coppé ne serait jamais tombé puisque à l'évidence aucun contrôle n'est effectué sur les comptes des partis vivant pourtant d'argent public et que seule la détermination du clan Fillon a permis de mettre le clan Copé à terre en informant les médias amis. Aujourd'hui même le Canard Enchaîné trouve soudain des vertus au Traité Transatlantique. lLes affaires qui sortent" sont sélectives en fonction du courant à soutenir 3° Les primaires ont finalisé cette évolution à l'américaine. Pas de réflexion, pas de projet politique en commun. Personne ne connait le président des grands partis américains car il n'A qu'une fonction administrative.Chaque candidat vient avec son programme sous le bras et les autres en fonction des résultats se rallient. Les partis ne sont plus que de grosses machines électorales. Heureusement il reste en dehors du marché la culture propre à chaque pays et il n'est pas certain que l'UMP grosse machine électorale subsiste à la réalité culturelle française: le centre existe toujours et l'UMP est en rupture idéologique forte entre ses courants. Idem au PS devenue une grosse machine électorale où les courants en opposition interne sont marginalisés. Conséquence ils ont de moins en moins d'électeurs et la méfiance des citoyens peut se révéler dramatique. Nous sommes dans la société du spectacle et du divertissement. pour combien de temps ? -
Tony A
Et pendant ce temps TAFTA, le rève ultra-libéral, se négocie en catimini.
(comme l'expliquait très bien l'article de Sébastien - avec la collaboration d'aspirine et de Galou47) -
petit - saconnex
Merci pour ce dossier. Je me pose une question . Pourquoi une telle hostilité entre Copé et Giesbert ? -
gallais
> @si vous propose, en exclu, le résumé des résumés.
Autrement dit : on n'a rien produit niveau enquête mais on sait faire couler de l'encre. -
Yanne
Nécessaire rétrospective, parce qu'effectivement, le début m'avait échappé. et pas qu'à moi, je pense. Contrairement aux affaires précédentes, ça a été trop vite. Une affaire filante.
Mais je n'ai pas compris à quel moment Sarkozy se retrouvait en prison. C'est le Monopoly ou le jeu de l'oie ? -
tchd
Sympa cette série ! J'espère qu'il aura d'autres saisons.
Par contre, il y a quand même des faiblesses dans le scénario, à la limite de l'incohérence. La scène de l'avocat de Big-mama-lion mettant en cause publiquement son plus gros client n'est pas du tout crédible. Quant au type ( j'ai oublié le nom du personnage ) qui vient pleurnicher au JT en nous apitoyant sur sa maison à crédit, il joue vraiment très très mal ! Il est vrai que le casting pourrait être amelioré. Le protagoniste est excellent (JFC) : pas facile d'incarner une telle caricature sans lasser. L'ex-président qui ne rase plus ne semble pas du tout à l'aise dans ce rôle. Quelle idée !
Quant aux rôles féminins, on est à la limite du sexisme de la part des scénaristes : que des nunuches ! Et blondes, en plus. Bonjour, le cliché. -
Robert·
"beuark"