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  • petit - saconnex 2 mai 2018 à 14:32

    un article très intéressant .Une partie de la classe dirigeante brésilienne  n' accepte pas que des dirigeants d'origine populaire  et réformateurs aient pu parvenir  au pouvoir . Je signale que Thomas Cluzel dans  sa revue de presse internationale de ce mercredi  sur France-Culture à 7 h25  a cité votre article .

  • tosh 1 mai 2018 à 20:04

    j'ai presque fini de regarder (the mechanism sur netflix US) jusqu'ici c'est pas trop mal. pour l'instant ce qu'il en ressort c'est plutôt "tous pourris" avec des tonnes de libertés narratives comme ce fut le cas pour Narcos.  C'est sur que si l'on s'attend à un documentaire fouillé on risque d'être déçu.


    Seul bémol, il me semble que le sous titrage n'est pas a la hauteur (inhabituel pour netflix).

      







  • Oblivion 1 mai 2018 à 15:20

    Article intéressant.

    J’aurais bien aimé en savoir plus sur la créatrice de la série : Elena Soarez.

    Elle non plus n’a pas d’orientation politique ?

    Comme Netflix, j’imagine.


    Tout va bien.

  • jean-françois copé-décalé 1 mai 2018 à 14:54

    Bel article !

    J'avais trouvé la série Narcos vraiment immonde, tant du point de vue de sa réalisation (racoleuse) et de son écriture (bourrée de cliffhangers à 2 francs, digne d'un mauvais film d'action) que des messages politiques qu'elle diffuse : sous couvert de "réalisme anthropolologique" (chaque protagoniste est une sorte d'homo oeconomicus uniquement dicté par son intérêt individuel, conforme à cette vieille tarte à la crème hollywoodienne insipide), la série opte pour une vision en réalité totalement dépolitisée de l'histoire récente de la Colombie.

  • Jombie 1 mai 2018 à 13:00

    Concernant José Padilha e le film Tropa de Elite, il montre un bataillon de police aux méthodes expéditives. À sa sortie, il était critiqué pour galvaniser des tendances fascistes. 

    Padilha, peinant à se défendre d'avoir eu de telles intentions, a réalisé Tropa de Elite 2, dans lequel il change radicalement de ton et montre sans une once de subtilité que le problème vient en fait du pouvoir politique, avec un plan final sur le parlement brésilien et cette phrase de conclusion mémorable : "Le système, il craint" (O sistema é foda).

    Voilà pour le niveau politique du monsieur…

  • Ervé 1 mai 2018 à 12:53

    O Mecanismo, sans idéologie ?

    Il faut bien admettre que le scénariste n'est ni de gauche, ni de gauche.


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