-
sspicco
Vous donnez ici la réponse à aux questions que je me pose depuis le début :
mais comment font-ils pour sortir autant de contenus ?
Mais comment font-ils pour ne pas déprimer avec tous les sujets qu’ils traitent ?
mais quel dommage, leurs contenus sont tellement intéressants.
-
TOKYO
https://infodujour.fr/wp-content/uploads/2023/06/Intervention-VOLONTAIRE-12-JUIN-PRMX2110865A1.pdf pour compléter votre article voilà ce que dit l 'avocat d'assanges Juan branco au sujet de Denis robert à l'occasion de la perte d'agrément de anticor
-
Lapo
Je me rappelle d'une vidéo où Denis Robert se foutait de la gueule de ceux qui portent des masques dans le train. Qu'on soit pour ou contre le masque, c'est une chose. Mais l'attitude "foutage de gueule" m'a estomaqué.
Cette attitude montrait un personnage qui n'est ni calme, ni posé, un personnage qui n'a aucun respect. C'est à partir de cette attitude qu'il est devenu impossible pour moi de soutenir Blast. Impossible de soutenir un personnage odieux dans son comportement, même si je suis à priori de la même sensibilité sur l'échiquier politique.
Et alors même que j'apprécie énormément les séquences présentées par Salomé Saqué.
-
Sophou
<< [vos] "responsabilités" de "grande fille" >> ?? Mais quel ****.. tout mon soutien.
-
Asinaute sans pseudo du 33
Merci pour cette excellente enquête. Petit chipotage : Olivier-Jourdan Roulot, et non pas "Olivier Jourdan-Roulot"
-
Ulyss
J'ai toujours été étonné de la quantité de vidéos et d'articles publiés, pour un média si jeune, ils ont démarrés sur les chapeaux de roues. Je pense que leurs ambitions sont au-delà de leurs moyens. Certes, l'actu ne s'arrête jamais, il faut traiter parfois très rapidement certains sujets mais franchement si moins de contenu pouvait réduire la pression, ça ne m'empêcherait pas de les suivre. Si ces faits sont avérés, je leur souhaite de prendre le taureau par les cornes et de revenir plus soudés. Merci à ASI et courage à eux !
-
k3z
(en tant que cofondateur de Blast)
CommuniquéLe 20 juin 2023
Blast a l’habitude de l’adversité et du fiel. Le journalisme que nous portons gêne beaucoup de monde et notre succès attise les jalousies.
Cette fois, Blast est victime d’une attaque d’une violence sans précédent. Un site en perte de vitesse publie une enquête à charge qui fait de notre entreprise une sorte d’enfer sur Terre. Selon Arrêt sur images, nous serions une machine à maltraiter ceux qui travaillent pour et chez nous. Les sources sont pour l’essentiel anonymes ou reposent sur les témoignages de salariés ayant quitté l’entreprise et qui ont déjà, pour certains, largement commenté leur départ.
Nous contestons intégralement et fermement cette « enquête » et son contenu, dont nous dénonçons les méthodes, les trucages, la partialité et la malhonnêteté. Nous répondrons à chacune de ces accusations aussi folles qu’infondées au plus vite.
A Blast, nous avons l’habitude de lutter et de prendre nos responsabilités. Chacun devra assumer les siennes.
-
Limonchell:o)
Il leur faudrait un organisme extérieur pour crever l'abcès.Il existe maintenant des spécialistes comme Egae,ou autres.
-
MARTIN ta mare.
Denis Robert et ses alliés auront beau se trouver mille excuses ("bons à rien", "dégonflés", etc.), que ce soit au Média, à Blast, ou au prochain journal en ligne qu'ils seront obligés de créer, en définitive, ils méritent ce qui leur arrive.
Cela semble être dans leur éthos de mal gérer les choses. Faut se faire une raison à un moment... -
Hammerklavier
Voilà un article qui était presque attendu, suite à ce qu'il s'était passé au MediaTV avec Robert... En revanche, de découvrir que Mathias Enthoven fait dans le management toxique et dégueulasse, ça n'était pas forcément prévu.
