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  • Pince-mi sophiste de passage 14 septembre 2019 à 20:05

    La pub prendrait 100% de l'écran 100% du temps, 

    comment dire ? 


    Je m'en foutrais à 100%

  • Ricky 14 septembre 2019 à 19:31

    Donc ça ne concerne que le foute à 99%, vu qu'il n'y a quasiment que ça à la télévision. Et comme je déteste le foute, franchement, je n'en ai vraiment rien à faire !

     

    Mais on voit le résultat de cette perversion généralisée des programmes : quasiment plus personne ne regarde la télévision.

    Personnellement je regarde presque tout sur internet, où je peux au moins zapper les jingles débiles, les applaudissements forcés du public et les pubs insupportables.

     

    Idem pour les programmes de radio que je télécharge en podcast, de manière à pouvoir sauter toutes ces agressions et pollutions que je ne supporte pas.

  • Helene_Rrr 10 septembre 2019 à 23:31

    Découverte jubilatoire de cet article des Cahiers du football. J'en pleure encore.

  • Tony A 10 septembre 2019 à 14:21

    Bah, dans dix ans quand on aura quelques minutes de film ou de match dans des pubs d'une demi-heure on regrettera ces écrans partagés... C'est si beau le partage...

  • Le Lui ou un Autre 10 septembre 2019 à 14:08

    « Vivement les split screens à la Brian de Palma durant un Toulouse-Nice. »


    À la différence notable que les split screens de Brian De Palma ne finissent pas toujours bien pour la société du spectacle !

  • karpapa-152246 karpapa 10 septembre 2019 à 10:03

    Pour regarder du foot ( comme le toulouse nice évoqué) il faut deja y aller de son porte monnaie et pas que un peu .

  • freT 9 septembre 2019 à 23:10

    Excellent article ! J'espère qu'il passera en diffusion gratuite que je puisse le partager allègrement ! 

  • @CMichael_fr 9 septembre 2019 à 22:29

    Très amusant (ou triste selon le point de vue) ce type de débat au moment de la question de l'épuisement des ressources de notre planète). C'est sûr qu'en poussant plus à la consommation....

  • Vacinenkov 9 septembre 2019 à 19:33

    Il ne faut jamais oublier que le sport n'est là que pour servir les sponsors. D'ailleurs l'interdiction d'enlever son maillot est due, en partie, à ça. Un torse nu attire l'œil qui ne voit plus le message subliminal des panneaux publicitaires derrière...

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 9 septembre 2019 à 19:11

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Paddy 9 septembre 2019 à 18:04

    "En France, ce nouveau pas fera-t-il réagir les amateurs de sport, déjà excédés par un accès aux compétitions de plus en plus onéreux sur les chaînes spécialisées à péage? " A mon avis, aucun danger. Rien n'y fait : les preuves de dopage et de tricherie, les avalanches de pub, le prix de plus en plus élevé de l'accès au spectacle sportif à la télé, rien : ça marche toujours à fond. Comme vous le dites très bien "Quand les panneaux publicitaires lumineux se sont généralisés autour des terrains de football ou de rugby, au cours de la décennie, personne n'a protesté.  " Personne ne protestera non plus quand on devra suivre les matches avec un écran divisé en deux parties, une pour le match et une pour la pub. Il y a de la pub jusque sur les arrières-trains des sportifs, bientôt, on profitera de ce qu'ils semblent adorer les tatouages pour leur proposer de s'en servir de support. Le public n'en a rien à secouer, de la pub : du moment que ça permet toujours plus de spectacle. Et que ce spectacle soit frelaté, justement en raison de cette cascade d'argent qui ruisselle dessus, ça aussi, il s'en br...  Et on assiste à ce paradoxe : le sport est peu à peu devenu un des domaines les plus anti-écologiques qui soient. Et, en passant, un des plus puissants vecteurs de la domination néolibérale. N'est-ce pas génial : des stades bourrés à bloc pour célébrer les archétypes du capitalisme roi ?

    Non non. Aucun danger que ça gueule. Ils peuvent y aller sans frein.

  • Antoine Li 9 septembre 2019 à 17:51

    On peut comparer la publicité à un impôt indirect (comme par exemple la TVA) sur la consommation, puisqu'en achetant un objet de marque, on paye la pub  qui lui est attachée. Et cet impôt (qui sert à influencer massivement le public en faveur des intérêts privés) correspond en France à des montants du même ordre de grandeur que la moitié du budget de l'éducation nationale. C'est cet impôt qui permet d'égayer les tristes murs de nos villes, d'accueillir le voyageur à l'entrée des bourgades, et de payer les divertissements en tous genres, dont bien sûr le sport.

  • Tristan Le Gall 9 septembre 2019 à 17:26

    Serait-il possible de retravailler ou de retirer le premier graphique ? "Average number of 30-second commercials ..."


    Deux problèmes font que ce graphique est trompeur:

    1) il y a un (1) qui renvoie à une note (invisible sur ASI) qui nuance ou apporte des précisions

    2) Les bares ne partent pas de zéros, ce qui fait que l'augmentation de 10% entre 2008 et 2016 (passant de 64 à 70 pubs/match) semble être une augmentation de 150%


    Pour un site attaché à la rigueur journalistique, cela fait mauvais effet de publier un graphique trompeur.




  • Antoine Streiff 9 septembre 2019 à 15:24

    Alcântara qui fait la passe au père Noël, ça m'a fait ma journée…


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