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  • Max Médio 25 juin 2019 à 15:19

    Ok, Ok, mais c'est de l'information périphérique qui confirme que le Brexit se tranforme en série "Les feux de l'amour" 


    Je n'en ai rien à faire de la vie privée de Boris, Pamela, Sue Ellen, et Cie. Je m'en fous d'ailleurs de Boris comme de Donald.


    Ce sont leurs programmes qui doivent faire l'objet de l'attention et des commentaires et non le guignol qui est interchangeable et dont on s'apperçoit de plus en plus clairement qu'il y a une très nette préférence pour les pitres et les marionnettes (Juncker, Barroso, Trump, Hollande, Macron, ...)


    Ce qui m'intéresse en revanche c'est, premièrement, de savoir si le pouvoir britannique respecte ou non les décisions issues des urnes et se distingue en cela de la France :


    2008, Sarko trahit les Français qui ont voté non au référendum de 2005


    2012,  Hollande trahit les Français qui l'ont élu pour faire la guerre à la finance


    Et deuxièmement, quel est l'état d'esprit des citoyens britanniques devant les pitreries de leurs élus à reporter sans cesse une décision qui aurait dû être prise il y a plusieurs mois. C'est se moquer très clairement de la démocratie. C'est autrement plus grave que les inepties de Johnson.

  • DéLecteurdeVraiThé 24 juin 2019 à 18:20

    Le parti conservateur va installer à sa tête un homme aussi improbable que Trump


    C'est effrayant, il y a de quoi même paniquer


    Et rien ne va empêcher cela, ni même The Guardian qui publie un article de Max Hastings

    un article qu'on ne peut dédaigner d'un revers de main tant son auteur est une personnalité reconnue comme journaliste et auteur de livres traitant d'Histoire


    Si les Tories pensent avoir trouvé en Boris Johnson celui qui les sortira de leur impasse, ils n'ont qu'à regarder du côté des USA la fracture irréparable de la société


    Johnson cet homme qui avec ses collègues de Collège brûlait des gros billets devant les yeux atterrés de sans abris


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