J'avais été à 2 doigts de participer au financement de ce média, et puis il y a eu le coup d'éclat de Maxime Renahy, qui m'avait fait renoncer. -
transfuge
"Plusieurs salarié·es là-bas, résumait-il dans le message, "dressent un portrait (de moi) assez édifiant : harceleur, violent, sexiste, poussant certains salariés au suicide ou à la dépression, etc…""
Tiens tiens, l'inconscient serait-il au travail? https://www.arretsurimages.net/articles/chez-la-bas-daniel-mermet-ecrase-les-grevistes
Bref, il y a malheureusement un air de déjà-vu...
-
Un @sinaute
A ce sujet je recommande la lecture édifiante du "Syndrome du patron de gauche : manuel d'anti-management", d'A. Brault Moreau.
Le management brutal se retrouve dans l'intégralité du spectre des organisations de gauche (asso's, ONG, médias, etc.)Au bout d'un moment, il va falloir que ces structures comprennent que la fin de ne justifie jamais les moyens; qu'ils comprennent qu'un management brutal (de même qu'un management tout court) neutralise instantanément le discours et les actions portés.
On a pu lire ici ou là des figures de gauche bien embarrassées pour s'exprimer sur ces questions - sous prétexte qu'il ne faut surtout pas taper sur les (si peu nombreux) médias de la vrai gauche. C'est une erreur, et une funeste. Car de telles pratiques portent des coups terribles à la gauche, des coups pires encore que ceux que peuvent porter (à la presse indépendante) les médias mainstreams et la presse de droite.
Les médias (et structures) de gauche ont l'obligation morale d'être irréprochable sur ces questions - ne serait-ce que pour la gauche, mais avant-tout (et surtout !) pour les travailleurs. C'est tout simplement une question de vie ou de mort. Les médias (et structures) de gauche doivent trouver un autre modèle, abandonner le management. Il n'y a pas d'alternative (pour le coup : TINA !) Le monde de l'entreprise, et sa fétichisation de la subordination, ne doit plus infuser dans les pratiques.Un sujet d'émission pour ASI peut-être ? - certes, ô combien explosif ...
-
FLol
Personnellement, je ne parviens pas à être totalement surpris de ce qui semble se passer dans l'arrière-boutique de Blast.
Denis Robert est sans doute un journaliste aussi respectable que bourreau de travail. Mais je me suis toujours demandé comment cet aspect de sa personnalité se traduisait dans son comportement et ses exigences vis-à-vis de ses équipes ...
Le début de réponse que je trouve ici n'est guère réjouissant, et je n'imagine pas dans un tel contexte renouveler ou prolonger mon soutien d'abonné à son aventure avec Blast.C'est d'autant plus dommage que le boulot produit par les équipes est souvent très intéressant. Mais la bonne nouvelle, pour elles, c'est que dès lors qu'elles ont du talent, elles pourront toujours le mettre en valeur, ailleurs...
L'essentiel est alors de se sauver d'un environnement devenu toxique et de ne pas abîmer sa confiance en soi pour mieux rebondir...Tout mon soutien aux équipes de Blast en tout cas.
-
Le Chien
Pas convaincu par cet article qui érige des ressentis à la hauteur de faits. Alors même que les faits relatés laissent songeur : le salarié est injoignable pendant son temps de travail déclaré, et manifestement aucune instance de protection des salariés n'a été saisie.
L'histoire de mails et de messages envoyés la nuit est risible. Car ces modes de communication sont par définition asynchrones. C'eût été des appels auxquels il aurait été reproché de ne pas répondre immédiatement aurait été, effectivement, une autre limonade. On est à deux doigts d'un journaliste accusant Twitter de tourner pendant ses heures de sommeil...
