littlececile 10 janvier 2024 à 08:41

Vu la photo, ça ne paraît ni normal ni tolérable sur un lieu de travail. Que ce soit "consenti" ou non. Un commis est en situation d'emprise devant son chef. On sait que dans ces conditions le consentement n'existe pas.

Par ailleurs, il y a tous les autres employés, peut-être contraints de participer, en tout cas forcés à y assister.

C'est écoeurant.

Je me demande quelle défense le chef va apporter a tout ça. Dommage que les exagérations de Sud-Ouest relativisent la cruelle réalité.

karlbourd 9 janvier 2024 à 22:51

Avoir quelque chose d'excitant (autant sinon plus souvent dans l'horreur que dans la joie) à raconter tous les jours pour vendre un journal , tel est le métier de certains médias. La parution quotidienne ( voir heure par heure pour "l'info" en continue !) amène forcément à travailler vite et mal. Kar Kraus disait qu'un journal qui a un rythme régulier et quotidien est forcément malhonnête,c car l'actualité est irregulière (sans parler du temps qu'il faut prendre pour vérifier les faits).

robin 9 janvier 2024 à 21:34

nous comprenons pourquoi les restaurants manquent de personnel!

JEAN FERRUC 9 janvier 2024 à 19:10

Cest pour rire gamin!

Modam 9 janvier 2024 à 13:40

Clic et buzz à tout prix… bravo le niveau zéro de l’info, reprise en boucle et en choeur par les radiotélés…!