L'article, biaisé, laisse à penser que le départ de la moitié des membres fondateurs corroborerait la thèse de l'acharnement, alors qu'aucun élément ne permet d'en tirer pareilles conclusions. De la même manière, les témoignages abondent effectivement vers une charge de travail et une fatigue générale, mais ce qui n'est qu'un contexte est présenté malhonnêtement comme une preuve de harcèlement.
Encore une fois, on a une journaliste qui prend fait et cause pour une victime auto-déclarée sans recul, trop heureuse sans doute de taper sur un concurrent, en publiant des "petites phrases" de la hiérarchie sorties de leur contextes et arrangées à charge. On attendrait plutôt des infractions au code du travail, au lieu de ça, c'est "il est entré dans mon espace vital". Et la rédaction de se demander pourquoi les confrères prennent de moins en moins la peine de répondre à Arrêt sur Image...
-
Jean-Michel 303
Bonjour, je suis abonné à Blast depuis le tout début via kickstarter.
Merci Alizée Vincent, c'est vraiment un super article, solide et très bien écrit.
Pour les marioles, ça explique peut être qu'il y ai une campagne de financement séparée. -
permanent waves
La direction de Blast n'a pas peur, non plus, de licencier un salarié en plein arrêt maladie. Un arrêt pour un "syndrome anxieux avec attaque de panique", certificat médical à l'appui. Selon le principal concerné, Thomas Bornot, remercié en novembre 2022, ces attaques sont imputables à son travail
Au moins ils sont raccord avec Bruno Le Maire qui dénonce les arrêts de travail "abusifs"
l'ennemi est déclaré : le travailleur; non seulement il doit travailler plus, plus longtemps ( 2 ans puis à la prochaine élection 3 ou 4 de plus, car la France sera encor de Droite dans 4 ans ) mais il ne doit pas se plaindre, souffrir en silence et ne pas être malade (physiquement ou psychiquement )
Après on pourra toujours s'étonner des accidents de travail plus nombreux et plus graves ( cyniquement les morts au travail ça fait des retraites en moins à payer; c'est toujours ça de pris pour les gens de Droite )
-
Attention Disorder
La comparaison avec d'autres boulots n'est pas entièrement juste.
La critique "métier passion" concerne essentiellement des boîtes qui utilisent l'argument pour faire du profit sur le dos des jeunes enthousiastes. Pour Blast il n'y a a priori pas de profits gigantesques en vue, et on peut gloser sur les 6000€ de DR mais ce n'est quand même pas le Pérou. Le travail à Blast est donc considéré comme un sacerdoce où on attend que les gens se tuent "pour la cause". C'est mieux que se tuer pour les dividendes des actionnaires même si en pratique le résultat est le même.
DR a montré qu'il pouvait être un bon investigateur, comme "éditorialiste" on l'aime ou on l'aime pas mais il a quand même réussi à mettre en place un média qui est un succès d'audience (perso je le trouve un peu superficiel mais vaut peut être mieux ça qu'une chaîne très cérébrale que personne regarde). Pour la "démocratie interne" on peut y croire moyen aussi : quand tu fais venir une forte personnalité c'est pour qu'elle imprime un ton, elle ne peut pas juste compter les points.
Le vrai problème c'est que vu les retours c'est un très mauvais manager et apparemment les gens qui le secondent ne compensent pas vraiment. Ce qu'il faudrait c'est lui laisser la ligne éditoriale et avoir un grand ordonnateur(trice) "responsable" qui sert d'amortisseur entre lui et les équipes. Avec sans doute toujours le problème structurel du sous effectif.
-
Wisard
après Là-bas si j'y suis, le media qui as été un bordel sans nom avec sucessivement Chikirou,Lancelin et Robert. Maintenant Blast décidement les médias gauches devraient s'appliquer le catéchisme qu'il nous servent toute l'année...
-
grrrz
Les patrons de medias de gauche sont avant tout des patrons episode 72
-
PEC
Bonjour,
Merci pour cette enquête, je suis assez sidéré par ce qui est rapporté et par l'ampleur de la situation.